Citation Tant de bien
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Une Sélection de 500 citations et proverbes sur le thème Tant de bien.
500 citations
Le passé nous fait nous souvenir des gens d'autrefois à qui nous devons ce que nous sommes, à qui nous devons tant d'estime, gens simples, peut-être, mais d'une si grande richesse humaine, bien souvent.
Notre quête du bonheur nous condamne à l'inquiétude, aux tourments et à l'insatisfaction, tant et si bien qu'à la fin, les promesses que nous faisaient miroiter nos vies n'ont pas été tenues.
Tant pis et tant mieux étant les deux grands pivots de la conversation française, un étranger ferait bien de se mettre au fait de leur emploi avant d'arriver à Paris.
La paix vaut bien qu'on s'occupe d'elle autant que de la guerre.
Le mal n'est pas tant de vivre, car je vois que tu te portes bien, ami Betto, et que beaucoup d'autres se portent de même. Le mal n'est pas de vivre mais de savoir qu'on vit. Le mal est de connaître et de vouloir.
Ils ont fait un tel effort, ils ont écouté avec tant de contention la leçon, qu'après, c'est bien normal, ils se détendent, ils se déchaînent...
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.C'est bien joli de vivre de plus en plus vieux, mais j'aimerais autant qu'on vive de plus en plus jeune.
Ne pouvez-vous comprendre que ce que vous pouvez éprouver? Vous qui avez vu tant de choses, étudié tant de natures diverses, ne savez-vous pas que l'amour-propre est une cause de dépit et de jalousie aussi bien que la passion veritable?
En quoi l'imagination était-elle différente du souvenir ? En quoi lui était-elle liée ? Était-ce parce que j'avais tant de problèmes avec mes souvenirs que j'avais si peu d'imagination, et un accès devenu si faible à la fiction ? Ou bien étais-je entré dans une fiction si intense qu'il me devenait impossible d'entrer dans l'imagination des autres? Je ne pouvais plus lire que très lentement, jamais pour me détendre ni me divertir.
La terre n'aimait pas, ne haïssait pas, ne pensait ni au mal, ni au bien. Ne pensait pas. Les hommes dessus, misérables colons dans leur habit de sueur, avec ce besoin de tout nommer, de ramener la terre à une compréhension factice. Les hommes, qui avaient tant besoin de trouver des explications à ce qui ne demandait rien, quand il aurait fallu écouter, regarder la terre se pencher, aimanter toutes les formes de vie, la moindre particule minérale, et même les oiseaux finissaient toujours par se poser et les poussières par retomber.
Une graine pourrie a été plantée dans le coeur de ce garçon. Dans le terreau de sa haine, elle germe, tant et si bien qu'elle ravage tout ce qu'il aurait pu devenir.
Rubens ne se châtie pas, et il fait bien. En se permettant tout, il vous porte au delà de la limite qu'atteignent à peine les plus grands peintres; il vous domine, il vous écrase sous tant de liberté et de hardiesse.
Il s'agissait, notez-le bien, d'autre chose que la certitude où je vivais d'être plus intelligent que tout le monde. Cette certitude d'ailleurs est sans conséquence du fait que tant d'imbéciles la partagent.
Ceux qui se perdent en restant sur leur garde sont bien rares!
Un droit que bien peu d'intellectuels se soucient de revendiquer, c'est le droit à l'errance, au vagabondage. Et pourtant, le vagabondage, c'est l'affranchissement, et la vie le long des routes, c'est la liberté.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Je ne sais pas de spectacle plus sain, d'un comique plus réconfortant, que celui d'un monsieur recevant de main de maître une beigne qu'il avait bien cherchée.
Dès que j'avais un emploi, je le jouais plus que je l'exerçais. Je ne pouvais jamais m'y donner vraiment, j'avais d'emblée l'impression d'être dans des vêtements d'emprunt et de circuler avec de faux papiers. Est-ce bien moi ? Ou est-ce que je me donne simplement un rôle ? La peur d'être démasqué me taraudait, me rongeait, tant et si bien que je me faisais l'impression d'être un escroc, même si je faisais mon travail au mieux comme tout un chacun. Escroc ? pire encore : comme si non seulement je n'avais aucun droit au travail, aucune légitimité, mais aucun droit à l'existence.
Je suis mal à l’aise dans le monde actuel. Il y a une ambiance de haine, les gens sont agressifs, bêtes, surtout parmi ceux qui devraient nous gouverner. C’est lamentable. Il y a tant d’inégalités, d’injustice, de cynisme. Cela me gêne donc de dire que moi, je suis en bon état pour mon âge et heureux grâce à ma femme, mon fils et mes petits-enfants. J’ai presque honte de dire que je vais bien. J’ai de la chance et j’aimerais que tout le monde puisse en dire autant. Et j’ai peur de l’avenir pour nos enfants.
On ne se fatigue pas de quelqu'un, vous savez, en fait, on se fatigue d'aimer. D'éprouver de l'amour. On veut bien avoir froid si le chauffage saute, mais on ne veut plus avoir mal si le coeur en fait autant. Cela s'appelle l'expérience.
Donner du bonheur et faire du bien, voilà notre loi, notre ancre de salut, notre raison d'être, notre phare. Toutes les religions peuvent s'écrouler; tant que celle-là subsiste, nous avons encore un idéal et il vaut la peine de vivre.
Quand je regardais le tableau, j’éprouvais la même convergence en un seul et unique point : un bref instant touché par le soleil qui existait maintenant et pour toujours. C’est fortuitement que je remarquais ma chaîne à la cheville de l’oiseau, ou que je songeais combien la vie de cette petite créature, battant brièvement des ailes puis toujours forcée, sans espoir, d’atterrir au même endroit, avait dû être cruelle.
Il est, permettez-moi de vous le dire, bien singulier que m'aimant autant que vous me le dites, vous ayez pu vous attacher si fortement à d'autres, et que vous ne m'ayez même jamais parlé de vos sentiments.
Quoi que fasse une femme, elle doit le réussir deux fois mieux qu'un homme pour qu'on en pense autant de bien. Par chance, ce n'est pas difficile.
Sans référence de Edouard Bled
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Lâcher prise avec Schopenhauer (2011) de Céline Belloq
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Le Voyage sentimental de Laurence Sterne
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Utopia (1516) de Thomas More
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Le Puit de Sainte-Claire (1895) de Anatole France
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Vous les entendez? (1972) de Nathalie Sarraute
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Brèves de comptoir, 1988 de Jean-Marie Gourio
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Teverino (1846) de George Sand
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Le lambeau (2018) de Philippe Lançon
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Glaise (2018) de Franck Bouysse
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Les cicatrices (2020) de Claire Favan
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Ecrits, 21 octobre 1860 de Eugène Delacroix
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La Chute (1956) de Albert Camus
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Entretiens de Confucius
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Ecrits sur le sable (1988) de Isabelle Eberhardt
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Cyrano de Bergerac (1897), I, 4, Cyrano de Edmond Rostand
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Sans référence de Georges Courteline
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Chien (1988) de Paul Nizon
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Interview DH Les Sports par Patrick Laurent, le 28 juin 2016 de Claude Brasseur
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Le cheval évanoui de Françoise Sagan
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Fragments d'un journal intime (1884, 1887, 1923, 1927) de Henri-Frédéric Amiel
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Le Chardonneret (2013) de Donna Tartt
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La Nuit et le moment ou les matines de Cythère : dialogue (1755) de Crébillon fils
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Dans Canada Month, juin 1963. de Charlotte Whitton
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