Citation Ce n est pas la fin
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème Ce n est pas la fin.
140 citations
Peut-être a-t-il gardé en lui des enseignements de Mani la conviction profonde que ce monde est mauvais et ne mérite pas que l'on verse des larmes sur sa fin.
Le pardon n'est pas une baguette magique. Il y a le pardon du vouloir et celui du pouvoir : on veut pardonner mais on ne peut pas. Quand on peut, lorsque enfin la tête et le coeur finissent par être d'accord, il reste le souvenir, ces choses douloureuses qui remontent à la surface, qui troublent et raniment la haine. C'est le pardon de la mémoire. Ce n'est pas le plus facile. Il exige beaucoup de temps.
Peut-être, en fin de compte, n'y a-t-il pas une grande différence entre la lumière et les ténèbres. Le problème, c'est notre façon de voir.
La vraie pénitence est ferme et constante: pourtant, elle nous fait, non pas pour un jour ou une semaine, mais sans fin et sans cesse, batailler contre le mal qui est en nous.
La vie est un roman dont on sait déjà comment il se termine: à la fin, le héros meurt. Le plus important n’est donc pas comment notre histoire s’achève, mais comment nous en remplissons les pages. Car la vie, comme un roman, doit être une aventure. Et les aventures, ce sont les vacances de la vie.
Les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être. On ne sait jamais si tel événement est chance ou malchance: il faut attendre la fin de l'histoire, et peut-être la fin de la vie.
Sans référence de Mon amour pour toi est enfin apaisé. Je ne veux pas qu'il devienne un brasier rougissant. Si j'avais pu souffrir davantage, j'aurais souffert davantage. Il faudra pour finir que tu nous accueilles comme si nous étions tes enfants. La tendresse, la confiance absolue, la communication et la sincérité : ces choses là comptent de plus en plus la mesure où. Trouvons un moyen de ne pas gaspiller l'amour, c'est une denrée trop rare.
L'aube se lève. Telle une prière inutile sur un désert sourd, misérable et nu. Épaves oubliées par une mer volatilisée depuis des millénaires, quelques rochers s'effritent dans la poussière ; çà et là, enguirlandés de coloquintes vénéneuses, de maigres bras de broussailles soulignent les berges de jadis sur lesquelles des acacias solitaires se sont crucifiés puis, plus rien – rien de ce que l'on espère entrevoir –, ni caravane providentielle, ni cahute salutaire, pas même la trace d'un bivouac. Le désert est d'une perversité !... C'est un code piégé, le désert, un dédale souverain et fourbe où les témérités courent à leur perte, où les distraits s'évanouissent parmi les mirages plus vite qu'une feinte, où pas un saint patron ne répondrait aux appels du naufragé afin de ne pas se couvrir de ridicule ; un territoire d'échec et d'adjuration, un chemin de croix qui n'a de cesse de se ramifier, un envers du décor où l'entêtement se mue en obsession et la foi en folie. Ci-gît la vanité de toute chose en ce monde, semble clamer la nudité des pierres et des perspectives. Car, ici, tout retourne à la poussière, les montagnes taciturnes et les forêts luxuriantes, les paradis perdus comme les empires bâclés, jusqu'au règne claironnant des hommes… Ici, en ces immensités reniées des dieux, viennent abdiquer les tornades et mourir les vents bredouilles à la manière des vagues sur les plages sauvages puisque seule la course inexorable des âges est invincibilité et certitude. Au loin, très loin, là où la terre commence à s'arrondir, l'horizon se tient immobile, piètre et livide, comme si la nuit l'avait tenu en haleine jusqu'au matin…
Que demande-t-on d'une fleur - Sinon qu'elle soit belle et odorante une minute, pauvre fleur, et après ce sera fini. - La fleur est courte, mais la joie qu'elle a donnée une minute - N'est pas de ces choses qui ont commencement ou fin.
La curiosité telle que tu l'entends n'est elle pas surtout un art ? Un art de bifurquer ? Un art de naviguer ? Un art de vivre? Un art de voyager à peu de frais ? Un remède à l'indifférence? Un désir de voir par soi-même, de lire sans consigne, de poser et de se poser des questions tout le temps d'une existence, de ne pas perdre la fraîcheur si tôt détrônée de l'enfant ? Une manière d'être vivant, de te sentir vivant, jusqu'à la fin de ton temps sur terre ?
L'été éclatera bientôt. Et avec lui déjà le raccourcissement des jours, déjà la fin de la saison qui s'annonce, avant même d'avoir débuté. Ou si peu. J'ai toujours ce sentiment d'inachevé, d'inaccompli avec l'été. J'ai toujours ce sentiment que quelque chose n'est pas à la hauteur, quelque chose de latent et de grand, sur le point d'advenir sans doute, mais qui reste dans le fossé, sur le côté, et ne se révèle finalement pas. Je n'ai malheureusement jamais su quoi. L'hiver et l'automne me sont indifférents, car ils ne me déçoivent pas. Je les préfère.
Cependant il n'a pas oublié ce que chante le chœur à la fin d'Œdipe : Ne dis jamais qu'un homme est heureux avant sa mort.
Chaque protestation politique fondamentale est un appel à une justice absente, et s'accompagne de l'espoir que dans le futur cette justice sera établie ; cet espoir, cependant, n'est pas la raison première de la protestation. On proteste parce que ne pas protester serait trop humiliant, trop rabaissant, trop mortifère. On proteste (en construisant une barricade, en prenant les armes, en faisant la grève de la faim, en se tenant par les bras, en criant, en écrivant) afin de sauver le moment présent, quoi que l'avenir réserve.
On quitte l'école pour la fac, la fac pour un boulot et l'ère des profs prend fin et le temps détricote ce qui a été cousu. Mais un jour, en vieillissant, on s'aperçoit qu'au fond, le canevas est intact, et on se demande quel professeur en est responsable, qui a le plus compté, qui a été décisif. Un piton émerge des limbes, un relief pointu où raccrocher son enfance, son parcours, sa vie. Pourtant, ce n'est pas un homme seul mais une équipe de saltimbanques, une vraie troupe de théâtre, à l'affiche pendant plusieurs années, qui fabrique un adolescent et, parfois, façonne un homme.
Quelle règle convient-il donc de suivre dans cette grande question des jeux de l'enfance ? Le jeu forme les trois quarts de leur vie. Faut-il les y abandonner aux seules ressources de leur imagination ? Faut-il les forcer à se tirer d'affaire et les laisser s'amuser seuls, ou bien est-il bon au contraire, là comme ailleurs, de leur ouvrir la voie, de leur tendre la main, de leur apprendre à inventer ? Le problème est des plus difficiles. On ne peut nier d'une part que les enfants n'aient en eux les plus ingénieuses et les plus fécondes ressources d'amusement. Qui de nous ne s'est arrêté à contempler un enfant assis à terre et passant des heures entières à creuser dans le sable un trou sans objet, sans forme, sans fin (car il le recreuse toujours), et attaché à cet ouvrage comme Archimède à son problème. Que fait-il ? A quoi songe-t-il ? Que se passe-t-il dans sa tête ?Nul ne peut le dire; lui-même ne le pourrait pas. Ces heures, pourtant, se sont écoulées pour lui avec cette rapidité légère dont le mot jeu est synonyme, et il a joué tout seul. Mais d'un autre côté, qui n'a pas vingt fois pris en pitié les regards de détresse et l'attitude mélancolique d'enfants réunis pour s'amuser, et ne pouvant trouver d'amusement ?.
Tu sais, jeune homme, remonter aux origines n’est jamais facile : il y a l’oubli — ce grand trou noir —, la nostalgie, la pudeur qui transmuent les souvenirs. Et si raconter ma propre vie suppose que je vide ma mémoire sans crainte de réveiller d’anciennes douleurs, raconter celle des autres exige le secours de l’imagination. Car enfin, comment appréhender la pensée, les sentiments, les secrets d’autrui quand on ne les a pas partagés ? Comment pénétrer, comment violer, le sanctuaire d’une vie ? Comment remplir les blancs que nos semblables ont, sciemment ou non, laissés derrière eux ? Comment cerner tout ce qui a déterminé leur action, comment justifier leurs actes — si tant est qu’il faille toujours « justifier » ?
Pour l'homme libre, tout ce qui n'est pas liberté c'est la mort, mais une mort sans fin.
C'est bien la même chose, en fin de compte, toutes ces histoires: travailler..., pas travailler... et puis on s'embarque sur ce bateau-là... Ce qu'il faut? Ne rien regretter, c'est tout.
Le dribble n'est pas né par hasard au Brésil. Les premiers joueurs noirs ont commencé à dribbler pour éviter les contacts avec les défenseurs blancs et éviter de se faire rosser sur la pelouse et à la fin des matchs. Il s'est développé sur les plages et les terrains vagues, avec une pelote de chaussettes ou une petite balle en caoutchouc. C'est un mouvement de hanche, similaire à celui des danseurs de Samba et des lutteurs de Capoeira, ludique, acrobatique, marque des plus grands solistes.
Désormais, Paol est un ennemi du Reich, un indésirable. On lui a retiré ses papiers, ses lacets, sa ceinture. Sur la paillasse, il ne cesse de recomposer les derniers instants, son cerveau ayant tout enregistré, il voit enfin la scène, y traquant en vain quelque chose, un indice : les pas dans la cour, la sonnerie, son nom prononcé derrière la porte, les sbires qui se ruent, cette narcose vénéneuse filtrant de partout, avec lui au milieu, en accéléré entre les plans ralentis, c'était son coeur qui battait fort, il est ceinturé dans la Citroën, la portière claque, il traverse le bourg, croise une section de soldats allemands en colonne, et puis deux gars au seuil d'une ferme, un copain sur son vélo au croisement, un autre plus âgé qui guette par la fenêtre en angle du café d'Ys, tout le village sera au courant, la voiture descend jusqu'à l'Aulne pour franchir le pont, le bruit du moteur coupe en deux les champs et les futaies en attaquant une nouvelle côte, il a un mal de tête atroce, sa main est insensible comme du marbre, et le ruban d'asphalte par la lunette arrière est devenu sa vie débobinée tant les virages se répètent et s'évanouissent, il n'y a pas de héros, il doit oublier le réseau, ils vont si vite, un accident serait préférable à ce qui l'attend, et après le dernier croisement le panneau fléché « BREST » lui oppresse soudain la poitrine et l'affole…
Les livres naissent de ce que l'on ne sait pas dire. Si on savait, on dirait, et il n'y aurait pas de livres; on n'y penserait même pas. Mais voilà, on ne sait pas dire, et c'est une inquiétude, puis très vite un manque, et enfin un désir; et le livre vient, qui est tout entier l'effort pour dire, bien que l'on ne puisse pas.
En temps de guerre, la vie est suspendue. On passe des jours dans les abris à ne rien faire, à tourner en rond, à l’écoute des dernières nouvelles du front. On ne sait plus vraiment ce qui se passe dehors, si la radio ment ou pas, si les déflagrations qu’on entend sont des « départs » ou des « arrivées ». En temps de guerre, on bannit le confort : on s’adapte à tout, on fait avec. En cas de pénurie d’essence, on attend des heures devant les stations-service ; quand le pain manque, on prend d’assaut les boulangeries ; et lorsque l’eau tarit dans les réservoirs, on court à la fontaine remplir les bidons. En temps de guerre, plus rien ne compte sauf Dieu, seule planche de salut dans un pays livré à la violence aveugle des hommes. Églises et mosquées ne désemplissent pas ; ceux qui n’ont jamais cru se retrouvent à genoux. En temps de guerre, enfin, les normes n’existent plus : le milicien fait la loi ; le gendarme se planque. Ceux qui ne se battent pas deviennent des lâches ; ceux qui tuent, des héros.
Il est étrange que, parfaitement certains de la brièveté de la vie, nous prenions tant à coeur les intérêts qui s'y rapportent. Quelle est cette activité, ce mouvement, à l'entour de places et de richesses dont nous aurons si peu de temps à jouir ? Et ces pleurs sur des morts chéris que nous irons rejoindre demain ? L'homme sait tout cela, et cependant il s'agite, il s'inquiète, il s'afflige, comme si la fin de ces empressements et de ces larmes n'était pas prochaine, et nulle philosophie ne peut lui donner sur toutes choses l'indifférence qui convient à un condamné à mort sans espoir ni recours.
C'est un instinct des femmes dans tous les pays d'ajouter la coquetterie à la nature. La nature leur donne la chevelure, cela ne leur suffit pas elles y ajoutent la coiffure; la nature leur donne le cou blanc et souple, c'est peu de chose, elles y attachent le collier; la nature leur donne le pied fin et petit, ce n'est point assez, elles les rehaussent par la chaussure. Dieu les a fait belles, cela ne leur suffit pas, elles se font jolies.
Ce propos me chagrina quelque peu. J'aurais souhaité continuer à croire encore un peu aux vertus de la littérature qui n'est pas encore advenue. En fin de compte, je lui devais cette liberté qui n'existait nulle part ailleurs que dans les rêves.
Le Sermon sur la chute de Rome (2012) de Jérôme Ferrari
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Plus fort que la haine (1999) de Tim Guénard
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L'amour et l'oubli (2006) de André Brink
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Traité de la sainte Cène de Jean Cauvin, dit Jean Calvin
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L'Énigme de la Chambre 622 (2020) de Joël Dicker
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D. H. Munich
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La Mer, la mer (The Sea, The Sea, 1978) de Iris Murdoch
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L'Equation africaine (2011) de Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra
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L'Annonce faite à Marie de Paul Claudel
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La curiosité (2019) de Jean-Pierre Martin
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Pour la peau (2016) de Emmanuelle Richard
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Disgrâce (1999) de J. M. Coetzee
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Le carnet de Bento de John Berger
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Un parfum d'herbe coupée (2013) de Nicolas Delesalle
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Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867) de Ernest Legouvé
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Le Roman de Beyrouth (2005) de Alexandre Najjar
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Les Récits d'Adrien Zograffi de Panaït Istrati
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Des journées dans les arbres de Marguerite Duras
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Éloge de l'esquive de Olivier Guez
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La part du fils (2019) de Jean-Luc Coatalem
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Dans l'attente de toi de Alexis Jenni
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Le Roman de Beyrouth (2005) de Alexandre Najjar
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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En voyage, tome II (1910) de Victor Hugo
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La Poupée (2015) de Ismaïl Kadaré
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