Citations sur corneille

Son retour me fâchait plus que son hyménée

Notre siècle a inventé une autre espèce de prologue pour les pièces de machines, qui ne touche point au sujet, et n'est qu'une louange adroite du prince devant qui les poëmes doivent être représentés

Il n'y a donc rien qui répugne à leur donner une reine

Crois-tu qu'aimant Daphnis, le titre de son père Débilite ma force, ou rompe ma colère ?

Tu le verras, méchant, plus tôt que tu ne penses, Attends, attends de lui tes dignes récompenses

Et lorsque contre vous il m'a fait entreprendre, La nature en secret aurait dû m'en défendre

Fortifie, affermis ceux qu'ils auront séduits

Je cours longtemps en vain ; mais enfin, d'une roche, J'en découvre le tronc [du corps de Pompée] vers un sable assez proche

Voici une pièce d'une constitution assez extraordinaire ; aussi est-ce la vingt et unième que j'ai fait voir sur le théâtre

Pourras-tu dans son lit dormir en assurance ?

La honte de mourir sans avoir combattu Rétablit leur désordre, et leur rend leur vertu

Remettez en éclat la puissance absolue

Ne me fais plus languir, dis promptement

Je cherche à l'arrêter [le marier], parce qu'il m'est unique [fils unique]

Rome a voulu le perdre, et non pas m'agrandir

Qui fait le conseiller n'est plus ambassadeur ; Il excède la charge, et lui-même y renonce

Et pour te faire choir je n'aurais aujourd'hui Qu'à retirer la main qui seule est ton appui

Un même jour t'a vu par une fausse adresse Trahir ton souverain, ton ami, ta maîtresse

Puissant réparateur des misères humaines

Que si j'étais à moi, je voudrais être à vous

Après trente-trois ans sur le trône perdus, Commençant à régner, il a cessé de vivre [Louis XIII]

Et lorsqu'on se retranche au langage des yeux

Il y avait quelque apparence qu'il n'en était pas échappé

Les Parthes, les Persans veulent des souverains

L'État est florissant, mais les peuples gémissent