Citations sur corneille

Et que l'État demande aux princes légitimes Des prix pour les vertus, des peines pour les crimes

N'en délibérons plus, cette pitié l'emporte

Les uns assassinés dans les places publiques

Cependant mon destin est à ce point amer

Cette énorme action, faite presque à nos yeux, Outrage la nature, et blesse jusqu'aux dieux

Mais peut-être qu'un jour je dépendrai de moi

Où vas-tu nous réduire, amitié fraternelle ?

Par quel amour de mère Pressez-vous tellement ma douleur contre un frère ? Prenez-vous intérêt à la faire éclater ? - J'en prends à la connaître et la faire avorter

Vous me rendez le sceptre.... je vous conjure.... De n'ensanglanter pas ce que vous me rendez ; Faites grâce, seigneur, ou souffrez que j'en fasse [aux assassins de Pompée]

J'ajoute à ces tableaux la peinture effroyable De leur concorde impie, affreuse, inexorable

Et ce n'est qu'à dessein de pourvoir aux dommages Que du Vésuve ardent ont causés les ravages

Jusqu'à ce qu'on nous craigne et que le temps arrive De remettre en ses mains la puissance effective

Il ne faut point douter que des commencements si merveilleux ne soient soutenus par des progrès encore plus étonnants

Que la vengeance est douce à l'esprit d'une femme !

Ton sang qui chaque jour à longs flots distillés S'échappe vers ton frère et six rois immolés

Il te peut en tombant écraser sous sa chute

Quoi ! voilà donc enfin de quoi vous vous flattez !

Mais, si les dieux m'ont fait la vie abominable, Ils m'en font par pitié la sortie honorable

Voiles, crêpes, habits, lugubres ornements

Brouiller la populace

Un même instant conclut notre amour et la guerre

Mais une juste peur tient son âme effrayée

Quelles méchantes gens ! Achillas et Photin sont gens à dédaigner

Ce bonheur a suivi leur courage invaincu, Qu'ils ont vu Rome libre autant qu'ils ont vécu

Misérable vengeur d'une juste querelle, Et malheureux objet d'une injuste rigueur