Citations sur frere

Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire ; Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir Qui me ressemblait comme un frère

Le frère aidé de son frère est comme une ville forte

Tous deux mettent la plume au vent, comme bons freres jurez de ne s'abandonner jamais et vivre et mourir ensemble

Chacun y chérit l'autre et le seconde en frère

Ô frère plus aimé que la clarté du jour

Jehan, frere de bast [frère bâtard] à la dame de Glisy

Charles d'Anjou, frere du roy en loy [beau-frère du roi], et son cousin après germain

....à grant peine sont gens de court loyaulx, Et je vous puis assez monstrer comment ; Car où li uns appelle l'autre frere, Il le traïst par derrier feintement

On dist que jadis, par mistere, Les roix si s'appelloient frere, Jà ne fuissent nés d'une mere

En Normandie, membre d'une frairie ou charité, c'est-à-dire d'une confrérie établie pour rendre les derniers devoirs aux morts

Mais où l'esprit n'est pas tout à fait nécessaire, Monsieur, sans vanité, je suis assez bon frère

Et lors vint frere Henri de Ronnay à li, qui avoit passé la riviere, et li besa la main tout armée

Les vertus devraient être soeurs, Ainsi que les vices sont frères

Courroux de freres, courroux de diables d'enfer

Soulager nos frères, les revêtir

Non, un frère incommode et n'est pas de mon goût ; Et je veux être fils unique

Allons donc nous masquer avec quelques bons frères

Vous savez de tout temps que je suis un bon frère

Le roi de Castille frere d'armes et allié du roy [Charles VII]

Philippe de Valois, fils de Charìes, comte de Valois, fils de Philippe, fils de saint Louis et demi-frere de la dite royne d'Angleterre

Deux à deux, comme les freres mineurs

On hait avec fureur lorsque l'on hait un frère

Tu sais de nos sultans les rigueurs ordinaires : Le frère rarement laisse jouir ses frères De l'honneur dangereux d'être sorti d'un sang Qui les a de trop près approchés de son rang

J'ai perdu dans la fleur de leur jeune saison Six frères ; quel espoir d'une illustre maison !

Esther, que craignez-vous ? suis-je pas votre frère ?