Citations sur boileau

Tels deux fougueux taureaux, de jalousie épris, Auprès d'une génisse au front large et superbe....

Et lorsqu'une cabale, Un flot de vains auteurs follement te ravale

Tout reçoit dans ses mains une nouvelle grâce

Peut-on m'attribuer ces sottises étranges ?

Puis, en tristes lambeaux semés dans les marchés, Souffrir tous les affronts au Jonas reprochés

....Des flots de vinaigre rosat

La nature, féconde en bizarres portraits, Dans chaque âme est marquée à de différents traits

Il faut qu'en cent façons pour plaire il [l'auteur dramatique] se replie

Attendez.... c'est depuis vingt ans, On en tira cent exemplaires

Mais en vain pour un temps une taxe l'exile [un partisan] ; On le verra bientôt, pompeux, en cette ville, Marcher encor chargé des dépouilles d'autrui

Et qu'Horace, jetant le sel à pleines mains, Se jouait aux dépens des Pelletiers romains

Un affreux serrurier, laborieux Vulcain.... De cent coups de marteau me va fendre la tête

Ma franchise surtout gagna sa bienveillance

....Cent fois la bête a vu l'homme hypocondre Adorer le métal que lui-même il fit fondre

J'oubliais de vous avertir que je lui ai auparavant dit encore une particularité qui l'a assez agréablement surpris, c'est à savoir que je prétendais n'avoir proprement fait autre chose dans mon ouvrage que mettre en rimes la doctrine qu'il venait de nous débiter

Aux accords d'Amphion les pierres se mouvaient, Et sur les murs thébains en ordre s'élevaient

Soit qu'il fasse au sénat courir les sénateurs, D'un tyran soupçonneux pâles adulateurs

Que, devant Troie en flamme, Hécube désolée Ne vienne pas pousser une plainte ampoulée

Le sublime est une certaine force de discours propre à élever et à ravir l'âme, et qui provient ou de la grandeur de la pensée et de la noblesse du sentiment, ou de la magnificence des paroles, ou du tour harmonieux, vif et animé de l'expression

J'ai peur que l'univers, qui sait ma récompense, N'impute mes transports à ma reconnaissance

Hâtons-nous, le temps fuit et nous traîne avec soi

L'ardeur de se montrer et non pas de médire Arma la vérité du vers de la satire

J'ai lu avec grand plaisir l'exacte relation que vous m'avez envoyée de la réception de nos deux jeunes princes [le duc de Bourgogne et le duc de Berry] dans votre illustre ville [Lyon]

Enfant au premier acte et barbon au dernier

La Chicane en fureur mugit dans la grand'salle