Citations sur corneille

Contre nous de pied ferme ils tirent leurs alfanges, De notre sang au leur font d'horribles mélanges

De quoi remercier qui ne me donne rien ?

Albe vous a choisi, je ne vous connais plus. - Je vous connais encore, et c'est ce qui me tue

Il ne veut point sur lui faire agir sa justice

Mais nous saurons toujours rebrousser en arrière, Et, quand il nous plaira, nous retirer du jeu

S'il [César] les vainc [ses ennemis], s'il parvient où son désir aspire

Vous, madame, agréez pour votre grand héros Que ses mânes vengés goûtent un plein repos

Mais quitter l'un pour l'autre est un échange heureux

Mais bientôt, malgré nous, leurs princes les rallient, Leur courage renaît, et leurs terreurs s'oublient

Mais, seigneur, je m'emporte, et l'excès d'un tel heur Me fait vous en parler avec trop de chaleur

Après s'être emparé des droits de ma naissance

Ils peuvent répéter le son de tes paroles ; Mais il n'est pas en eux d'en conférer l'esprit

Albin l'a rencontré dans la proche campagne

L'amant si fortement s'unit à ce qu'il aime Qu'il en fait dans son coeur une part de lui-même

Il me semble surtout incessamment le voir Déposer en nos mains son absolu pouvoir

L'empire.... dont les Huns, les Goths, les Vandales, les Francs Bouleversent la masse et déchirent les flancs

Mais le mien [art], quoique moindre, a pleine autorité De vous faire sortir d'un séjour enchanté

Prince, que voulez-vous d'un coeur préoccupé Sur qui domine encor l'ingrat qui l'a trompé ?

Nos Espagnols formés à votre art militaire

Elle-même leur dresse une embûche au passage, Se mêle dans les coups, porte partout sa rage

Ce vif ressentiment qu'excite l'inconstance

Horace, les voyant l'un de l'autre écartés, Se retourne, et les croit déjà demi-domptés

Et mon âme est ravie Que mon coup d'essai plaise à qui je dois la vie

Plût aux dieux Que sa bonté touchât la beauté qui me charme !

. N'y portez, s'il se peut, que de l'indifférence