Citation Alors lui
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Une Sélection de 210 citations et proverbes sur le thème Alors lui.
210 citations
Relu du Maupassant. Celui qui ne m'intéresse pas, c'est celui de la gaudriole, du monsieur qui dort alors qu'une belle femme attend qu'il lui donne des preuves de sa virilité.
Dieu dit alors à Moïse: «Je suis celui qui suis.» Et il ajouta: «Voici en quels termes tu t'adresseras aux enfants d'Israël: Je suis m'a envoyé vers vous.»
Les femmes croient les gens quand ils farcissent leurs phrases du mot amour. Alors elles trottent, elles vont, elles se mettent en quatre, elles intriguent, elles affirment les faits, elles font le diable pour celui qui leur plaît.
L'enfant de Daech va avoir la possibilité d'une autre vie, pourra tenter de gommer les images noires enfouies dans sa mémoire, aura l'opportunité de reconstruire ce qui a été détruit en lui. Lena veut se persuader qu'il n'est jamais trop tard, que même un garçon ayant défilé et joué avec une kalachnikov peut être arraché au destin tracé par ses bourreaux. Si Zaïm arrive à être sauvé, alors Daech aura définitivement perdu la bataille idéologique... : l'école de la république doit vaincre celle du terrorisme.
Le mur du son n'est pas celui qu'on imagine. Alors que l'homme va aujourd'hui dans la Lune, il est toujours incapable de transférer une communication téléphonique dans le bureau voisin du sien.
En soi, la pratique du mensonge n'a rien de particulièrement éprouvant : c'est une question d'habitude professionnelle, une ressource que la plupart des gens peuvent acquérir. Mais alors que l'aigrefin, l'acteur de théâtre ou le joueur professionnel peuvent rejoindre les rangs de leurs admirateurs après la représentation, l'agent secret, lui, ne peut pas se payer le luxe de la détente
On quitte un homme on croit l'oublier, jusqu'à ce qu'un souvenir nous rappelle à lui alors comment imaginer se défaire de l'amour que nous portons à nos parents.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Celui qui sait accepte alors de souffrir de ce qu'il a appris.
Le drame est tout entier là-dedans, monsieur, dans la conscience que j'ai, qu'a chacun de nous d'être «un», alors qu'il est «cent», qu'il est «mille», qu'il est «autant de fois un» qu'il y a de possibilités en lui.
A vingt-neuf ans l'homme était dans sa trentième année. Et il avait justement vingt-neuf ans. Et ce n'était que maintenant, encore que le sentiment l'eût progressivement gagné depuis le matin, qu'il ressentait clairement l'impact intolérable de cette notion qu'il eût pu sans doute déjà acquérir à l'âge de vingt-deux ans, mis qui n'était pas venue, et qu'il eût dû pou le moins acquérir à l'âge de vingt-cinq ans, mais qui n'était toujours pas venue, cette notion jusqu'alors associé par lui uniquement avec des personnes chancelant au bord de la tombe, et A.E. Housman, selon quoi la jeunesse ne dure pas éternellement - et qu'en l'espace d'un éclair même l'on a cessé d'être jeune. Dans quatre ans à peine, qui allaient passer à une allure folle au point que la cigarette d'aujourd'hui paraîtrait avoir été fumée la veille, il se retrouverait à trente-trois ans ; sept années plus tard à quarante ans ; quarante-sept années plus tard à quatre-vingts ans. Soixante-sept ans était une longueur de temps plutôt confortable, mais il aurait alors cent ans. Je ne suis plus un prodige. Je n'ai plus d'excuse de me conduire aussi irresponsablement. je ne suis plus si vaillant que cela. Je ne suis plus jeune.
Que lui reproche-t-on? - Ses idées politiques. - En voilà une idée! - Alors qu'il est déjà si difficile de croire aux opinions politiques des hommes politiques!
L’homme éprouve une multitude de besoins à la satisfaction desquels sont attachées des jouissances et dont la non-satisfaction lui occasionne des souffrances. Or, seul, isolé, il ne peut pourvoir que d’une manière incomplète, insuffisante à ces besoins qui le sollicitent sans cesse. L’instinct de la sociabilité le rapproche de ses semblables, le pousse à se mettre en communication avec eux. Alors s’établit, sous l’impulsion de l’intérêt des individus ainsi rapprochés, une certaine division du travail, nécessairement suivie d’échanges ; bref, on voit se fonder une organisation, moyennant laquelle l’homme peut satisfaire à ses besoins, beaucoup plus complètement qu’il ne le pourrait en demeurant isolé. Cette organisation naturelle se nomme la société. L’objet de la société, c’est donc la satisfaction plus complète des besoins de l’homme ; le moyen, c’est la division du travail et l’échange.
Chaque jour, dans des moments de méditation, je m'efforce de demander à Dieu de m'aider. Je lui dis : Si la confiance des hommes m'impose de telles responsabilités, au niveau desquelles je dois exercer une action, si, dans l'accomplissement de ma lourde tâche, vous pensez que la force et l'influence qui découlent de la confiance de mes frères m'entraineront à commettre des injustices, à piétiner le droit des faibles, alors, mon Dieu, faites en sorte que cette confiance disparaisse, que mes responsabilités disparaissent et que je m'en retourne à Yamoussoukro, mon petit village, à ma petite case.
Tant que l'on pense à une personne, elle ne meurt jamais, alors pense à lui et pas à ton chagrin.
Ceux qui répriment leur désir, sont ceux dont le désir est faible assez pour être réprimé; et l'élément restricteur ou raison usurpe alors la place du désir et gouverne celui dont la volonté abdique.
Parmi les libres monts trois ans elle grandit
À la pluie, au soleil. La Nature alors dit :
Ô belle fleur à peine éclose !
Cette enfant sera mienne et je l'adopterai,
Et je veux lui donner, modelée à son gré,
La noblesse dont je dispose.
Je veux être pour elle impulsion et loi,
Oui, je veux que vivant à toute heure avec moi,
Et vivant aux lieux où je règne,
Dans les cieux ou les monts, les champs ou les forêts,
Elle sente un Pouvoir au regard toujours près
Qui enflamme ou qui la contraigne.
Elle sera pareille au faon grisé d'air pur
Qui bondit dans les prés, ou pour boire l'azur
Vers le sommet des monts s'élance ;
Elle aura le parfum des fleurs qui s'exhale des bois,
Le doux parfum des fleurs sans pensée et sans voix,
Elle aura leur joyeux silence.Quand un homme s'arrête pour regarder les nuages, il voit défiler le temps au-dessus de lui, un vent qui enjambe. Alors il faut se remettre debout et le rattraper.
Dans une société de troc, celui qui n'aura ni compétence ni produit de son cerveau ou de ses mains à échanger contre les fruits du labeur des autres ne pourra subsister. Les parasites, alors identifiés, disparaîtront d'eux-mêmes.
L'incompréhensible c'est le miracle. Le monde insondable est celui des miracles et de la magie, alors que celui qu'on comprend n'est qu'étonnant, sans plus. Avancer dans le domaine de la connaissance, c'est s'éloigner du merveilleux.
Tous les jours, Dieu s'installe sur le trône de la justice pour juger le monde. Mais quand il s'aperçoit que le monde mériterait tout à fait d'être détruit, il abandonne alors ce trône pour aller s'asseoir sur celui de la Miséricorde.
La parole, me semble t-il, délivre de la peur de la mort, et si elle pouvait m'aider à la repousser, à lui échapper, je serais alors le porc-épic le plus heureux du monde.
Lorsque l'angoisse l'envahit, il se frappe la tête contre le mur jusqu'au sang. Il faut alors l'approcher avec douceur, l'inviter à se calmer en le serrant contre soi sans rompre le peu d'enveloppe psychique qui lui reste.
Avec du silence l'autre projette, le mutisme oblige celui d'en face à tendre l'oreille à son propre discours, il s'écoute et croit que c'est vous qui parlez, il vous trouve intelligent et drôle, il vous aime. Ou alors, il vous hait de lui donner à entendre son vide.
Supposez, en effet, qu’un homme se trouve incessamment menacé dans sa personne et dans ses moyens d’existence […] Alors même que cet homme serait obligé d’abandonner une partie très-considérable de son temps et de son travail à celui qui s’engagerait à lui garantir la possession paisible de sa personne et de ses biens, ne gagnerait-il pas encore à conclure le marché ? Toutefois, son intérêt évident n’en serait pas moins de se procurer la sécurité au plus bas prix possible.
Journal, 12 juin 1961 de Julien Green
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Exode, III, 14 de La Bible
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Le Colonel Chabert (1835) de Honoré de Balzac
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Dans son cœur sommeille la vengeance (2018) de Sonia Mabrouk
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Mille et une pensées (2005) de Philippe Bouvard
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L'espion qui venait du froid (1973) de John Le Carré
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Vous revoir (2005) de Marc Lévy
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Electre (413 av. J.-C.) de Euripide
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Six personnages en quête d'auteur (1921) de Luigi Pirandello
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Au-dessous du volcan (1947) de Malcolm Lowry
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Théâtre, je t'adore de Sacha Guitry
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De la production de la sécurité », Gustave de Molinari, Journal des économistes, vol. 22 nº 95, (1849) de Gustave de Molinari
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Le sphinx, Félix Houphouët-Boigny, éd. Sesame Edition,, 2006 de Félix Houphouët-Boigny
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Vous revoir (2005) de Marc Lévy
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Le mariage du Ciel et de l'Enfer (1793) de William Blake
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Les Ballades lyriques (1798) de William Wordsworth
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Le poids du papillon (2009) de Erri De Luca
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Et pourtant elle tourne (1998) de Maurice Denuzière
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Gel (1962) de Thomas Bernhard
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Le Talmud de Talmud
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Mémoires de porc-épic (2006) de Alain Mabanckou
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La Question humaine (2000) de François-Emmanuel Tirtiaux
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Tokyo c'est loin (2006) de Tania de Montaigne
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De la production de la sécurité », Gustave de Molinari, Journal des économistes, vol. 22 nº 95, (1849) de Gustave de Molinari
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