Citations sur corneille

Apprenez-moi de grâce Comment vous résolvez que le festin se passe

N'espère point de joie, ô mon coeur, que frivole, N'en espère aucune ici-bas, Qu'en ce grand Dieu de qui le bras Soutient l'humble et le pauvre et partout le console

J'en cache les deux tiers aussitôt qu'arrivés Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés

Tout ce que tu me dis, Euphorbe, est incroyable

Enfin l'esquif aborde, on l'invite à descendre

Hier, dans sa belle humeur, elle entretint Valère

Vous vendez dix rabats contre moi deux galants

Remplissez mieux un nom sous qui nous tremblons tous

Quoi ! se pourrait-il faire Qu'à l'oeuvre de ses mains Rome devînt contraire ?

Voilà de vos chrétiens les ridicules songes ! Voilà jusqu'à quel point vous charment leurs mensonges !

Les chrétiens n'ont qu'un Dieu, maître absolu de tout, De qui le seul vouloir fait tout ce qu'il résout

En vain en l'attaquant [il] fait paraître un grand coeur

Un songe en notre esprit passe pour ridicule, Il ne nous laisse espoir, ni crainte, ni scrupule ; Mais il passe dans Rome avec autorité Pour fidèle miroir de la fatalité

Enfin donc ton amour ne craint plus de disgrâce

Je vis votre royaume entre ces murs réduit

Et nous épargnerons ces flots de sang romain Que versent tous les ans votre bras et ma main

Ainsi je les tiendrai tous les deux en contrainte, L'un par mon alliance et l'autre par la crainte

Sus, sus, brisons la porte, enfonçons la maison

Elle.... Attend l'ordre d'un père à choisir un époux

Sa résolution a si peu de pareilles

Je seconderai Rome, et veux vous introduire

Prenez ainsi que moi des sentiments plus hauts, Et suivez mes vertus ainsi que mes défauts

Seigneur, de tous côtés le peuple vient en foule

Voir le dernier Romain à son dernier soupir, Moi seule en être cause et mourir de plaisir !

Et je pourrai souffrir qu'un amour suborneur Sous un lâche silence étouffe mon honneur !