Citations sur corneille

Vous vous alarmez peu d'une telle menace

Enfin épargnez-moi ces tristes entretiens Qui ne font qu'irriter vos tourments et les miens

Et cette vieille erreur que Cinna veut abattre....

Notre profond silence abusant leurs esprits, Ils n'osent plus douter de nous avoir surpris

Je vois, je sais, je crois, je suis désabusée

Ah ! tu me rends la vie et le sceptre à la fois ; Un sage conseiller est le bonheur des rois

Je veux croire après vous que tout est apaisé

Sans songer qu'à me plaire, exécutez mes lois

Va, bienheureux amant, cajoler ta maîtresse

Quand de sa folle erreur vous l'aurez diverti

Châtier en autrui ce qu'on souffre chez soi

Seigneur, vous emporter à cette extrémité Est plutôt désespoir que générosité

Ne me reprochez plus que par mes cruautés Je tâche à conserver mes tristes dignités ; Je dépose à vos pieds l'éclat de leur faux lustre

Cet avertissement marque une défiance

Fais m'en haïr, peins-moi d'une humeur noire et fière

Ainsi jamais il n'est la proie Du lion toujours rugissant, Qui, pour surprendre l'innocent, Tout à l'entour de lui tournoie

Il n'en va pas ainsi du combat de D. Sanche

Exclu du consulat par l'hymen d'une reine

Ah ! quelle cruauté, qui tout en un jour tue Le père par le fer, la fille par la vue !

Don Rodrigue et don Sanche à l'envi font paraître Le beau feu qu'en leurs coeurs ses beautés ont fait naître

Un prince est dans son trône à jamais affermi Quand il est honoré du nom de son ami [de Rome]

Quand ils vous accusaient, je les croyais bien moins

Si je réduis Pompée à chasser Émilie....

Il faudrait, Xénoclès, une âme plus sublime

Ciel qui vois ma misère et qui fais les heureux, Prends pitié d'un devoir qui m'est si rigoureux