Citations sur corneille

Albin l'a rencontré dans la proche campagne

Ses vaisseaux en bon ordre ont éloigné la ville

La pure et entière résignation de soi-même, pour obtenir la liberté du coeur

Non que ma passion s'en soit vue alentie

Je vous vois à regret, tant mon coeur amoureux Trouve la cour pour vous un séjour dangereux

.... je veux l'affranchir ensemble et la venger

De tout loin je vous ai reconnue

Et les membres épars des mauvais interprètes [de l'énigme du sphinx] Ne laissaient dans ces murs que des bouches muettes

Sa perte m'affaiblit, et son trépas m'afflige

N'es-tu pas, ô mon Dieu, mon seigneur souverain, Et moi ton serviteur pauvre, lâche, imbécile, Dont tout l'effort est inutile, à moins qu'avoir l'appui de ta divine main ?

Avec de tels seconds rien n'est pour vous douteux

À peine du palais il sortait dans la rue, Qu'une flèche a parti d'une main inconnue

Je le tiendrai longtemps dessous votre fenêtre

Je me cache à moi-même un excès de malheur Où notre ignominie égale ma douleur

Pour votre Perpenna, que sa haute naissance N'affranchit point encor de votre obéissance

Il leur jette de l'or ensuite à pleines mains

Toi qu'un amour furtif souilla de tant de crimes, M'oses-tu reprocher mes ardeurs légitimes ?

Rempli de votre idée, il m'adresse pour vous Ces mots, où l'amitié règne sur le courroux

S'il est prompt et bouillant, le roi ne l'est pas moins ; Et comme à l'échauffer j'appliquerai mes soins....

Le tyran, du palais nous a tous éloignés

Parnes, soles, appuis, jambages

Mes jours avec les siens [d'Auguste, que je tuerai] se vont précipiter

Cet orgueilleux esprit, enflé de ses succès, Pense bien de ton coeur nous empêcher l'accès

Cléopatre s'enferme en son appartement, Et, sans s'en émouvoir, attend son compliment [de César]

En cet aveuglement ne perds pas la mémoire Qu'ainsi que de ta vie il y va de ta gloire