Citations sur corneille

On briguerait en foule une si belle mort

L'impétueuse ardeur de ces transports nouveaux à son sang prisonnier ouvre tous les canaux ; Son élancement perce ou rompt toutes les veines

Il se voyait perdu, s'il ne vous eût pas joint

.... tu veux donc vivre en d'éternels supplices ?

Si Crassus est défait, Rome n'est pas détruite ; D'autres ont ramassé les débris de sa fuite

Mais de ses derniers mots voyant le sens douteux....

N'importe, servons-la, méritons son amour

Enfin il a poussé nos armes fortunées Jusques à vous réduire au pied des Pyrénées

Ne quittons pas pourtant ; à la longue on fait tout

En vous ôtant un gendre on vous en donne un autre Dont la condition répond mieux à la vôtre

Et si tu n'aimes mieux que l'un ou l'autre meure

Vous en pouvez jouir et le désapprouver

Et la seule pensée [de conspirer] est un crime d'État

Mais le voici ce bras à Rome si fatal

À quel droit voulez-vous que cette haine cesse Pour qui lui disputa ce trône et sa maîtresse ?

J'emprunte du secours et le fais hautement

L'hymen où je m'apprête est pour vous une gêne !

J'accepte aveuglément cette gloire avec joie

Quelque peu de crédit que chez vous il obtienne

Un bras seul à nous trois nous ferme le passage

Garcie ?

Je vous devrai beaucoup pour un si bon office

Puisque c'est la chasser, Seigneur, je me retire

C'est de quoi je voulais vous faire confidence

Tel le grand saint Louis, la tige des Bourbons, Lui-même du soudan forçait les bataillons