Citations sur corneille

Que sert la volonté d'un chef qu'on peut dédire ?

Et mes yeux, éclairés des célestes lumières, Ne trouvent plus aux siens [de Pauline] leurs grâces coutumières

Avec un grand soupir

J'eus toujours pour suspects les dons des ennemis

....Ce n'est pas, seigneur, ce qui me tient en peine

Moi, marié ! ce sont pièces qu'on vous a faites ; Quiconque vous l'a dit s'est voulu divertir

Sera-ce hors des murs, au milieu de ces places Qu'on voit fumer encor du sang des Curiaces ?

L'occasion, Néarque, est-elle si pressante ?

Je veux qu'elle me voie au coeur de ses États Soutenir ma fureur d'un million de bras

Et qui, sans se flatter, en secret s'examine, Est de son ignorance heureusement confus

Un prince est sur son trône à jamais affermi, Quand il est honoré du nom de son ami

Le ciel choisit souvent de secrètes conduites Qu'on ne peut démêler qu'après de longues suites

Il veut frapper le coup sans notre ministère

Il croit cette âme basse et se montre sans foi ; Mais, s'il croyait la sienne, il agirait en roi

Mais puisque c'en est fait, le mal est sans remède

Mais tous deux s'emportant à plus d'irrévérence

Donc jusqu'à l'oublier je pourrais me contraindre

La fidélité qu'on garde imprudemment, Après un peu d'éclat, traîne un long châtiment

Le grand César blâme votre action Avec moins de courroux que de compassion

Le désir de savoir est naturel aux hommes ; Il naît dans le berceau sans mourir qu'avec eux

C'est le salutaire suprême, Que vos saintes prénotions Vous ont fait préparer vous-même Devant toutes les nations

Je jure les rayons du jour qui nous éclaire Que tu ne mourras point que de la main d'un père

Sitôt que la mort de son rival fait quelque ouverture à son espérance

Je n'ai reçu de vous que mépris et que haine

L'autre hiver, faisant ici ma cour