Citations sur corneille

J'ai le coeur sensible ; Suivant qu'on m'aime ou hait, j'aime ou hais à mon tour

Bien que leur naissance au trône les destine

D'un et d'autre côté l'accès étant permis, Chacun va renouer avec ses vieux amis

Depuis que mon esprit est capable de flamme, Jamais un trouble égal n'a confondu mon âme

Si ce fils vit encore, il a tué son père, C'en est l'indubitable et le seul caractère

Oui, seigneur, dans son mal Rome est trop obstinée

Dieu qui rend le centuple aux bonnes actions

Cette obscure clarté qui tombe des étoiles, Enfin avec le flux nous fi voir trente voiles

Vous déguisez en vain une chose trop claire

Opposons la constance aux périls....

Et j'estime si peu ces nouvelles amours, Que je te pleige encor son retour dans deux jours

Je dois donc me contraindre, et j'y suis résolu

Les moins sévères lois en ce point sont d'accord

Quel adieu vous dirai-je ? et par quels compliments....

Vois leur constance au milieu de leurs gênes, Monter plus haut, plus on les fait languir

... Qui soutient avec coeur et magnanimité L'honneur de sa naissance et de sa dignité

Voyez couler nos pleurs sans y mêler vos larmes

Mais il peut faire aussi des consuls à son choix De qui la pourpre esclave agira sous ses lois

Mille agitations que mes troubles produisent

Sauvez-vous d'une vue à tous les deux funeste

S'il arrive qu'Auguste avec lui la punisse

La galère s'éloigne avec son espérance

Son jeune frère qu'il rétablit dans le trône

Et ces grands coeurs, enflés du bruit de leurs combats, Souverains dans l'armée et parmi leurs soldats, Font du commandement une douce habitude

Veux-tu jusqu'en ton coeur la sentir vive et forte [la componction], Rentre dans ta cellule et fermes-en la porte Aux tumultes du monde, à sa vaine rumeur