Citations sur corneille

[Honneurs, plaisirs] Ainsi n'espérez pas qu'après vous je soupire ; Vous étalez en vain vos charmes impuissants

En Dieu seul est aussi le repos de sa course [de l'âme]

J'ai beau faire et beau dire afin de l'irriter

Quelqu'un auprès de vous m'a fait cette imposture

On fait plus, on m'impute un coup si plein d'horreur Pour me faire un passage à vous percer le coeur

Je me remets à vous de ce qui vous regarde

Vaine compassion des douleurs d'Angélique, Qui penses triompher d'un coeur mélancolique

Ce doit vous être assez de m'avoir abusée, Sans faire encor de moi vos sujets de risée

C'est lui seul qui bannit ces petits malheureux

Sa tête sur un bras languissamment penchée, Immobile et rêveur, en malheureux amant....

Ni sur l'éclat d'un nom cent et cent fois vainqueur

Pour sauver une vie, après tout, périssable, En rendrais-je le reste infâme et détestable ?

Le prince Antiochus, devenu nouveau roi, Sembla de tous côtés traîner l'heur avec soi

Ma soeur, auparavant engagez l'entretien, Et, s'il s'en offre lieu, jouez d'un peu d'adresse Pour votre intérêt et le mien

[Ce juste juge.] Qui jusque dans ton coeur sait lire ton péché, Qu'aucun don n'éblouit, qu'aucune erreur n'abuse

Elle m'envoie Savoir à cet abord ce qu'on a vu de joie

Ciel qui vois ma misère et qui fais les heureux, Prends pitié d'un devoir qui m'est si rigoureux

Ils n'avaient garde de loger dans le même palais

Après certains moments que perdent nos longueurs, Elle [la grâce] quitte ces traits qui pénètrent les coeurs

Je me revêtirais de brillantes chimères

Porte, porte ce coeur à de plus douces chaînes

Puisqu'il aime à périr, je consens qu'il périsse

Voici une pièce d'une constitution assez extraordinaire ; aussi est-ce la vingt et unième que j'ai fait voir sur le théâtre

Les bravades enfin sont des discours frivoles, Et qui songe aux effets néglige les paroles

Ne considérez point cette grandeur suprême ; Traitez-moi comme ami, non comme souverain