Citation N est pas une fin
Découvrez une citation N est pas une fin - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase N est pas une fin issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème N est pas une fin.
120 citations
Quelle règle convient-il donc de suivre dans cette grande question des jeux de l'enfance ? Le jeu forme les trois quarts de leur vie. Faut-il les y abandonner aux seules ressources de leur imagination ? Faut-il les forcer à se tirer d'affaire et les laisser s'amuser seuls, ou bien est-il bon au contraire, là comme ailleurs, de leur ouvrir la voie, de leur tendre la main, de leur apprendre à inventer ? Le problème est des plus difficiles. On ne peut nier d'une part que les enfants n'aient en eux les plus ingénieuses et les plus fécondes ressources d'amusement. Qui de nous ne s'est arrêté à contempler un enfant assis à terre et passant des heures entières à creuser dans le sable un trou sans objet, sans forme, sans fin (car il le recreuse toujours), et attaché à cet ouvrage comme Archimède à son problème. Que fait-il ? A quoi songe-t-il ? Que se passe-t-il dans sa tête ?Nul ne peut le dire; lui-même ne le pourrait pas. Ces heures, pourtant, se sont écoulées pour lui avec cette rapidité légère dont le mot jeu est synonyme, et il a joué tout seul. Mais d'un autre côté, qui n'a pas vingt fois pris en pitié les regards de détresse et l'attitude mélancolique d'enfants réunis pour s'amuser, et ne pouvant trouver d'amusement ?.
Aimer n'est pas le salut que l'on croit mais, bien plutôt, une manière de loup dont nous ornons notre visage afin de cacher sa détresse à ce miroir que notre esprit ne cesse d'être jusqu'au plus vertigineux de la passion.
Phase un : la séduction de la belle-famille, systématiquement accompagnée de remises en question personnelles très fortes. Un peu comme un chiot au chenil qui veut être choisi et fait la moue la plus attendrissante possible. Mais intérieurement, il tremble. Il vient avec son passé, sa gueule cassée et il est plein d'espérances quant à sa nouvelle famille d'accueil. Mais il n'a qu'une peur : décevoir et être abandonné à nouveau. Phase deux : l'intégration, pure et simple, des règles de la famille. On fait des efforts pour rentrer dans le moule, on prend sur soi, on marche au pas. Phase trois : ma préférée, la rébellion ! Ça passe ou ça casse, mais au moins on est fixé. Notre vraie nature ressurgit enfin. On ne peut plus faire semblant.
Le disciple que Jésus aimait » : Jean s'était désigné à cinq reprises (ce qui était assez désobligeant pour les autres disciples). Et il avait, seul, reposé sur la poitrine de Jésus. Et, comme par hasard, il était le plus jeune des Douze : une vraie jeune fille, à en croire les peintres. Et la mystérieuse palpitation de son Evangile... Dans la vie souffrante de Jésus, l'abbé de Pradts n'était touché que par cela : l'Evangile était pour lui une fable séduisante, analogue à la Théogonie, à l'Iliade, à l'Odyssée, aux Mille et Une Nuits. Et il y avait deux mille ans que les chrétiens lisaient cet épisode de Jean, sans que leur attention en fût éveillée. Quant à Alban, le personnage de la Passion pour qui il avait un faible était Ponce Pilate, Romain égaré parmi des Orientaux auxquels il n'entendait rien, et qui cependant s'efforçait avec obstination de sauver l'un d'eux qu'il pressentait être un pur. Un moment venait enfin où il cessait d'être courageux, moitié sur le conseil de sa femme (détail savoureux), moitié parce que « j'en ai par-dessus la tête de ces histoires de roi ou pas roi des Juifs. Qui est le roi des Juifs : est-ce moi qui peux le savoir ? J'en ai fait suffisamment ; qu'ils se débrouillent entre eux ; ah ! pour me punir de quoi (mais je crois deviner : je n'ai pas rampé assez dans l'affaire Servilius) m'a-t-on envoyé dans ce bled ? » Ponce Pilate n'était pas un héros, mais il était de ceux que les anges avaient nommés « les hommes de bonne volonté » . Pour Alban, ce Quirite juste et dédaigneux était vraiment un ami.
À partir du moment où nous n'avons plus de presse libre, tout peut arriver. Ce qui permet à une dictature totalitaire ou à toute autre dictature de régner, c'est que les gens ne sont pas informés ; comment pouvez-vous avoir une opinion si vous n'êtes pas informé ? Si tout le monde vous ment en permanence, la conséquence n'est pas que vous croyez les mensonges, mais plutôt que personne ne croit plus rien. En effet, les mensonges, de par leur nature même, doivent être modifiés, et un gouvernement menteur doit constamment réécrire sa propre histoire. Le destinataire ne se contente pas d'un seul mensonge - un mensonge qui pourrait durer jusqu'à la fin de ses jours - mais il reçoit un grand nombre de mensonges, selon la direction du vent politique. Et un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut plus se décider. Il est privé non seulement de sa capacité d'agir, mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez alors faire ce que vous voulez.
Le pauvre intelligent était un observateur bien plus fin que le riche intelligent. Le pauvre regarde autour de soi à chaque pas qu'il fait, épie soupçonneusement chaque parole qu'il entend dire aux gens qu'il rencontre ; chaque pas qu'il fait lui-même impose à ses pensées et à ses sentiments un devoir, une tâche. Il a l'oreille fine, il est impressionnable , il est un homme d'expérience, son âme porte des brûlures ...
Il y a longtemps que l'Amérique a perdu toute conscience. L'Oncle Sam n'a pas de conscience. Ces gens ne savent pas ce qu'est la morale. Ils ne s'efforcent pas de mettre fin à un mal parce que c'est un mal, ou parce que c'est illégal, ou parce que c'est immoral ; ils n'y mettent fin que si cela constitue une menace pour leur existence. Vous perdez donc votre temps à en appeler à la conscience morale de ce failli d'Oncle Sam.
Tout passe, les heures, les nuages dans le ciel, la vie des hommes, emportés de la naissance vers la mort. Ne t'attache pas à la chronologie affective des choses. C'est une très mauvaise manière de voir le monde. Fais de chaque seconde une expérience enrichissante, sans t'inquiéter du temps qui fuit et des matins qui ne reviennent plus. Le présent est la seule chose qui n'ait pas de fin.
J'ai enfin trouvé une femme qui ne me demande pas de la fermer: elle est dentiste.
L'exposition de mes créations dans les musées est la reconnaissance de mon travail, et aussi cela a montré le comment et le pourquoi derrière le fait de devenir Pierre Cardin. Ce n'est pas un hasard, vous savez. C'est un travail sans fin, des responsabilités stressantes et une forte personnalité. Il faut se créer une identité personnelle.
La pensée est une maladie particulière à quelques individus et qui ne se propagerait pas sans amener promptement la fin de l'espèce.
Tu ne m'enlèveras pas de l'idée que devoir mourir, c'est du gâchis. Regarde-moi, par exemple. Toute cette expérience accumulée, pourquoi, en fin de compte ? On ne dit pas qu'un vieux qui brûle, c'est une bibliothèque qui meurt ?
Le psaume 90 renferme une invocation qui me revient souvent à l’esprit en ces heures : « Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse. » Si elle me revient à l’esprit, c’est peut-être parce que, dans l’épidémie, nous n’arrêtons pas de compter. Nous comptons les malades et les guérisons, nous comptons les morts, nous comptons les hospitalisations et les matinées de classe perdues, nous comptons les milliards brûlés par les Bourses, les masques vendus et les heures qui nous séparent du résultat du test ; nous comptons les kilomètres qui nous éloignent du foyer de contagion et les chambres d’hôtel annulées, nous comptons nos liens, nos renoncements. Nous comptons et nous recomptons les jours, surtout les jours, les jours qui s’écouleront avant la fin de l’urgence.
Les choses ne sont pas faites pour durer éternellement, dit-il. Chaque chose a une fin naturelle. Cette tasse a eu une bonne vie; il est temps pour elle de se retirer et de faire place à une tasse neuve.
Une vie n'est pas que sa propre petite vie individuelle, celle dont on croit être le détenteur, qui a commencé un jour lointain et finira un autre jour, plus proche, elle est faite de ces innombrables rencontres, même celles qui sont restées sans lendemain, mais dont on emporte tout de même quelque chose comme elles emportent quelque chose de vous. La vie n'est pas une ligne, une trajectoire, elle est un arbre infiniment ramifié et feuillu, une chevelure immense. Ces autres vies ont à petits coups forgé la tienne, et dans ces destins que tu ne connais plus, au Pérou, au Soudan, en Russie, partout où tu es passé, une part infime de toi continue à vivre - ou meurt - sans toi. C'est cela, en fin de compte, dont tu veux essayer de donner une idée - tu viens enfin de le comprendre nettement.
Sauf pour les dictateurs et les imbéciles, l'ordre n'est pas une fin en soi.
Pourquoi ce qui était beau nous paraît-il rétrospectivement détérioré parce que cela dissimulait de vilaines vérités ? Pourquoi le souvenir d'années de mariage heureux est-il gâché lorsque l'on découvre que, pendant tout ce temps-là, l'autre avait un amant ? Parce qu'on ne saurait être heureux dans une situation pareille ? Mais on était heureux ! Parfois le souvenir n'est déjà plus fidèle au bonheur quand la fin fut douloureuse. Parce que le bonheur n'est pas vrai s'il ne dure pas éternellement ? Parce que ne peut finir douloureusement que ce qui était douloureux, inconsciemment et sans qu'on le sût ?
Il avait en effet coutume de soutenir que la mémoire de l'artiste ne réside pas dans sa main, mais dans son coeur et dans son âme, et déclarait même que c'est une fois devenu aveugle qu'il avait pu enfin contempler les vraies images de la nature.
Le fait est que ma pauvreté avait aiguisé en moi certaines facultés au point de me valoir de véritables désagréments, oui je l’assure, de véritables désagréments, hélas ! Mais cela avait aussi des avantages, cela me venait en aide dans certaines situations. Le pauvre intelligent était un observateur bien plus fin que le riche intelligent. Le pauvre regarde autour de soi à chaque pas qu’il fait, épie soupçonneusement chaque parole qu’il entend dire aux gens qu’il rencontre ; chaque pas qu’il fait lui-même impose à ses pensées et à ses sentiments un devoir, une tâche.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Attraper le bonheur, c'est vouloir retenir un papillon dans sa main ou le prendre avec un filet. Tu précipites le filet sur lui et il s'abîme, c'est un bonheur gâché. Si c'est un bonheur agile, on ne ne peut le faire prisonnier et l'on court sans fin, c'est une agitation inutile, le bonheur est parti. Parfois il se laisse prendre sans dommage, il ne s'est pas débattu et il reste bien sage, un peu frileux sous le filet. C'est un bonheur fragile, fatigué, malade peut-être. Si tu attrapes un beau bonheur, un papillon rare, sans l'abîmer, si tu le prends dans ta paume et que tu la refermes pour l'emprisonner, il ne reste que de la poussière de bonheur sur les doigts, si tu le piques sur un bois il meurt. Il faut être comme l'arbre à papillons, prêt à accueillir le bonheur, et tu verras, il viendra sur ton épaule.
Je comprends très bien que dans notre société de traces, contrôlée jusqu'à l'obscène, où le moindre vêtement, la moindre semelle de chaussure, le moindre doudou, une trottinette rouillée, je sais pas : un banc public, les pavés même, émettent de l'information… où le moindre mot lancé dans un bar est collexiqué ! Je comprends tellement que ce monde rêve d'un envers ! De quelque chose qui lui échapperait enfin, irrémédiablement, qui serait comme son anti-matière, le noir de sa lumière épuisante ! L'abracadata qui échapperait par magie à tous les datas ! J
L'excès de vin dégrade l'homme, aliène du moins sa raison pour un temps et l'abrutit à la longue, mais enfin le goût du vin n'est pas un crime: pour une querelle passagère qu'il cause, il forme cent attachements durables.
Peut-être, en fin de compte, n'y a-t-il pas une grande différence entre la lumière et les ténèbres. Le problème, c'est notre façon de voir.
Il y avait bien une trentaine de plats à table, pour quatre personnes que nous étions. Afin de faire honneur à tant d'honneurs, j'ai mangé de telle sorte que si je n'ai pas eu d'indigestion le soir, c'est que j'ai un rude estomac.
Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867) de Ernest Legouvé
Références de Ernest Legouvé - Biographie de Ernest Legouvé
Plus sur cette citation >> Citation de Ernest Legouvé (n° 167168) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Dieu des mouches (1959) de Jean-Paul Baron, dit Frédérick Tristan
Références de Jean-Paul Baron, dit Frédérick Tristan - Biographie de Jean-Paul Baron, dit Frédérick Tristan
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Paul Baron, dit Frédérick Tristan (n° 120166) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
En voiture, Simone ! de Aurélie Valognes
Références de Aurélie Valognes - Biographie de Aurélie Valognes
Plus sur cette citation >> Citation de Aurélie Valognes (n° 159231) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
Références de Henry de Montherlant - Biographie de Henry de Montherlant
Plus sur cette citation >> Citation de Henry de Montherlant (n° 162009) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Entretien avec Roger Errera, sur la question du totalitarisme, 1974 de Hannah Arendt
Références de Hannah Arendt - Biographie de Hannah Arendt
Plus sur cette citation >> Citation de Hannah Arendt (n° 54647) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Faim (1890) de Knut Hamsun
Références de Knut Hamsun - Biographie de Knut Hamsun
Plus sur cette citation >> Citation de Knut Hamsun (n° 169871) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
« The Ballot or the Bullet » (« Le bulletin de vote ou le fusil ») discours prononcé le 3 avril 1964 à Cleveland. de Malcolm X
Références de Malcolm X - Biographie de Malcolm X
Plus sur cette citation >> Citation de Malcolm X (n° 152745) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Sagesse amérindienne de Proverbes amérindiens
Références de Proverbes amérindiens - Biographie de Proverbes amérindiens
Plus sur cette citation >> Citation de Proverbes amérindiens (n° 166891) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pensées, répliques et anecdotes (2006) de Michel Galabru
Références de Michel Galabru - Biographie de Michel Galabru
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Galabru (n° 58024) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Officiel, interview par Pamela Golbin (Usa), 16.11.2020 de Pierre Cardin
Références de Pierre Cardin - Biographie de Pierre Cardin
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Cardin (n° 171717) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Opinions de Jérôme Coignard (1893), Le nouveau ministère de Anatole France
Références de Anatole France - Biographie de Anatole France
Plus sur cette citation >> Citation de Anatole France (n° 117757) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La cerise sur le gâteau de Aurélie Valognes
Références de Aurélie Valognes - Biographie de Aurélie Valognes
Plus sur cette citation >> Citation de Aurélie Valognes (n° 162296) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Contagions (2020) de Paolo Giordano
Références de Paolo Giordano - Biographie de Paolo Giordano
Plus sur cette citation >> Citation de Paolo Giordano (n° 168269) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une enfance de Jésus (2014) de J. M. Coetzee
Références de J. M. Coetzee - Biographie de J. M. Coetzee
Plus sur cette citation >> Citation de J. M. Coetzee (n° 164875) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Extérieur monde (2019) de Olivier Rolin
Références de Olivier Rolin - Biographie de Olivier Rolin
Plus sur cette citation >> Citation de Olivier Rolin (n° 164545) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Président (1961) d'Henri Verneuil de Michel Audiard
Références de Michel Audiard - Biographie de Michel Audiard
Plus sur cette citation >> Citation de Michel Audiard (n° 59082) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
Références de Bernhard Schlink - Biographie de Bernhard Schlink
Plus sur cette citation >> Citation de Bernhard Schlink (n° 163648) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mon nom est Rouge (2002) de Orhan Pamuk
Références de Orhan Pamuk - Biographie de Orhan Pamuk
Plus sur cette citation >> Citation de Orhan Pamuk (n° 117271) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Faim (1890) de Knut Hamsun
Références de Knut Hamsun - Biographie de Knut Hamsun
Plus sur cette citation >> Citation de Knut Hamsun (n° 169874) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
Références de Edmond Rostand - Biographie de Edmond Rostand
Plus sur cette citation >> Citation de Edmond Rostand (n° 165201) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Dames de nage (2009) de Bernard Giraudeau
Références de Bernard Giraudeau - Biographie de Bernard Giraudeau
Plus sur cette citation >> Citation de Bernard Giraudeau (n° 159649) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Furtifs (2019) de Alain Raymond, dit Alain Damasio
Références de Alain Raymond, dit Alain Damasio - Biographie de Alain Raymond, dit Alain Damasio
Plus sur cette citation >> Citation de Alain Raymond, dit Alain Damasio (n° 166488) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettre à d'Alembert de Jean-Jacques Rousseau
Références de Jean-Jacques Rousseau - Biographie de Jean-Jacques Rousseau
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Jacques Rousseau (n° 40249) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'amour et l'oubli (2006) de André Brink
Références de André Brink - Biographie de André Brink
Plus sur cette citation >> Citation de André Brink (n° 136199) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Correspondance, 6 octobre 1850 de Gustave Flaubert
Références de Gustave Flaubert - Biographie de Gustave Flaubert
Plus sur cette citation >> Citation de Gustave Flaubert (n° 86188) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer

- Nain - Naissance - Naitre - Naître - Naivete - Nation - Nature - Necessite - Neutre - Noblesse - Noël - Noir - Normalisation - Normalite - Nostalgie - Nourriture - Nouveau - Nouvel_an - Nuit
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur N est pas une fin
Toutes les citations sur N est pas une fin Citations N est pas une fin Citation N est pas une fin et Proverbe N est pas une fin Citation sur n Citations courtes n
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Thèmes populaires
Citations d'amour Citations sur l'amour Citations sur l'amitié Citations sur la vie Citations sur le bonheur Citations sur les femmes Citations sur le couple Citations sur la sagesse Citations sur la tristesse Citations sur la mort Citations sur la nature Citations sur l'absence Citations sur le manque Citations sur l'enfance
Liens
