Citations sur corneille

Puissé-je.... Voir le dernier Romain à son dernier soupir !

Pour aimer comme il faut, il faut pour ce qu'on aime Embrasser l'amertume et la dureté même

Et si le peuple y voit quelques déréglements [chez les princes], C'est quand l'avis d'autrui corrompt leurs sentiments

L'occasion nous rit dans un si grand dessein, Mais tel bras n'est à nous que jusques à demain

Voyant d'un temps si court leur puissance bornée, Des plus heureux desseins [ils] font avorter le fruit

Qu'il fasse autant pour soi comme je fais pour lui

Et je ne rendrai point menace pour menace

Mais puisque c'en est fait, le mal est sans remède

Quinze ou vingt révoltés au milieu de la place Viennent de proclamer Othon pour empereur

Il émut le sénat pour des rois outragés

Cliton : Par exemple, voyez, aux traits de ce visage Mille dames m'ont pris pour homme de courage, Et, sitôt que je parle, on devine à demi Que le sexe jamais ne fut mon ennemi. - Cléandre : Cet homme a de l'humeur. - Dorise : C'est un vieux domestique Qui, comme vous voyez, n'est pas mélancolique

Il est leur général, Ils combattent sous lui, sous son ordre ils s'unissent

Et si de tant d'amour tu peux être ébahie

Faire réponse en reine et comme le mérite Et de qui l'on me parle et qui m'en sollicite

C'est fait de votre vie et je vous le promets

Le trône où je me sieds n'est pas un bien de race

Vous perdez le respect : mais je pardonne à l'âge

Assez d'autres sans vous n'ont pas mis en oubli ...

Tu fais après cela des contes superflus

Rome se fera craindre à l'égal du tonnerre

Quoi ! mon père étant mort et presque entre mes bras, Son sang criera vengeance et je ne l'orrai pas

Otez moi donc de doute Et montrez-moi la main qu'il faut que je redoute

Mais de ses derniers mots voyant le sens douteux....

Douter de ses ardeurs, Vous qui la pouvez mettre au faîte des grandeurs

Pourquoi, de mon tyran volontaire victime, Précipiter vos jours pour me noircir d'un crime ?