Citations sur corneille

L'amour que j'ai pour vous a commis cette offense, Lui seul à mon devoir fait cette violence

On a dix fois sur vous attenté sans effet

Un tissu de cheveux Que reçut Don Fernand pour arrhes de mes voeux

Et lorsque le malade aime sa maladie, Qu'il a peine à souffrir que l'on y remédie !

Plus lors sa connaissance est diffuse et certaine

Cet horrible débris d'aigles, d'armes, de chars, Sur ces champs empestés confusément épars

Et comme si vos feux étaient un don fatal, Il en fait un présent lui-même à son rival

Défais-toi, mon fils, de tout le corruptible

Misérable vengeur d'une juste querelle

Mais quand on peut sans honte être sans fermeté, L'affecter au dehors est une lâcheté

[Elle] ....veut lier les mains au destin adouci Qui m'offre en d'autres lieux ce qu'on me vole ici

Auprès d'un tel malheur, pour nous irréparable....

Débile vaillance

J'adore ce grand coeur qui rend ce qu'il doit rendre Aux illustres aïeux dont on vous voit descendre

Je veux bien l'avouer, ces nouvelles m'étonnent

Ce jour est encor loin

Il se hâte et s'épuise en efforts superflus

L'amour s'y fait paraître avec la majesté

C'est une vision de mes soupçons jaloux

Qu'il mourût, Ou qu'un beau désespoir alors le secourût

Et ce vieux droit d'aînesse est parfois si puissant Que pour remplir un trône il rappelle un absent

Tant que tu te défends d'y rien contribuer [aux mauvaises pensées], Tu leur défends aussi de rien effectuer

Carlos rend témoignage en vain contre soi-même

Adieu, donnez la main [mariez-vous], mais gardez-moi le coeur

Ils sont d'intelligence ; ah ! tête