Citation mon ou ma ou mes
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Une Sélection de 40 citations et proverbes sur le thème mon ou ma ou mes.
40 citations
J'ai tout à coup l'impression qu'un colibri bat des ailes contre mon genou gauche, puis remonte le long de ma cuisse. L'oiseau de Paradis n'est pas farouche, il finit en vol stationnaire contre mes parties sensibles.
Topaze : Je puis dire que pendant dix ans, de toutes mes forces, de tout mon courage, de toute ma foi, j'ai accompli ma tâche de mon mieux avec le désir d'être utile. Pendant dix ans, on m'a donné huit cent cinquante francs par mois. Et un jour, parce que je n'avais pas compris qu'il me demandait une injustice, l'honnête Muche m'a fichu à la porte. Je t'expliquerai quelque jour comment mon destin m'a conduit ici, et comment j'ai fait, malgré moi, plusieurs affaires illégales. Sache qu'au moment où j'attendais avec angoisse le châtiment, on m'a donné la récompense que mon humble dévouement n'avait pu obtenir : les palmes [académiques].
J'ai crié: «Quelle gueule! Mais quelle gueule! Allez, aux chiottes!» tandis que mes deux mains enserraient mon cou et faisaient le geste de dévisser ma tête.
Je ne veux pas, comme la plupart des gens, avoir vécu pour rien. Je veux être utile ou agréable aux gens qui vivent autour de moi et qui ne me connaissent pourtant pas, je veux continuer à vivre, même après ma mort ! Et c'est pourquoi je suis si reconnaissante à Dieu de m'avoir donné à la naissance une possibilité de me développer et d'écrire, et donc d'exprimer tout ce qu'il y a en moi ! En écrivant je peux tout consigner, mes pensées, mes idéaux et les fruits de mon imagination.
Peut-être qu'après tout mon unique mérite
Sera d'avoir toujours, grand ange aux ailes d'or,
Subordonné mon coeur, mes amours, ma conduite
Au culte des autels où ton luth vibre encor.Ma mère m’a conçue à l’âge précoce de vingt ans. Elle est belle, les cheveux d’un blond scandinave, le visage doux, des yeux bleu pâle, une silhouette élancée aux courbes féminines, un joli timbre de voix. Mon adoration pour elle n’a pas de limite, elle est mon soleil et ma joie. Mes parents forment un couple bien assorti, ma grand-mère le répète souvent, faisant référence à leurs physiques de cinéma. Nous devrions être heureux et pourtant mes souvenirs de notre vie à trois, dans cet appartement où je connais brièvement l’illusion d’une unité familiale, ont tout du cauchemar.
Il nous faudrait cent mots où nous n'en avons qu'un, ce petit mot d'amour bon à tout et propre à rien, ce verbe aimer qui traîne partout, qui va pour tout - l'amour de Dieu, l'amour des hommes, l'amour de soi, l'amour des autres, et j'aime ma mère, et j'aime ma femme, et j'aime ma fille, et j'aime mon chien (et plus je regarde l'homme, plus j'aime mon chien), et j'aime les frites, et j'aime Venise, et j'aime Ravel, et j'aime ton cul, et je t'aime, et j'aime le croire.
Ce livre, ces Larmes de combat, serait donc mon legs. Ce texte testamentaire portera à jamais ma conviction, mon abattement et mes espérances. .. . En cette Sainte-Brigitte, j'ai donc compris qu'un jour, pas si lointain peut-être, là où je serai, je sentirai ce souffle de vie pour lequel j'ai lutté toute mon existence. Un souffle vivifiant, puissant et novateur. Un souffle invincible venir de celles et de ceux qui parviendront à ouvrir à jamais les grilles de ce monde immenses de rêves et de douleurs muettes qu'est l'animalité. Mon passage sur terre n'aura donc pas été vain. Et mon âme sera enfin en paix.
Parce que je sens que là-haut, dans les Cieux, les anges l'un à l'autre se parlant bas, ne peuvent, parmi leurs termes brûlants d'amour, en trouver un d'une dévotion pareille à celui de « Mère » ; en conséquence, je vous ai dès longtemps de ce nom appelée, vous qui êtes plus qu'une mère pour moi et remplissez le coeur de mon coeur, où vous installa la Mort en affranchissant l'esprit de ma Virginie. Ma mère, — ma propre mère, qui mourut tôt n'était que ma mère, à moi ; mais vous êtes la mère de Celle que j'ai si chèrement aimée, et m'êtes ainsi plus chère que la mère que j'ai connue, de cet infini dont ma femme était plus chère à mon âme qu'à cette âme sa vie.
La nuit était très douce et très tranquille, et tout en rangeant mes lunettes en lieu sûr et m'installant pour dormir, je me demandai avec tristesse pourquoi il ne m'était jamais venu à l'idée de venir passer la nuit dehors par ici au temps où j'étais heureux. C'était si près de l'eau, qui clapotait doucement sur le rocher juste en dessous que j'avais l'impression d'être dans un bateau. Et comme mon lit de rocher s'inclinait en pente douce vers la mer, je pouvais, tout en restant allongé la tête sur un coussin, contempler droit devant moi l'horizon où la lune traçait une trouée d'argent presque immobile. L'éclat des premières étoiles s'aiguisait déjà. D'autres apparaissaient, de plus en plus nombreuses. Couché sur le dos, enroulé dans ma couverture, les mains croisées devant moi je fis une prière...
Il est doux quand on a du chagrin de se coucher dans la chaleur de son lit, et là tout effort et toute résistance supprimés, la tête même sous les couvertures, de s'abandonner tout entier, en gémissant, comme les branches au vent d'automne. Mais il est un lit meilleur encore, plein d'odeurs divines. C'est notre douce, notre profonde, notre impénétrable amitié. Quand il est triste et glacé, j'y couche frileusement mon coeur. Ensevelissant même ma pensée dans notre chaude tendresse, ne percevant plus rien du dehors et ne voulant plus me défendre, désarmé, mais par le miracle de notre tendresse aussitôt fortifié, invincible, je pleure de ma peine, et de ma joie d'avoir une confiance où l'enfermer.
J'ai écrit mon journal à partir de 11 ans, adressé à Munkey, mon confident, ce singe en peluche, gagné dans une tombola. Il a dormi à mes côtés, il a partagé ma vie avec John, Serge, Jacques, il a été le témoin de toutes les joies et toutes les tristesses. Devant la dévastation de mes enfants, j'ai déposé Munkey dans les bras de Serge dans le cercueil où il reposait, tel un pharaon. Mon singe pour le protéger dans l'après-vie.
Je savais qu'il ne pleuvrait pas sur mes noces pour une simple raison : quand on a souffert aussi longtemps que moi, on mérite une sorte de récompense. Ce jour-là, encore une fois, je m'étais fiée à mon instinct. Et j'avais eu raison de le faire. La vie ne m'a pas toujours fait de cadeaux. Après tant d'années de travail acharné et d'épreuves, je me réjouissais de profiter de l'instant présent avec Erwin, de me lever en paix chaque matin, sans un souci, ni un besoin, ni un projet. J'ai atteint le nirvana... cet état de félicité suprême où on ne désire plus rien. Trois mois plus tard, je me suis réveillée en proie à la panique. J'avais l'impression d'avoir reçu un coup à la tête et sur ma jambe droite, et une drôle de sensation au niveau de la bouche me gênait pour appeler Erwin à mon aide. Ce qui m'arrivait dépassait mes pires craintes. Je faisais un AVC.
Et j'ai brûlé mes doigts à ce feu défendu.
O paradis cent fois retrouvé reperdu.
Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes.Nous nous tutoyons ou nous nous vouvoyons?
Tutoyons-nous
Vous vouvoyez souvent ?
Je tutoie comme je vouvoie
Moi, je me tue à tutoyer, mais tout me voue à vouvoyer
Vous nous voyez nous vouvoyer ?
Nous voirons; je veux dire, nous verrons
Tout à fait, toutefois tout nous fait nous tutoyer; d'ailleurs, qui vous vouvoie ?
Mes parents, mais je ne les vois jamais
Ainsi, vos vieux vous vouvoient sans vous voir
Et toi, qui te tutoie ?
Mon oncle, mais seulement chez moi
Donc, ton tonton te tutoie sous ton toit
Oui, mais mon neveu ne veut nous vouvoyer
Et que faites-vous des dames ?
Tutoyons les veuves et vouvoyons les tantes
Mais ma tante est veuve; elle vouvoie son toutou et tutoie sa voiture
Vous n'aurez qu'à louvoyer, tantôt la tutoyer, tantôt la vouvoyer
Et les nouveaux venus, les vouvoierons-nous ?
Je veux voir les nouveaux venus nous vouvoyer. Les nouveaux non vouvoyants se verront renvoyés comme des voyous
Et les non voyants ?
Les non voyants vouvoieront !
Même au nouvel an ?
J'aimerais vous y voir, sous leur nombre les non vouvoyants vont vous noyer
Au nouvel an, votre dévoué n'envoie de voeux qu'aux vouvoyants non dévoyés
Vous vous fourvoyez !
Je ne me fourvoie pas, monsieur, mais je me fous de vous revoir !
Alors, allez vous faire voir !Je n'aime pas les titres pompeux. Que mon épitaphe soit condensée en une ligne ou deux, rappelant brièvement mon nom, ma virginité, la durée de mon règne, les réformes apportées à la religion et la sauvegarde de la paix.
Z ses dames d'atour, en discutant de son épitaphe. de Où veux-tu en venir avec les souffrances particulières aux Juifs ? Pour moi, les malheureuses victimes des plantations d'hévéas dans la région du Putumayo, les nègres d'Afrique dont les Européens se renvoient les corps comme on joue au ballon, me touchent tout autant. Te souviens-tu du récit de la campagne de Von Trotha, dans le Kalahari […] : « Et les râles des agonisants, les cris de ceux que la soif avaient rendus fous retentissaient dans le silence de cette immensité. » Ce « silence sublime de l'immensité » où tant de cris se perdent, il éclate dans ma poitrine si fort qu'il ne saurait y avoir dans mon cœur un petit recoin spécial pour le ghetto ; je me sens chez moi dans le vaste monde partout où il y a des nuages, des oiseaux et des larmes”.
J'ai raison d'être fou, je serais fou de ne l'être pas. A ce soir donc. Mon Dieu si vous n'êtes pas la plus indifférente des femmes, combien vous me ferez souffrir dans ma vie? Aimer, c'est souffrir. Mais aussi c'est vivre.
Parmi les hommes, vivants et morts, bien peu m'ont aidé dans ma lutte ; si je voulais distinguer cependant ceux qui ont laissé dans mon âme les empreintes les plus profondes, j'en signalerais trois ou quatre : Homère, Bergson, Nietzsche et Zorbas.
Topaze : [...] Ah ! l'argent… Tu n'en connais pas la valeur… Mais ouvre les yeux, regarde la vie, regarde tes contemporains… L'argent peut tout, il permet tout, il donne tout… Si je veux une maison moderne, une fausse dent invisible, la permission de faire gras le vendredi, mon éloge dans les journaux ou une femme dans mon lit, l'obtiendrai-je par des prières, le dévouement, ou la vertu ? Il ne faut qu'entrouvrir ce coffre et dire un petit mot : « Combien ? » (Il a pris dans le coffre une liasse de billets.) Regarde ces billets de banque, ils peuvent tenir dans ma poche, mais ils prendront la forme et la couleur de mon désir. Confort, beauté, santé, amour, honneurs, puissance, je tiens tout cela dans ma main… Tu t'effares, mon pauvre Tamise, mais je vais te dire un secret : malgré les rêveurs, malgré les poètes et peut-être malgré mon coeur, j'ai appris la grande leçon : Tamise, les hommes ne sont pas bons. C'est la force qui gouverne le monde, et ces petits rectangles de papier bruissant, voilà la forme moderne de la force.
J’ai tant regardé la rivière
et le soleil
et le doux ciel,
que j’ai lâché mon roseau vert.
Il est allé dans l’eau si claire,
il est allé jusqu’à la mer !
J’ai voulu cueillir aussitôt
un autre roseau si beau,
mais je me suis coupée aux herbes,
mes cheveux ont traîné dans l’eau...
(Ah ! rendez-moi donc mon roseau
et ma prairie et ma rivière !)
J’ai vu passer le fils du roi ;
il m’a dit : « Ma belle, pourquoi,
le long de la jolie rivière,
pourquoi pleures-tu là ? »
Ha ! Ha !
C’était le fils du roi.
Il m’a dit : « Viens avec moi,
et si tu veux tu seras reine.
Tu auras pour filer la laine
un rouet d’or, et un fuseau
aussi léger qu’un os d’oiseau !»
Las! je suis reine et prisonnière
dans un royaume merveilleux.
Mon cœur, mon cœur a tant de peine,
pleurez, pleurez, mes yeux.
Où sont mes sœurs et ma rivière ?
J’ai perdu mon roseau vert.En parlant de solitude, j'ai oublié d'évoquer une créature : mon petit chat. Nous nous sommes beaucoup attachés l'un à l'autre. Il vient de sauter de mon épaule où il avait dormi tranquillement. Il est discipliné, tendre, espiègle, il sait quand je m'apprête à manger, il s'approche et commence à griffer mes bandes molletières. Une fois il est sorti par la porte ouverte, je l'ai longtemps cherché mais il est revenu de lui-même. Cela peut paraître étrange, mais de petit être gris apaise ma tristesse même si, en jouant, il mélange mes papiers ou salit ma table avec ses pattes sales
Mon nom est Simcha, qui veut dire “joie” en hébreu. Je ne puis m'empêcher de le rapprocher de celui d'un de mes illustres contemporains, auquel je pense avoir tant à reprocher, Sigmund Freud : car tel est aussi, à peu près, le sens de son patronyme. Il suffit de voir nos photographies, ou ma figure, pour comprendre que ces noms ne nous ont pas porté chance, à moins de considérer que la joie est restée en nous bien secrète.
J'ai pensé à leur rencontre. J'ai frotté mes parents comme du cuivre ancien pour en effacer le noir. Redressé leur têtes, aminci leurs corps, rallumé leurs yeux. Ils avaient dû s'aimer l'espace d'un instant, quand ils avaient tournoyé sous les lampions du 14 juillet, à moins qu'ils ne soient restés fixes pendant que le reste se mettait à tourner. Ton père était beau, avait dit ma mère, et il était doux, et il dansait comme un dieu. J'ai pensé à leur rencontre mille fois, le plus souvent la nuit, quand j'avais l'impression d'étouffer. Il fallait qu'ils se soient aimés, sinon quelle raison j'avais d'exister, moi, de respirer, de prendre la place d'un autre ? Mais alors, il était parti où, cet amour ? Je l'ai cherché sous mon lit, dans les murs froids, dans la forêt, dans les yeux de ma mère puis dans ceux d'autres femmes, et j'ai fini par comprendre qu'il s'était changé en pierre. Elle avait dû rouler quelque part, passer par le trou d'une poche, et peut-être même qu'ils l'avaient un peu cherchée, mais va-t'en retrouver une pierre dans la caillasse du monde.
Quand j'étais petite, tout en sachant que je finirais par grandir et avoir ma propre famille, ou du moins ma propre maison, je n'imaginais pas ma vie sans mes parents ni mes sœurs. Cela m'aurait paru aussi incongru que d'envisager mon avenir sans mes pieds ou sans mes mains. Nous étions là, ensemble, pour toujours. Et même s'il était clair pour chacun que le temps passait - mon père et ma mère, je le voyais bien, ne vivaient pas avec leurs propres parents - ce que nous formions tous les cinq avait quelque chose d'éternel.
Chasseurs de fantasmes (2009) de Jeanne-A Debats
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Topaze (1926) de Marcel Pagnol
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Le Roi des Aulnes (1980) de Michel Tournier
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Journal d'Anne Frank (1947) de Anne Frank
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Les Suppliantes (1920) de Pierre Benoit
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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L'Amour, roman (2004) de Camille Laurens
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Larmes de combat de Brigitte Bardot
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À ma mère de Edgar Allan Poe
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La Mer, la mer (The Sea, The Sea, 1978) de Iris Murdoch
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Les Plaisirs et les Jours (1896) de Marcel Proust
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Munkey Diaries : Le journal intime de Jane Birkin de Jane Birkin
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Tina Turner, autobiographie (2019) de Tina Turner
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Les Yeux d'Elsa (1942) de Louis Aragon
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Mots et Grumots (2003) de Marc Escayrol
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Elisabeth Iere
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Lettres de prison (1916-1918) de Rosa Luxemburg
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Lettres de Benjamin Constant à Mme Récamier (1807-1830) de Benjamin Constant
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Lettre au Greco. Souvenirs de ma vie (1956) de Níkos Kazantzákis
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Topaze (1926) de Marcel Pagnol
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Petites voix (1930) de Madeleine Ley
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Le météorologue (2014) de Olivier Rolin
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Autobiographie de mon père (1987) de Pierre Pachet
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Cent millions d'années et un jour (2019) de Jean-Baptiste Andrea
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L'éternel fiancé (2021) de Agnès Desarthe
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