Citations sur cheveux

Ô Corse à cheveux plats, que ta France était belle Au grand soleil de messidor !

Qu'il est doux.... De la voir devant vous accourir au passage, Ses cheveux en désordre épars sur son visage !

Mais la tendre élégie et sa grâce touchante M'ont séduit ; l'élégie à la voix gémissante, Au ris mêlé de pleurs, aux longs cheveux épars, Belle, levant au ciel ses humides regards

À force de voyager en wagon avec des filles bizarrement accoutrées, les cheveux sur les yeux à la chien, ou flottants dans le dos à la Geneviève de Brabant, elle finit par leur ressembler

Les longs cheveux de ton beau chef doré

Elle se alla getter toute nue en chemise à ses pieds, estant merveilleusement desfigurée, tant pour ses cheveux qu'elle avoit arrachez....

Ayant les cheveux et la barbe tous herissez et pouldreux, et le visage desfaict et cousu pour les ennuis qu'il avoit supportez

Il avoit aussi les cheveux un peu relevez

Ils leur permettoient d'accoustrer leurs cheveux et embellir leurs armes et leurs habillemens

Les Parthes laissent croistre leurs cheveux à la mode des Tartares, sans les agencer ny peigner aucunement

Ilz le suivoient les cheveux nonchalamment avallez

Il estoit de belle taille, ayant les cheveux crespes et espez

Il contraignoit les jeunes garçons à porter cheveux longs comme filles et des crispines et autres affiquets d'or par dessus

Ayant les cheveux et la barbe tous herissez et pouldreux

Vieux pédagogue de la cour, appelé le tyran des mots et des syllabes, et qui s'appelait lui-même le grammairien à lunettes et à cheveux gris.... qui traite gravement l'affaire des gérondifs et des participes, comme si c'était celle de deux peuples voisins l'un de l'autre et jaloux de leurs frontières

Sa bouche est fraîche épanouie, Ses cheveux sont blonds et flottants

Dans une accolade bien tendre Nous mêlerons nos cheveux blancs

Duquel la barbe longue et les cheveux avoient effacé la beauté de son viaire

Il tenoit verveine de la quelle il touchoit la teste et les cheveux de luy

Ses cheveux blonds, tressés à double tresse, accompagnaient admirablement sa tête virginale

Tes cheveux déliés, soudain Par anneaux flottants s'épandirent, Et comme un nuage couvrirent L'ivoire poli de ton sein

La vieillesse.... Sous mes faux cheveux blonds déjà toute chenue

Et qu'une main savante avec tant d'artifice Bâtit de ses cheveux l'élégant édifice

Et qu'une main savante, avec tant d'artifice, Bâtit de ses cheveux le galant édifice

La plaintive élégie en longs habits de deuil Sait les cheveux épars gémir sur un cercueil ; Elle plaint des amants la joie et la tristesse, Flatte, menace, irrite, apaise une maîtresse ; Mais, pour bien expliquer ses caprices heureux, C'est peu d'être poëte, il faut être amoureux