Citations sur corneille

Le temps du vrai mérite est celui des traverses ; Pour triompher il faut souffrir

Puisqu'ils font des heureux, adorez leur ouvrage

Ô sort.... Reprenez la faveur que vous m'avez prêtée

Tant que Galba vivra, le respect de son âge, Du moins apparemment, soutiendra son suffrage

Sur un lit de gazon de faiblesse étendu, Il semblait déplorer ce qu'il avait perdu

À tant de perfidie et tant d'ingratitude

Ici, près des remparts de l'auguste cité, Il a marqué la fin de ma calamité

Et, sous un faux espoir de nous mieux établir, Ce renfort accepté pourrait nous affaiblir

J'en cache les deux tiers aussitôt qu'arrivés Dans le fond des vaisseaux qui lors furent trouvés

Tu vois, ma Stratonice, en quel siècle nous sommes

Joignons à la douceur de venger nos parents....

Je perdrai mon crédit envers sa majesté

[Honneurs, plaisirs] Ainsi n'espérez pas qu'après vous je soupire ; Vous étalez en vain vos charmes impuissants

Ils ne veulent pas voir leurs ennemis confus

Dès que j'ai vu l'affront, j'ai prévu la vengeance

Voyez ce qu'en ces lieux il venait demander, S'il est heure si tard de faire une visite

Un courroux implacable, un orgueil endurci

Cette douleur pressante Que la mort d'un amant jette au coeur d'une amante, Quand, près d'être éclairés du nuptial flambeau, Elle voit avec lui son espoir au tombeau

À raconter ses maux souvent on les soulage

Ces grands rois qu'en tous lieux a suivis la victoire, Lui voyant emporter sur eux le premier rang

On a dix fois sur vous attenté sans effet

Je viens tout de nouveau vous apporter ma tête

Puisse le grand moteur des belles destinées, Pour prolonger vos jours, retrancher nos années !

Julie, on nous renferme, on a peur de nos larmes

Si je hasarde trop de m'être déclarée, J'aime mieux ce péril que ma perte assurée