Citations sur corneille

Et toi-même des tiens devenu le bourreau

Le temps assez souvent a rendu légitime Ce qui semblait d'abord ne se pouvoir sans crime

Celles de ma naissance ont horreur des bassesses

Il est une autre voie et plus sûre et plus prompte Que dans l'éternité j'aurais lieu de bénir

T'emparer d'une reine en son propre palais

Peut-être que tu mens aussi bien comme lui

Il rendra quelque calme à son coeur magnanime

Ô colère, ô pitié, sourdes à mes désirs !

Moi-même en cet adieu j'ai les larmes aux yeux

Prince, il est temps de fuir quand on se défend mal

À l'honneur de tous deux il porte un coup mortel

Gardez votre pouvoir, reprenez-en la marque

C'est attendre l'issue à couvert de l'orage

Je perdrai mon crédit envers sa majesté

Semblables à ces voeux dans l'orage formés, Qu'efface un prompt oubli quand les flots sont calmés

Soudain qu'elle m'a vu, Ces mots ont éclaté d'un transport imprévu

Mais quoique ce combat me promette un cercueil

Je sais.... mais Vinius, que j'aperçois venir....

Je vous devrai beaucoup pour un si bon office

Et, se laissant ravir à l'amour maternelle

Dieu fait part au besoin de sa force infinie

Et l'ordre des traités règle tout dans leur coeur [des princesses]

Dites-moi donc, seigneur, ce qu'en jugent vos yeux, S'ils laissent votre coeur d'accord de vos promesses

Ces âmes que le ciel ne forma que de boue

Et sa haute vertu par d'illustres effets Y dissipa soudain ces vices contrefaits