Citation ce n est pas la fin
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Une Sélection de 140 citations et proverbes sur le thème ce n est pas la fin.
140 citations
Et, si vous n’êtes toujours pas d’accord, qu’il en soit ainsi. C’est ça la démocratie. C’est l’Amérique. Le droit de contestation pacifique, dans le cadre de notre république, est peut-être la plus grande force de notre nation. (…) Je serai le président de tous les Américains. Et je vous promets de me battre pour ceux qui ne m’ont pas soutenu comme pour ceux qui l’ont fait. (…) Nous devons mettre fin à cette guerre incivile qui oppose le rouge (républicain) au bleu (démocrate), le rural contre l’urbain, le conservateur contre le libéral.
Il n'est pas naturel pour l'homme de brouiller les frontières, de remettre en question la fin de la vie, de tenter de communiquer avec l'invisible. Agir de la sorte relève plus de la démence que de la raison.
C'est pour cela que je suis venu, que je suis mort, et que j'ai pu renaître afin de mourir pour de bon. Le sacrifice, je suis prêt. Le sacrifice ce n'est pas la mort donnée, c'est la mort vaincue.
Mon amour pour toi est enfin apaisé. Je ne veux pas qu'il devienne un brasier rougissant. Si j'avais pu souffrir davantage, j'aurais souffert davantage. Il faudra pour finir que tu nous accueilles comme si nous étions tes enfants. La tendresse, la confiance absolue, la communication et la sincérité : ces choses là comptent de plus en plus la mesure où. Trouvons un moyen de ne pas gaspiller l'amour, c'est une denrée trop rare.
Est-ce que c'est cela l'amour, cette générosité sans contrainte, ce sentiment d'être enfin compris, de ne pas avoir à faire semblant ?
La violence n'est pas un moyen parmi d'autres d'atteindre la fin, mais le choix délibéré d'atteindre la fin par n'importe quel moyen.
C'est un instinct des femmes dans tous les pays d'ajouter la coquetterie à la nature. La nature leur donne la chevelure, cela ne leur suffit pas elles y ajoutent la coiffure; la nature leur donne le cou blanc et souple, c'est peu de chose, elles y attachent le collier; la nature leur donne le pied fin et petit, ce n'est point assez, elles les rehaussent par la chaussure. Dieu les a fait belles, cela ne leur suffit pas, elles se font jolies.
Afin que la cour de Turin, qui n'a pas voulu le retenir, et qui est pourtant fâchée de l'avoir perdu, ne s'imagine pas que M. de la Grange, en arrivant à Berlin, ait commencé par essuyer un dégoût apparent.
Il ne faut pas confondre L'ESCHATOLOGIE qui est la conséquence de la fin de l'homme avec LA SCATOLOGIE qui elle, elle est la conséquence de la faim de l'homme.
Enfin, je dis que pour être heureux il faut être susceptible d'illusion, et cela n'a guère besoin d'être prouvé ; mais, me direz-vous, vous avez dit que l'erreur est toujours nuisible : l'illusion n'est-elle pas une erreur ? Non : l'illusion ne nous fait pas voir, à la vérité, les objets entièrement tels qu'ils doivent être pour nous donner des sentiments agréables, elle les accommode à notre nature. Telles sont les illusions de l'optique : or, l'optique ne nous trompe pas, quoiqu'elle ne nous fasse pas voir les objets tels qu'ils sont, parce qu'elle nous les fait voir de la manière qu'il faut que nous les voyions pour notre utilité. Quelle est la raison pour laquelle je ris plus que personne aux marionnettes, si ce n'est parce que je me prête plus qu'aucun autre à l'illusion, et qu'au bout d'un quart d'heure je crois que c'est Polichinelle qui parle ? Aurait-on un moment de plaisir à la comédie, si on ne se prêtait à l'illusion qui vous fait voir des personnages que vous savez morts depuis longtemps, et qui les fait parler en vers alexandrins ? Mais quel plaisir aurait-on à un autre spectacle où tout est illusion, si on ne savait pas s'y prêter ? Assurément, il y aurait bien à perdre, et ceux qui n'ont à l'opéra que le plaisir de la musique et des danses y ont un plaisir bien décharné et bien au-dessous de celui que donne l'ensemble de ce spectacle enchanteur. J'ai cité les spectacles, parce que l'illusion y est plus aisée à sentir. Elle se mêle à tous les plaisirs de notre vie, et elle en est le vernis.
Ce livre, ces Larmes de combat, serait donc mon legs. Ce texte testamentaire portera à jamais ma conviction, mon abattement et mes espérances. .. . En cette Sainte-Brigitte, j'ai donc compris qu'un jour, pas si lointain peut-être, là où je serai, je sentirai ce souffle de vie pour lequel j'ai lutté toute mon existence. Un souffle vivifiant, puissant et novateur. Un souffle invincible venir de celles et de ceux qui parviendront à ouvrir à jamais les grilles de ce monde immenses de rêves et de douleurs muettes qu'est l'animalité. Mon passage sur terre n'aura donc pas été vain. Et mon âme sera enfin en paix.
Chaque protestation politique fondamentale est un appel à une justice absente, et s'accompagne de l'espoir que dans le futur cette justice sera établie ; cet espoir, cependant, n'est pas la raison première de la protestation. On proteste parce que ne pas protester serait trop humiliant, trop rabaissant, trop mortifère. On proteste (en construisant une barricade, en prenant les armes, en faisant la grève de la faim, en se tenant par les bras, en criant, en écrivant) afin de sauver le moment présent, quoi que l'avenir réserve.
Le dribble n'est pas né par hasard au Brésil. Les premiers joueurs noirs ont commencé à dribbler pour éviter les contacts avec les défenseurs blancs et éviter de se faire rosser sur la pelouse et à la fin des matchs. Il s'est développé sur les plages et les terrains vagues, avec une pelote de chaussettes ou une petite balle en caoutchouc. C'est un mouvement de hanche, similaire à celui des danseurs de Samba et des lutteurs de Capoeira, ludique, acrobatique, marque des plus grands solistes.
L'été éclatera bientôt. Et avec lui déjà le raccourcissement des jours, déjà la fin de la saison qui s'annonce, avant même d'avoir débuté. Ou si peu. J'ai toujours ce sentiment d'inachevé, d'inaccompli avec l'été. J'ai toujours ce sentiment que quelque chose n'est pas à la hauteur, quelque chose de latent et de grand, sur le point d'advenir sans doute, mais qui reste dans le fossé, sur le côté, et ne se révèle finalement pas. Je n'ai malheureusement jamais su quoi. L'hiver et l'automne me sont indifférents, car ils ne me déçoivent pas. Je les préfère.
Tu sais, jeune homme, remonter aux origines n’est jamais facile : il y a l’oubli — ce grand trou noir —, la nostalgie, la pudeur qui transmuent les souvenirs. Et si raconter ma propre vie suppose que je vide ma mémoire sans crainte de réveiller d’anciennes douleurs, raconter celle des autres exige le secours de l’imagination. Car enfin, comment appréhender la pensée, les sentiments, les secrets d’autrui quand on ne les a pas partagés ? Comment pénétrer, comment violer, le sanctuaire d’une vie ? Comment remplir les blancs que nos semblables ont, sciemment ou non, laissés derrière eux ? Comment cerner tout ce qui a déterminé leur action, comment justifier leurs actes — si tant est qu’il faille toujours « justifier » ?
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Et voilà que je me retrouvais seul, plus seul que je ne l'avais jamais été, enfin j'avais le houmous, adapté aux plaisirs solitaires, mais la période des fêtes c'est plus délicat, il aurait fallu un plateau de fruits de mer, or ce sont là des choses qui se partagent, un plateau de fruits de mer en solitaire c'est une expérience ultime, même Françoise Sagan n'aurait pas pu décrire cela, c'est vraiment trop gore.
Ca c'est pour que je ne bouge jamais plus, pour que je bavasse ici jusqu'à la fin des temps, en murmurant, tous les dix siècles. Ce n'est pas moi, ce n'est pas vrai, ce n'est pas moi, je suis loin.
J’avais été très marqué par l’affirmation d’Oscar Wilde « je veux faire de ma vie un chef-d’oeuvre » , car chacun se rappelle les conditions de la fin de vie d’Oscar Wilde. Moi je n’ai pas l’outrecuidance de le dire, j’aimerais bien que l’on puisse dire « c’est pas mal » .
Il ne faut pas se méprendre : la terre commence là où la mer s'arrête - et pas l'inverse. La mer n'est pas la fin de la terre, comme tout le monde le pense.
À partir du moment où nous n'avons plus de presse libre, tout peut arriver. Ce qui permet à une dictature totalitaire ou à toute autre dictature de régner, c'est que les gens ne sont pas informés ; comment pouvez-vous avoir une opinion si vous n'êtes pas informé ? Si tout le monde vous ment en permanence, la conséquence n'est pas que vous croyez les mensonges, mais plutôt que personne ne croit plus rien. En effet, les mensonges, de par leur nature même, doivent être modifiés, et un gouvernement menteur doit constamment réécrire sa propre histoire. Le destinataire ne se contente pas d'un seul mensonge - un mensonge qui pourrait durer jusqu'à la fin de ses jours - mais il reçoit un grand nombre de mensonges, selon la direction du vent politique. Et un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut plus se décider. Il est privé non seulement de sa capacité d'agir, mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez alors faire ce que vous voulez.
A la fin du repas, le maître est le premier à refermer le sien, la lame claque sec, il n'est plus question que personne coupe une bouchée après ce rite, son laguiole a parlé.
Il y a une hypocrisie considérable dans le formalisme. Toute personne qui pense est consciente de ce paradoxe, mais dans nos rapports avec les gens conventionnels il est avantageux de les traiter comme s'ils n'étaient pas des hypocrites. Ce n'est pas une question de fidélité à tes propres conceptions, c'est une question de compromis afin de pouvoir demeurer un individu sans la menace constante de pressions conventionnelles.
Laisse à la surface de l'eau, afin qu'il nage, le fils qui n'est pas un fils.
Ce qui prouve que l'expérience ne sert à rien, c'est que la fin de nos anciennes amours ne nous dégoûte pas d'en commencer d'autres.

Joe Biden
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