Citations sur toi-meme

Par toi-même bientôt conduite à l'Opéra, De quel air penses-tu que ta sainte verra D'un spectacle enchanteur la pompe harmonieuse.... Entendra ces discours sur l'amour seul roulants, Ces doucereux Renauds, ces insensés Rolands... ?

Puisses-tu, de toi-même éternelle victime, Entasser les honneurs sans combler cet abîme [la perte d'un fils], Et pauvre au sein des biens, faute d'un bien si doux....

Puisses-tu, de toi-même éternelle victime.... Trouver sur le sommet de tes grandeurs stériles, Un plus affreux désert que ceux où tu m'exiles !

Et toi-même des tiens devenu le bourreau

Dompte sous une exacte et forte discipline Ces inséparables flatteurs Que l'amour de toi-même à te séduire obstine

Dompte sous une exacte et forte discipline Ces inséparables flatteurs Que l'amour de toi-même à te séduire obstine

Épure tes désirs par cette intention : Tes flammes deviendront comme eux droites et pures, Tes flammes que souvent ta folle passion Recourbe vers toi-même ou vers les créatures

Tu n'étais pas plus emporté quand tu faisais fouetter la mer ; en vérité, tu méritais bien d'être fouetté toi-même pour cette extravagance

Te voilà seul avec toi-même qui étais ton idole

Ne pense pas pourtant qu'en ce langage Je vienne ici, préconiseur peu sage, Tenter ton zèle, humble religieux, Par un encens à toi-même odieux

Prétendrais-tu nous gouverner encor, Ne sachant pas te conduire toi-même ?

Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d'un regard l'immensité féconde ; Ame de l'univers, Dieu, père, créateur, Sous tous ces noms divers, je crois en toi, Seigneur

Fier mortel, bannis ces fantômes ; Sur toi-même jette un coup d'oeil ; Que sommes-nous, faibles atomes, Pour porter si loin notre orgueil ?

Parbleu, tu jugeras toi-même si j'ai tort, Et si c'est sans raison que ce coup me transporte ; Car voici nos deux jeux, qu'exprès sur moi je porte

Parbleu, tu jugeras toi-même si j'ai tort

Parbleu, tu jugeras toi-même si j'ai tort, Et si c'est sans raison que ce coup me transporte

Es-tu toi-même si crédule Que de me soupçonner d'un courroux ridicule ?

Es-tu toi-même si crédule Que de me soupçonner d'un courroux ridicule ?

Es-tu toi-même si crédule Que de me soupçonner d'un courroux ridicule ?

Pourquoi tant de pleurs, chère et douce amie ? pourquoi ces regrets plus grands que ta faute, et ce mépris de toi-même que tu n'as pas mérité ?

Tu juras toi-même D'abolir pour jamais l'autorité suprême