Citations sur corneille

Ce qu'elle me disait est, de vrai, fort étrange

Ne me regarde plus d'un visage étonné

C'est ainsi que la terre, au retour du printemps, Des grâces du soleil se défend quelque temps, De ses premiers rayons refuit les avantages, Et pour les repousser élève cent nuages

La maison des vaincus touche seule mon âme

Ne crois rien précieux, ne crois rien admirable, Rien noble, rien enfin dans la solidité, Que ce qui doit aller jusqu'à l'éternité

Le prologue est ce qui se récite avant le premier chant du choeur ; l'épisode, ce qui se récite entre les chants du choeur ; et l'exode, ce qui se récite après le dernier chant du choeur

Ennuyé de supplices, Ayant puni les chefs il pardonne aux complices

J'en [de mes crimes] connais mieux que vous toute l'énormité

C'est sur ces exemples [de Grotius et la Passion, de Buchanan et l'histoire de Jephté] que j'ai hasardé ce poëme, où je me suis donné des licences qu'ils n'ont pas prises

Seigneur, que vous dirais-je, après que nos offenses, Au lieu de châtiment, trouvent des récompenses ?

Je sais qu'il [l'empire de Rome] doit s'accroître, et que tes grands destins Ne le borneront pas chez les peuples latins

Les choses quelquefois prennent un autre cours

Le style n'est pas plus élevé ci que dans Mélite ; mais il est plus net et plus dégagé des pointes dont l'autre est semée, qui ne sont, à en bien parler, que de fausses lumières dont le brillant marque bien quelque vivacité d'esprit, mais sans aucune solidité de raisonnement

Il passe pour constant que....

Je saurai bien rabattre une humeur si hautaine

Et l'honneur souverain qu'ici je vous défère

Puisque c'est la chasser, Seigneur, je me retire

À moins qu'en attendant le jour du mariage....

Il est avantageux qu'on blâme, qu'on censure Nos plus sincères actions

Qui se laisse outrager mérite qu'on l'outrage

Quoi, tu lis les romans? Je puis bien lire Astrée, Je suis de son village, et j'ai de bons garants Qu'elle et son Céladon étaient de mes parents

Comme entre deux rivaux la haine est naturelle

Mourir pour son pays n'est pas un triste sort ; C'est s'immortaliser par une belle mort

Tu fais après cela des contes superflus

Du nom de dictateur, du nom de général, Qu'importe, si des deux le pouvoir est égal ? Les titres différents ne font rien à la chose