Citations sur jean racine

Il n'est pas condamné puisqu'on veut le confondre

Hécube près d'Ulysse acheva sa misère

Et le tombeau, seigneur, est moins triste pour moi Que le lit d'un époux qui m'a fait cet outrage

Soit que je vous regarde ou que je l'envisage, Partout du désespoir je rencontre l'image

Inquiète, empressée, Elle veut qu'à ses yeux j'explique ma pensée

Oses-tu donc parler sans l'ordre de ton roi ?

Votre Ilion encor peut sortir de sa cendre ; Je puis, en moins de temps que les Grecs ne l'ont pris, Dans ses murs relevés couronner votre fils

J'adorerais un Dieu sans force et sans vertu, Reste d'un tronc par les vents abattu, Qui ne peut se sauver lui-même

Le ciel s'est fait sans doute une joie inhumaine à rassembler sur moi tous les traits de sa haine

Jeune peuple, courez à ce maître adorable

Est-il juste après tout qu'un conquérant s'abaisse Sous la servile loi de tenir sa promesse ?

Plût au ciel que sa main, heureusement cruelle, Eût fait sur moi l'essai de sa fureur nouvelle

Seule dans son palais la modeste Junie...

Un juge, l'an passé, me prit à son service

Pour dormir dans la rue on n'offense personne

Toujours verser des pleurs qu'il faut que je dévore !

Mais qui me vient ici différer ma vengeance ?

Ah ! que je crains, mes soeurs, les funestes nuages Qui de ce prince obscurcissent les yeux ; Comme il est aveuglé du culte de ses dieux !

Je cours tout le sérail

Aussi bien n'attends pas qu'un coeur comme le mien Reconnaisse un vainqueur et te demande rien

Un jeune enfant couvert d'une robe éclatante

Je vois bien que la paix ne peut s'exécuter

Prendrait-elle pour roi l'esclave de Mycène.... Qui s'est au roi d'Argos indignement soumis ?

Il est temps de montrer cette ardeur et ce zèle Qu'au fond de votre coeur mes soins ont cultivés, Et de payer à Dieu ce que vous lui devez

Je viens percer un coeur que j'adore, qui m'aime ; Et pourquoi le percer ? qui l'ordonne ? moi-même