Citation faire societe
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Une Sélection de 70 citations et proverbes sur le thème faire societe.
70 citations
Toute société humaine est fondée sur quelques fondamentaux, le premier étant l'interdit de l'inceste, mais « Tu ne tueras pas » est le plus fondamental. Aussi, moins de trente ans après la monstrueuse tuerie de la seconde guerre mondiale, lorsque j'ai entendu retentir parmi nous le désinvolte « Il est interdit d'interdire ! », j'ai pris peur. Bien sûr, il faut lutter contre tous les interdits oppressifs et injustices. De là à faire table rase de toute limite, il y a une marge, celle-là même qui sépare la civilisation de la barbarie.
Pour beaucoup de gens, humaniser Hitler revient à l'expliquer, en quelque sorte. Mais la société prétend que le mal extrême ne peut pas être expliqué, ni compris. Essayer de le faire, cela reviendrait à chercher une justification.
L'homme doit brider ses pulsions dans sa vie en société. Ne pas laisser libre cours à ses désirs.La colère, la peur, la rage, tout doit être canalisé. La guerre, c'est faire sauter les verrous pour tuer sans plus se poser de questions. Et irrémédiablement, les instincts primaires émergent à nouveau. On ne peut dissocier la mort de la vie, la peur du courage, la rage du désir.
Le couple, contrairement à ce que la société veut nous faire croire, est l'espace de liberté le plus grand. C'est le seul domaine qui échappe à la norme, à l'opposé du travail ou des relations sociales.Tu trouveras des couples qui se disputent sans arrêt et restent ensemble une vie, d'autres qui s’épanouissent dans le calme, ceux qui veulent des enfants et ceux qui n'en veulent pas, ceux pour qui la fidélité est primordiale et ceux qui la rendent accessoire. Beaucoup trouveront normal ce qui, pour d'autres, relève de l'anomalie. Et inversement. Il n'y a aucune règle, et autant de normes que de couples. Quelle idée de vouloir faire entrer une telle liberté dans un cadre officiel.
L'amour est le plus joli larcin que la société ait su faire à la nature ; mais la maternité, n'est-ce pas la nature dans sa joie ?
Dans l'art, le difficile n'est pas seulement de creuser sans rien voir, c'est de tenir le plus longtemps possible et de ne pas céder, ni à la société qui a l'air de vouloir vous faire crever, ni à votre propre démon qui le veut tout autant.
Ce qui fait le bonheur des hommes c'est d'aimer à faire ce qu'ils ont à faire. C'est un principe sur lequel la société n'est pas fondée.
À la vérité, le règne de la liberté commence seulement à partir du moment où cesse le travail dicté par la nécessité et les fins extérieures ; il se situe donc, par sa nature même, au-delà de la sphère de la production matérielle proprement dite. Tout comme l'homme primitif, l'homme civilisé est forcé de se mesurer avec la nature pour satisfaire ses besoins, conserver et reproduire sa vie ; cette contrainte existe pour l'homme dans toutes les formes de la société et sous tous les types de production.
La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché et nul ne peut être contraint de faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Il n'y a point de société, point de salon, point de mode, point de petits moyens journaliers de faire effet en détail.
Aujourd'hui, on fait campagne pour libérer les animaux de leurs cages, mais nous enfermons des hommes dans des cages à barreaux pas plus grandes que celles des lions. Qu'on puisse faire cela à des êtres humains, ça me rend malade. Tenter d'enrayer ce qu'on appelle le crime — je crois qu'il a toujours existé et qu'il existera toujours — d'accord ; mais en changeant la société et non pas en brimant la jeunesse qui suit sans le savoir la voie que la société lui impose.
C'est sans doute qu'ils ont du travail, qu'ils ne meurent plus de faim, qu'ils ont arraché en cent ans à la société capitaliste ce peu qui suffit pour attacher l'homme à ses modestes richesses et faire de lui un conservateur.
La télévision nous fera une race d'hommes-éponges. On perdra l'art de la conversation avant même de l'avoir appris. C'est à vous faire regretter les jeux de société.
Dans le célèbre roman de George Orwell, 1984, trois empires se font la guerre. Si celle-ci est leur apparente motivation, elle est surtout l'assise de leur existence. Contre un ennemi, même supposé, il faut réagir, faire front, tenir et encadrer son peuple. Dans le bloc anglo-saxon, l'Oceania, Big Brother, le grand scrutateur, est partout dans la société. Celle-ci est composée de trois classes : les dirigeants, une poignée, les fonctionnaires, zélés et insensibles, les hordes de prolétaires, courbés, soumis. Une police de la pensée traque le récalcitrant. Et il faut user de cette novlangue sans nuance, réduite et donc peu dangereuse. Si l'on n'a pas les mots suffisants et adéquats, comment faire avec ce que l'on ne peut pas nommer, comment inventer, et s'extirper d'une syntaxe carcérale ? Les slogans les plus absurdes ("War is peace", "Freedom is slavery", "Ignorance is strength"), répétés en mantras, deviennent des évidences. Ils sont martelés jusqu'à l'étourdissement. La soumission. L'adéquation. Ils feront de vous ce que vous ne vouliez pas être : une créature apeurée, un complice. Un pion de plus parmi un peuple de pions.
Ne comptez pas trop sur la société pour faire des réformes: réformez-vous vous-même.
La fin de la société politique, comme celle de toute société humaine, implique une certaine oeuvre à faire en commun.
Nous sommes tous esclaves de nos affections, esclaves des préjugés de ceux que nous aimons ; nous devons aussi gagner notre vie, et par cela devenir un rouage de machine. Le plus pénible, ce sont les concessions qu'il faut faire aux préjugés de la société qui nous entoure ; on en fait plus ou moins selon qu'on se sent plus faible ou plus fort. Si l'on n'en fait pas assez, on est écrasé. Si l'on en fait trop, on est vil et l'on prend le dégoût de soi-même. Me voilà loin des principes que j'avais il y a dix ans. Je croyais à cette époque qu'il fallait être excessif en tout, et ne faire aucune concession au milieu qui nous entoure. Je croyais qu'il fallait exagérer ses défauts comme ses qualités.
Monsieur,
Merci de faire la police dans votre cour de récréation avant que je ne vienne la faire. Mon fils a le droit d'uriner tranquillement dans les toilettes sans qu'on l'arrose. Je me demande quelle société on construit pour plus tard.
Salutations.Avec le garçon, pas d'envahissement : sa nature ne le porte ni à la sentimentalité, ni à la jalousie, ni à la graphomanie, ni au besoin qu'on s'occupe de lui ; elle le porte au contraire à souhaiter qu'on le laisse tranquille, et à laisser tranquilles les autres. Il y a dans le protectionnisme quelque chose de réservé et de dépouillé, mettons quelque chose de sec, qui est très classique : souviens-toi de la litote du Parc ; sans parler de la réserve que nous impose la société. Avec les femmes — du moins si j'en crois les livres, car mon expérience d'elles est nulle, — c'est le contraire ; il faut toujours en dire et en faire plus qu'on ne sent : débordement et étalage, auxquels s'ajoute l'étalage de la publicité extravagante donnée à cet amour. Tout cela est romantique. L'amour des femmes, c'est l'amour tumultueux ; l'amour des garçons, c'est l'amour paisible, qui vous laisse l'esprit libre. De là le vers de Properce : « A mon ennemi je souhaite une femme. A mon ami un jeune garçon.»
Mardi, à la Maison-Blanche, nous avons célébré la Journée internationale des filles, de même que Let Girls Learn. Et j’ai eu le plaisir de passer des heures à m’entretenir avec certaines des plus formidables jeunes femmes qu’on puisse rencontrer, des jeunes femmes d’ici aux États-Unis et de partout dans le monde. Nous avons discuté de leurs espoirs et de leurs rêves. Nous avons parlé de leurs aspirations. Je croyais qu’il était essentiel de rappeler à ces jeunes femmes à quel point elles sont importantes et précieuses. Je voulais qu’elles comprennent que toute société se mesure à la façon dont elle traite ses femmes et ses filles. Je leur ai dit qu’elles méritaient d’être traitées avec dignité et respect, je leur ai dit qu’elles devaient ignorer quiconque les rabaisse ou les dévalorise, et qu’elles devaient faire entendre leur voix partout dans le monde. Je les ai quittées en me sentant si inspirée, tout comme je me sens inspirée par tous les jeunes ici aujourd’hui, et j’étais si réjouie par ces jeunes filles.
Dans un Etat, c'est-à-dire dans une société où il y a des lois, la liberté ne peut consister qu'à pouvoir faire ce que l'on doit vouloir, et à n'être point contraint de faire ce que l'on ne doit pas vouloir.
Le métier politique consiste à revendiquer le pouvoir, lequel a deux fonctions principales dans la société. Un, c’est d’y exercer le monopole public de la violence pour ne pas la laisser à la violence privée – il y faut de la police – ou à la violence internationale – il y faut se défendre. Et deux, de canaliser la circulation de l’argent. On touche au sale, par définition. Et on se salit quand on touche au sale, même si les motifs sont propres. Et quiconque prétend faire de la politique en négligeant ces deux aspects est un amateur, et tant qu’angélique il est dangereux.
L'écrivain engagé sait que la parole est action: il sait que dévoiler c'est changer et qu'on ne peut dévoiler qu'en projetant de changer. Il a abandonné le rêve impossible de faire une peinture impartiale de la Société et de la condition humaine.
N'oubliez pas que les pandémies se perdent dans l'histoire, c'est ce qui les rend d'autant plus dangereuses. On se souvient tous du virus tueur de la grippe espagnole, mais qui est au courant de la pandémie asiatique de 1957, qui fit plus de trois millions de morts ? Et celle de Hongkong, en 1968, qui tua deux millions de personnes ? Ces pandémies laissent le paysage intact mais si on les laisse faire, elles sont capables d'anéantir une société. C'est comme balancer un insecticide dans une fourmilière. C'est ce que nous devons, tous, à tout prix éviter.
Il y a deux manières de considérer la société. Selon les uns, aucune loi providentielle, immuable, n’a présidé à la formation des différentes associations humaines ; organisées d’une manière purement factice par des législateurs primitifs, elles peuvent être, en conséquence, modifiées ou refaites par d’autres législateurs, à mesure que la science sociale progresse. Dans ce système le gouvernement joue un rôle considérable, car c’est au gouvernement, dépositaire du principe d’autorité, qu’incombe la tâche de modifier, de refaire journellement la société.
Cinq méditations sur la mort. Autrement dit sur la vie (2013) de François Cheng
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Le Chuchoteur (2010) de Donato Carrisi
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Prédateurs de Maxime Chattam
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S'adapter (2021) de Clara Dupont-Monod
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La Comédie humaine (1842-1852) de Honoré de Balzac
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Les singuliers (2014) de Anne Percin
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Pensées et réflexions (1771), XXVII de Claude Adrien Helvétius
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Le Capital (1867) de Karl Marx
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Article 5 de Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen
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Corinne ou l'Italie (1807) de Madame de Staël
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Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
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Le nouveau Bloc-Notes (1958-1960) de François Mauriac
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Le Prix du souvenir (1957) de Jean-Marie Poirier
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Nouilles froides à Pyongyang (2013) de Jean-Luc Coatalem
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Journal, 13 mars 1906 de Jules Renard
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Les Droits de l'homme et la loi naturelle (1942) de Jacques Maritain
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Pierre Curie par Marie Curie de Pierre Curie
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Mots d'excuse - Les parents écrivent aux enseignants (2010), Les tensions entre élèves de Patrice Romain
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Les Garçons (1969) de Henry de Montherlant
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Discours de Michelle Obama au New Hampshire, Le 13 octobre 2016 de Michelle Obama
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De l'esprit des lois (1748) de Charles de Secondat, baron de Montesquieu
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À voix nue, France Culture, 25 avril 1991 de Michel Rocard
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Qu'est-ce que la littérature? (1948) de Jean-Paul Sartre
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Pandemia (2015) de Franck Thilliez
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De la production de la sécurité », Gustave de Molinari, Journal des économistes, vol. 22 nº 95, (1849) de Gustave de Molinari
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