Citations sur coteaux

Nous visitons les bois et les coteaux vineux

Quant ce vint à la descente de quelques coteaux assez roides

En Champagne, en Bourgogne, Les coteaux sont grêlés

En champagne, en Bourgogne, Les coteaux sont grêlés

Sur nos coteaux que le pampre naissant Serve à couronner la victoire

La vue présente aux yeux divers coteaux dont cette campagne est enfermée

.... Ô coteaux du Taygète, Par les vierges de Sparte en cadence foulés, Oh ! qui me portera dans vos bois reculés !

Dans ces riches vallons la moisson jaunira, Sur ces coteaux riants la grappe noircira

Languedoc : les terres calcaires sont plus ou moins pierreuses et ocreuses ; elles occupent principalement les coteaux ou soubergues

Cette vallée.... ceinte de coteaux merveilleusement agréables

Il interdira aux coteaux du Midi de germer l'olive et la vigne pour les hommes du Nord

Cette forêt ondoyante et touffue, Amphithéâtre agréable à la vue, De toute part enfermant ce séjour, Borde le pied des coteaux d'alentour

Nos deux coteaux se regardaient

Un jour sur ces coteaux le vigneron paisible, Mariant les ormeaux et la vigne flexible, Roulera sous ses pas des ossements blanchis

Un jour le vigneron, sur ces coteaux paisibles, Mariant les ormeaux et les vignes flexibles

Un jour le vigneron, sur ces coteaux paisibles [où s'est livrée la bataille de Granson], Mariant les ormeaux et les vignes flexibles, Roulera sous ses pas des ossements blanchis

Un jour le vigneron, sur ces côteaux paisibles, Mariant les ormeaux et les vignes flexibles

J'ai des argus aux coteaux d'alentour Qui feront leur devoir d'y veiller nuit et jour

J'ai des argus aux coteaux d'alentour Qui feront leur devoir d'y veiller nuit et jour

Il y a dans la Suisse un air célèbre, appelé le ranz des vaches, que les bergers sonnent sur leurs cornets et dont ils font retentir tous les coteaux du pays

Entre deux coteaux assez élevés est un petit vallon nord et sud, au fond duquel coule une rigole entre des cailloux et des arbres

Le maréchal de Lorge voyait des coteaux fourrés dont il ne connaissait ni les revers ni ce qui y pourrait être de troupes

Des monts et des coteaux le vaste amphithéâtre Disparaît tout à coup sous un voile grisâtre

Et les Alpes de loin, s'élevant dans la nue, D'un long amphithéâtre enferment ces coteaux Où le pampre en festons rit parmi les ormeaux