Citation meme de ceux qui n en ont pas
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Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème meme de ceux qui n en ont pas.
40 citations
La violence symbolique est une violence mille fois préférable à la violence réelle, et je préfère les délinquants en col blanc, comme disent les imbéciles, aux vrais délinquants ; des premiers on n’a rien à craindre : qu’un élu ne déclare pas une partie de sa fortune ne m’a jamais empêché de dormir, mais qu’une petite frappe casse la gueule à un innocent pour un regard de travers ou qu’une bande de porcs violent une céfran sur le matelas d’une cave, à Clichy-sous-Bois, là, oui, c’est de la violence, et pas symbolique. Ceux qui mettent dans le même panier la violence réelle et la violence symbolique ne sont qu’une bande de petits peigne-culs qui, jamais, n’ont pris une mandale dans la gueule de la part d’un voyou ! Et qui la mériteraient...
Si cela pouvait leur être d'un quelconque secours, j'aurais à leur intention mille mots. Je leur parlerais d'amour et d'apaisement, de leur droit inaliénable à la lumière de lendemains flamboyants. Je leur dirais de résister plutôt que d'endurer. Si la résistance peut prendre l'apparence de l'endurance, elle n'a pas le même sens. Elle aboutit ailleurs. Je leur dirais d'inventer et de croire. Ils me répondraient en riant que cette génération n'a pas les moyens d'une politique, qu'elle peut seulement vivre la vie qui lui a été donnée, une vie de crotte de chèvre jonchant la poussière. Ils me répondraient que cette génération n'a rien à faire au monde, puisque ceux qui l'y ont fait venir se sont détournés d'elle. Où aller en partant de nulle part ?
En publiant mes Promenades dans toutes les rues de Paris, je n'ai pas la prétention d'être un archéologue ou un historien. Je suis un simple observateur et un amoureux de Paris. Après avoir parcouru moi-même pendant plusieurs années les différentes rues de la Ville, je me suis rendu compte qu'on rencontrait à peu près toujours les mêmes gens dans les mêmes endroits, qu'en somme le Parisien ne sortait guère de son quartier habituel soit d'affaire soit de plaisir, et qu'il ignorait complètement sauf pour les traverser rapidement et parfois sous terre, en métro, ceux où il n'a pas l'habitude d'aller chaque jour. Pourtant chaque quartier a son charme particulier et sa physionomie différente, et si tous ne sont pas également intéressants pour le visiteur ou l'étranger, tous présentent quelques curiosités soit historiques soit artistiques, et tous sont amusants à parcourir pour celui qui sait faire à l'occasion des études de moeurs.
Il ne me fut jamais très difficile de trouver du travail, puisque ce n’était pas comme ouvrier spécialisé, mais comme manœuvre ou travailleur auxiliaire, que je cherchais à gagner mon pain. Je me trouvais ainsi dans la même situation que ceux qui secouaient de leurs pieds la poussière de l’Europe avec le dessein impitoyable de refaire leur existence dans un monde nouveau et de conquérir une nouvelle patrie. Détachés de toutes les considérations paralysantes de devoir et de rang, d’entourage et de tradition, ils saisissent chaque gain qui s’offre et font toutes les besognes, pénétrés de l’idée qu’un travail honorable n’abaisse jamais, quel qu’il soit. J’avais de même décidé de sauter à pieds joints dans ce monde nouveau pour moi pour y faire mon chemin. Je m’aperçus bientôt qu’il était moins difficile de trouver un travail quelconque que de le conserver. L’insécurité du pain quotidien m’apparut comme un des côtés les plus sombres de cette vie nouvelle.
Ces moments ont existé. Ce bonheur qui a été vécu, rien ne peut faire qu'il ne l'ait pas été. Même la mort. La mort ne balaie rien. Le chagrin peut tout brouiller. Un temps. Comme à chaque fois que l'on est séparé de ceux qu'on aime.
Les convulsions répugnantes de l'ordre biologique. La vieillesse, la maladie, la mort. Pas d'échappatoire. Pour personne. Même ceux qui étaient beaux étaient comme des fruits ramollis sur le point de pourrir. Et pourtant, tant bien que mal, les gens continuaient de baiser, de se reproduire et d'affourager la tombe, produisant de plus en plus de nouveaux êtres qui souffriront comme si c'était chose rédemptrice ou bonne, ou même, en un sens, moralement admirable : entraînant d'autres créatures innocentes dans le jeu perdant-perdant.
À propos, ce qui m'étonne et même m'amuse, ce sont ceux qui, retombant en enfance, imaginent que ça va attendrir leurs rejetons. Que ça va les apitoyer, que ça va faire renaître en eux la même tendresse émerveillée qui les envahissait devant les gestes maladroits, les défauts de prononciation, les mots pris pour un autre, les pas hésitants de leurs propres mômes. Hélas, non ! On ne réagit pas devant une petite pousse qui se développe, qui grandit, qui s'épanouit, comme devant une vieille fleur fanée, flétrie, qu'il va bientôt falloir jeter à la poubelle.
La véritable pudeur est très importante elle perpétue l'amour: ceux qui n'en ont pas, sont incapables d'aimer. Ils ne sont pas même dignes de jouir: ils peuvent multiplier, mais ils sont étrangers à l'amour humain.
Je ne suis pas certain qu’il faille pardonner à ceux qui meurent. Ce serait trop simple si, au soir de chaque vie humaine, on remettait les compteurs à zéro ; si la cruauté et l’avidité des uns, la compassion et l’abnégation des autres, étaient benoîtement passées par profits et pertes. Ainsi, les meurtriers et leurs victimes, les persécuteurs et les persécutés, se retrouvaient également innocents à l’heure de la mort ? Pas pour moi, en tout cas. L’impunité est, de mon point de vue, aussi perverse que l’injustice ; à vrai dire, ce sont les deux faces d’une même monnaie.
Au fond de lui-même, chacun abhorre la démocratie qui fait trop de cas de ceux qui ne pensent pas comme lui. Tous les hommes sont des dictateurs en puissance, très peu en ont l'étoffe.
Ah ! Si c'était un tremblement de terre ! Une bonne secousse et on n'en parle plus... on compte les morts, les vivants, et le tour est joué. Mais cette cochonnerie de maladie ! Même ceux qui ne l'ont pas la portent dans leur coeur.
Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
Mes frères en esprit, écrivains de France […]. Que votre voix s’élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu’elles sont, non pas telles qu’on voudrait qu’elles fussent. Et plus tard, lorsqu’on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j’ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu’en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai… Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d’un autre ; ce seront mes idées que j’exposerai et non pas celles d’un autre. Et, d’avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n’osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l’on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n’en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n’ont pas la force de résister à l’ambiance. On s’habitue à l’alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d’assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l’espace de trente jours. Depuis, hélas ! j’en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu’il a pu boire en un mois.
La fracture qui se dessine n’est pas seulement entre les villes et les campagnes. Elle s’insinue au cœur de nos vies. Entre ceux qui doivent continuer à sortir pour travailler, certains de plein gré, d’autres contraints et forcés, et la peur au ventre. Entre ceux qui vont continuer à être payés et ceux qui n’ont plus rien. Entre ceux qui, confinés chez eux, sont au chômage technique et ceux qui doivent, depuis leur ordinateur, assurer le même travail que s’ils étaient au bureau, dans un pays en état de marche. Entre ceux, enfin, qui ont des enfants et ceux qui n’en ont pas.
Je ne suis pas de ceux qui s'imaginent qu'ils n'ont qu'à ouvrir la bouche pour que les alouettes y tombent toutes rôties... Non, mais tout de même, j'ouvre la bouche de temps en temps.
J'irais presque jusqu'à dire que cette même chose, se connaître soi-même, est tempérance, d'accord en cela avec l'auteur de l'inscription de Delphes. Je m'imagine que cette inscription a été placée au fronton comme un salut du dieu aux arrivants, au lieu du salut ordinaire « réjouis-toi », comme si cette dernière formule n'était pas bonne et qu'on dût s'exhorter les uns les autres, non pas à se réjouir, mais à être sages. C'est ainsi que le dieu s'adresse à ceux qui entrent dans son temple, en des termes différents de ceux des hommes, et c'est ce que pensait, je crois, l'auteur de l'inscription à tout homme qui entre il dit en réalité : « Sois tempéré. » Mais il le dit, comme un devin, d'une façon un peu énigmatique ; car « Connais-toi toi-même » et « Sois tempéré », c'est la même chose, au dire de l'inscription et au mien. Mais on peut s'y tromper : c'est le cas, je crois, de ceux qui ont fait graver les inscriptions postérieures : « Rien de trop » et « Cautionner, c'est se ruiner. »
Il ne savait pas (et il ne savait pas que Mycéa le savait déjà : il ne connaissait pas vraiment l'enfant) que les livres n'ont cessé de mentir pour le meilleur profit de ceux qui les produisirent ; que ce pays qu'il désirait connaître, il eût fallu le retrouver en lui – même, par delà toute description et tout détail.
Le droit chemin ! j'ai pensé, encore une expression à méditer. J'ai songé que si le droit chemin était le plus court chemin entre les deux croix, on ne pouvait, à moins d'être un oiseau, vivre dans la vertu sans emprunter des raccourcis. Le droit chemin est un chemin de traverse, j'ai pensé, et les rêveurs, les débauchés, les infidèles sont ceux qui n'osent couper le bois et demeurent sur la grande route en s'imaginant à tort, à la manière d'Elijah, qu'ils atteindront plus vite leur destination, même si, quoi qu'en dise le Révérend, Elijah n'est pas un mauvais homme.
Ce Dieu chrétien et très compatissant n'était-il pas lui-même un bourreau lorsqu'il brûlait à petit feu tous les infidèles ? Ceux brûlés par les Chrétiens sont-ils moins nombreux que les Chrétiens qui ont été brûlés ? Et malgré tout, ce Dieu a été glorifié pendant des siècles comme le Dieu d'amour. Vous direz que c'est absurde ? Non, au contraire, c'est une preuve, signée de sang, de la sagesse indéracinable de l'homme. Dès cette époque il avait compris, tout sauvage et velu qu'il était, que le véritable amour envers l'humanité doit être inhumain et que le signe indéniable de la sincérité, c'est la cruauté.
Autrefois, les écrivains dénués de métier voulaient passer pour en avoir; aujourd'hui ceux qui en sont farcis veulent nous faire croire qu'ils ne savent même pas ce que c'est. Tel est le progrès.
En vérité, il n'existe pas de peuples enfants; tous sont adultes, même ceux qui n'ont pas tenu le journal de leur enfance et de leur adolescence.
C'est une chose bien mystérieuse que les passions humaines et il en va de même en cette matière pour les enfants et pour les adultes. Ceux qui sont atteints ne peuvent pas s'expliquer, et ceux qui n'ont rien vécu de semblable ne peuvent les comprendre.
M. Georges Clemenceau a fait aussi un certain sort un mot barricade, un sort nouveau, en parlant de ceux qui sont de l'un et l'autre côté, qui ne sont pas du même côté de la barricade.
Quant au commun des hommes, on voit bien aussi par leurs mœurs et par leur conduite que la plupart d’entre eux ne sont guère mieux persuadés de la vérité de leur religion ni de ce qu’elle leur enseigne que ceux dont je viens de parler, quoiqu’ils en fassent plus régulièrement les exercices. Et ceux qui parmi le peuple ont tant soit peu d’esprit et de bon sens, tout ignorants qu’ils soient d’ailleurs dans les sciences humaines, ne laissent pas que d’entrevoir, et de sentir même en quelque façon, la vanité et la fausseté de ce qu’on leur veut faire accroire sur ce sujet, de sorte que ce n’est que comme de force, comme malgré eux, comme contre leurs propres lumières, comme contre leur propre raison, et comme contre leurs propres sentiments qu’ils croient ou plutôt qu’ils s’efforcent de croire ce qu’on leur en dit.
Nous sommes tous esclaves de nos affections, esclaves des préjugés de ceux que nous aimons ; nous devons aussi gagner notre vie, et par cela devenir un rouage de machine. Le plus pénible, ce sont les concessions qu'il faut faire aux préjugés de la société qui nous entoure ; on en fait plus ou moins selon qu'on se sent plus faible ou plus fort. Si l'on n'en fait pas assez, on est écrasé. Si l'on en fait trop, on est vil et l'on prend le dégoût de soi-même. Me voilà loin des principes que j'avais il y a dix ans. Je croyais à cette époque qu'il fallait être excessif en tout, et ne faire aucune concession au milieu qui nous entoure. Je croyais qu'il fallait exagérer ses défauts comme ses qualités.

Patrice Jean
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Etienne Pivert de Senancour
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Bernard Willems-Diriken, dit Romain Guilleaumes
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Alphonse Allais
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Platon
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Edouard Glissant
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Julien Benda
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Claude Lévi-Strauss
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Charles Péguy
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