Citations sur mer

Ainsi tel.... S'en va, mal à propos, d'une voix insolente, Chanter du peuple hébreu la fuite triomphante, Et, poursuivant Moïse au travers des déserts, Court avec Pharaon se noyer dans les mers

Pour moi, sur cette mer qu'ici-bas nous courons, Je songe à me pourvoir d'esquif et d'avirons

Ô voyage bien différent de celui qu'elle avait fait sur la même mer, lorsque, venant prendre possession du sceptre de la Grande-Bretagne, elle voyait, pour ainsi dire, les ondes se courber sous elle, et soumettre toutes leurs vagues à la dominatrice des mers !

L'étendue de la mer est aussi grande que celle de la terre ; ce n'est point un élément froid et stérile, c'est un nouvel empire aussi riche, aussi peuplé que le premier

Goutte à goutte la mer s'esgoutte

Les rivieres retournent en la mer

Qui veut apprendre à prier aille souvent sur la mer

Ô mer, terrible mer, quel homme à ton aspect Ne se sent pas saisi de crainte et de respect ! De quelle impression tu frappas mon enfance !

Que dis-je ? quelquefois sur une armée entière L'affreux orage roule une mer de poussière

Et de mille bienfaits sa lumière suivie Nous prête son fanal sur la mer de la vie

Errant dans toute l'étendue des mers

On équipe par ses conseils et presque à ses dépens un vaisseau qui doit porter dans la Chine les richesses de l'Évangile ; le ciel, la mer, les vents favorisent d'abord cette entreprise

Là monterent-ils en mer

La mer a esté grosse, et la tempeste chaça nos vaissiaus sur terre, et furent brisié

Que j'aime à contempler dans cette anse écartée La mer qui vient dormir sur la grève argentée, Sans soupir et sans mouvement !

Terre, assoupissez vos échos ; Étends tes vagues sur les plages, ô mer....

Mais déjà l'ombre plus épaisse Tombe et brunit les vastes mers

La mer homme n'attent

Que diray plus ? certes un tel aimer, C'est Dedalus volettant sur la mer

L'empire de la mer a toujours donné aux peuples qui l'ont possédé une fierté naturelle, parce que, se sentant capables d'insulter partout, ils croient que leur pouvoir n'a plus de bornes que l'Océan

Quoi ! pour noyer les Grecs et leurs mille vaisseaux, Mer, tu n'ouvriras pas des abîmes nouveaux ?

Les vents agitent l'air d'heureux frémissements, Et la mer leur répond par ses mugissements

Au seul son de sa voix [de Dieu], la mer fuit, le ciel tremble

La mer la plus terrible et la plus orageuse Est plus sûre pour nous que cette cour trompeuse

Souveraine des mers qui vous doivent porter