Citation qui est pris
Découvrez une citation qui est pris - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase qui est pris issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 320 citations et proverbes sur le thème qui est pris.
320 citations
Le vrai peuple est compris entre les combinards d'en haut qui le mènent, et les aminches d'en bas qui le desservent.
Vous voyez dans mes élans, dans mes choix, des intentions que je n'ai pas. Je pense que les piètres résultats de ma diplomatie amoureuse prouvent que je ne me demande pas souvent si j'ai raison d'aimer. Il est bien possible que vous n'auriez été réellement pour moi qu'un pis-aller, mais ce n'est pas ainsi que je vous voyais. Je commençais à sentir que vous aviez pris pour moi une place à part. Pourtant, votre intelligence ne me comprenait pas mieux, peut-être moins bien ; votre amour ne se prouvait pas plus délicatement ; votre dévouement n'éclatait pas davantage ; tout chez vous était peut-être médiocre. Mais je préférais ce qui venait de vous. Pourquoi ?
J'ai appris à aimer le secret. Il me semble que c'est la seule chose qui puisse nous faire la vie moderne mystérieuse ou merveilleuse. La plus commune des choses nous paraît exquise si quelqu'un nous la cache.
J'ai compris une chose : n'importe qui est capable de critiquer, mais il faut être brillant pour prodiguer des louanges.
Poppée : - Depuis la mort de notre fille, il doute. Mon ambition m'avait poussée à épouser un dieu, je me retrouve avec un homme. Un homme qui se prend pour un dieu. Ce n'est pas la même chose. Et il se fait que cet homme... j'ai appris à l'aimer.
La plupart des humains sont comme les prisonniers dans la caverne de Platon. Ils regardent des ombres et les prennent pour la réalité. Ce qui m'insupporte au plus haut point, c'est quand ils croient avoir compris un peu la vérité occulte qui les dépasse totalement.
Nous voici, venez-vous de dire, bien épris
L'un de l'autre, soyons heureux, faisons mépris
De tout ce qui n'est pas notre douce folie !C'est près de l'eau et de ses fleurs que j'ai mieux compris que la rêverie est un univers en émanation, un souffle odorant qui sort des choses par l'intermédiaire d'un rêveur.
Oui, ce qui est terrible, c'est que nous ayons désappris de sentir la crainte ! De Dieu, de religion, en Europe, il n'y en a plus depuis longtemps.
Ce qui apparaît le plus nettement dans une oeuvre de maître, c'est la «volonté», le parti pris. Pas de flottement entre les modes d'exécution. Pas d'incertitude sur le but.
Au cinéma, on n'a pas besoin d'avoir appris le métier d'acteur pour être magnifique. Il y a la dimension de l'écran, le secret de la salle, la beauté de votre partenaire. On est dans le mythe, mais ce ne sont pas les acteurs qui fabriquent cette magie. On est comme des marionnettes tributaires du cadrage, de la lumière, du montage. Au théâtre, l'acteur est davantage maître du résultat.
Qui sait si l'homme n'est pas un repris de justice divine ?
C'est près de l'eau que j'ai le mieux compris que la rêverie est un univers en émanation, un souffle odorant qui sort des choses par l'intermédiaire d'un rêveur.
C'est cette nuit-là que j'ai compris que ça voulait rien dire, dormir, que c'étaient rien que des petits galops plus ou moins réussis, que la vraie course qui s'arrête jamais, c'est la mort.
La liberté est une plante qui croît vite, une fois qu'elle a pris racine.
Ceux qu'on condamne au supplice affectent quelquefois une constance et un mépris de la mort qui n'est en effet que la crainte de l'envisager. De sorte qu'on peut dire que cette constance et ce mépris sont à leur esprit ce que le bandeau est à leurs yeux.
J'ai appris depuis que la liberté, pour des raisons évidentes qui tiennent à la structure même de la langue, était au prix de l'exclusion. Et que l'on ne peut éclore que lorsqu'on est éjecté de ce qui est clos.
A force de mépriser tout ce qui est, je conçus le mépris de moi-même, sotte et vaine créature, qui ne savais jouir de rien à force de vouloir jouir splendidement de toutes choses.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.La plupart d'entre nous n'ont pas été éduqués pour penser à leurs besoins. Mais, quand ces derniers ne sont pas satisfaits, on nous a plutôt appris à penser à ce qui ne va pas chez les autres. C'est ainsi que nous qualifions de paresseux un enfant qui n'accroche pas sa veste au portemanteau comme nous le désirons ou d'irresponsable un ouvrier dont le travail n'est pas conforme à nos attentes. Ces évaluations d'autrui sont des expressions indirectes de nos besoins insatisfaits. Elles risquent plus de provoquer la résistance et l'agressivité que de susciter le désir de satisfaire nos besoins.
Ils punissent de mort celui qui est convaincu d'avoir fait un crime pour cesser d'être pauvre et punissent de mépris celui qui a le courage de rester pauvre.
Assoupie dans le brouillard opaque qui sévissait depuis deux jours, la forêt perdait ses dernières feuilles. déjà, un mois plus tôt, au lendemain des premières gelées d'octobre, peupliers, charmes et frênes avaient pris leur silhouette d'hiver, grands squelettes grisâtres et griffus entre les bras desquels feulait le vent d'est comme un chat apeuré. Et maintenant pleuraient les chênes centenaires en de longs sanglots de feuilles brunes qui ruisselaient dans les gaulis avant de se noyer dans la houle rousse des fougères pétrifiées.
Au début, Maigret était assez simple. Un gros homme placide qui, lui aussi, croyait plus à l'instinct qu'à l'intelligence, qu'à toutes les empreintes digitales et autres techniques policières. Il en usait d'ailleurs, comme il y était obligé, mais sans trop y croire. Petit à petit, nous avons fini en effet par nous ressembler un peu. Je serais incapable de dire si c'est lui qui s'est rapproché de moi ou moi de lui. Il est certain que j'ai pris quelques-unes de ses manies et qu'il en a pris des miennes.
Un communiste, c'est quelqu'un qui a lu Marx, et un anti-communiste, c'est quelqu'un qui l'a compris.
J'ai compris depuis qu'il y a une perfection dans la relation des êtres qui s'aiment. Elle relève du temps et des circonstances, et leur bonheur n'est pas attaché à une permanence.
Service inutile (1935) de Henry de Montherlant
Références de Henry de Montherlant - Biographie de Henry de Montherlant
Plus sur cette citation >> Citation de Henry de Montherlant (n° 53064) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Laissez-moi de Marcelle Sauvageot
Références de Marcelle Sauvageot - Biographie de Marcelle Sauvageot
Plus sur cette citation >> Citation de Marcelle Sauvageot (n° 161294) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Portrait de Dorian Gray (1891) de Oscar Wilde
Références de Oscar Wilde - Biographie de Oscar Wilde
Plus sur cette citation >> Citation de Oscar Wilde (n° 74624) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Nature morte (2011) de Louise Penny
Références de Louise Penny - Biographie de Louise Penny
Plus sur cette citation >> Citation de Louise Penny (n° 169404) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Murena, 8. Revanche des cendres (2010) de Jean Dufaux
Références de Jean Dufaux - Biographie de Jean Dufaux
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Dufaux (n° 144717) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Nephilim Intégrale, Tome 1 : Les Déchus (2012) de Fabien Clavel
Références de Fabien Clavel - Biographie de Fabien Clavel
Plus sur cette citation >> Citation de Fabien Clavel (n° 171077) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Jadis et naguère (1884), Les Uns et les Autres, IV, Chloris de Paul Verlaine
Références de Paul Verlaine - Biographie de Paul Verlaine
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Verlaine (n° 122187) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Poétique de la rêverie (1960) de Gaston Bachelard
Références de Gaston Bachelard - Biographie de Gaston Bachelard
Plus sur cette citation >> Citation de Gaston Bachelard (n° 121788) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Monsieur de San Francisco (1915), Frères de Ivan Alekseïevitch Bounine
Références de Ivan Alekseïevitch Bounine - Biographie de Ivan Alekseïevitch Bounine
Plus sur cette citation >> Citation de Ivan Alekseïevitch Bounine (n° 135644) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mélange (1939) de Paul Valéry
Références de Paul Valéry - Biographie de Paul Valéry
Plus sur cette citation >> Citation de Paul Valéry (n° 26229) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Interview L'Express propos recueillis le 30/09/2000 de Michel Piccoli
Références de Michel Piccoli - Biographie de Michel Piccoli
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Piccoli (n° 168942) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Misérables (1862) de Victor Hugo
Références de Victor Hugo - Biographie de Victor Hugo
Plus sur cette citation >> Citation de Victor Hugo (n° 50468) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Eau et les Rêves (1942) de Gaston Bachelard
Références de Gaston Bachelard - Biographie de Gaston Bachelard
Plus sur cette citation >> Citation de Gaston Bachelard (n° 85461) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Né d'aucune femme (2019) de Franck Bouysse
Références de Franck Bouysse - Biographie de Franck Bouysse
Plus sur cette citation >> Citation de Franck Bouysse (n° 166166) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sans référence de George Washington
Références de George Washington - Biographie de George Washington
Plus sur cette citation >> Citation de George Washington (n° 11863) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664), 21 de François de La Rochefoucauld
Références de François de La Rochefoucauld - Biographie de François de La Rochefoucauld
Plus sur cette citation >> Citation de François de La Rochefoucauld (n° 47351) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Veuve (1976) de Pierre Rey
Références de Pierre Rey - Biographie de Pierre Rey
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Rey (n° 147340) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lélia (1833) de George Sand
Références de George Sand - Biographie de George Sand
Plus sur cette citation >> Citation de George Sand (n° 113332) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 172682) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La communication non-violente au quotidien (2003) de Marshall Rosenberg
Références de Marshall Rosenberg - Biographie de Marshall Rosenberg
Plus sur cette citation >> Citation de Marshall Rosenberg (n° 173852) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Cabinet du philosophe (1734) de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
Références de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux - Biographie de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux (n° 52955) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Des grives aux loups (1979) de Claude Michelet
Références de Claude Michelet - Biographie de Claude Michelet
Plus sur cette citation >> Citation de Claude Michelet (n° 160238) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
Références de Georges Simenon - Biographie de Georges Simenon
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Simenon (n° 160715) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Fin de l'homme rouge (2013) de Svetlana Alexievitch
Références de Svetlana Alexievitch - Biographie de Svetlana Alexievitch
Plus sur cette citation >> Citation de Svetlana Alexievitch (n° 165364) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le soleil du lac qui se couche (2001) de Joseph Roger Louis Léveillé, dit J.R. Léveillé
Références de Joseph Roger Louis Léveillé, dit J.R. Léveillé - Biographie de Joseph Roger Louis Léveillé, dit J.R. Léveillé
Plus sur cette citation >> Citation de Joseph Roger Louis Léveillé, dit J.R. Léveillé (n° 129238) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur qui est pris
Toutes les citations sur qui est pris Citations qui est pris Citation qui est pris et Proverbe qui est pris Proverbes qui est pris : 320 citations et proverbes sur qui est pris Citation qui est pris - Proverbe qui est pris - 320 citations Citations, proverbes sur qui est pris Citations, proverbes sur qui est pris Citation sur qui Citations courtes qui
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
