Citations sur corneille

Qu'avais-je contre vous ou fait ou projeté, Pour me faire tremper en votre lâcheté ?

En cette qualité [de fils de roi] vous devez reconnaître Qu'un prince votre aîné doit être votre maître

Il vous assure et vie, et gloire, et liberté

J'adore ce grand coeur qui rend ce qu'il doit rendre Aux illustres aïeux dont on vous voit descendre

Comprenez-vous de sa part une telle bizarrerie ? Que sait-on si l'amour, dont la bizarrerie Se joue assez souvent du fond de notre coeur....

Et bien que ma pensée Épluche à la rigueur ma conduite passée

Sa pensée, Entre vos deux amants, n'est pas fort balancée

Si vous n'en pouvez mieux consoler une mère, Qu'en la traitant d'égale avec une étrangère

Il y va de ma charge, il y va de ma vie

J'aimais vous l'avez su ; mais, pour venger mon père, J'ai bien voulu proscrire une tête si chère

Même de vos rivaux la gloire vous est chère

C'est à quoi se réduit tout ce raisonnement

J'obéis sans réserve à tous vos sentiments

Voilà de vos chrétiens les ridicules songes ! Voilà jusqu'à quel point vous charment leurs mensonges !

Lui rendre Nicomède avecque ma couronne

La seule vérité donne aux afflictions Des consolations Durables à l'égal de la sainte parole

N'eût-il [Horace] que d'un moment reculé sa défaite, Rome eût été du moins un peu plus tard sujette

Sylla par politique a pris cette mesure, De montrer aux soldats l'impunité fort sûre

Réduite à balancer son esprit agité Entre l'idolâtrie et l'impudicité

L'entrevue aisément se termine en querelle

Un chétif centenier des troupes de Mysie

.... tu ne prétends pas qu'il [le destin] m'abatte le coeur Jusqu'à te rendre hommage et te nommer seigneur

Les peintres qui cherchent à faire voir leur art dans les nudités ne manquent jamais à nous représenter Andromède nue au pied du rocher où elle est attachée, quoique Ovide n'en parle point

Horace les voyant l'un et l'autre écartés

J'aurais quelque chagrin à vous traiter de reine ....S'il me fallait ramper dans un degré plus bas