Citation d ou l on vient
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Une Sélection de 60 citations et proverbes sur le thème d ou l on vient.
60 citations
Un grand homme n’a qu’un souci : devenir le plus humain possible, — disons mieux : devenir banal. Devenir banal, Shakespeare, banal Gœthe, Molière, Balzac, Tolstoï… Et chose admirable, c’est ainsi qu’il devient le plus personnel. Tandis que celui qui fuit l’humanité pour lui-même, n’arrive qu’à devenir particulier, bizarre, défectueux… Dois-je citer le mot de l’Évangile ? Oui, car je ne pense pas le détourner de son sens : « Celui qui veut sauver sa vie (sa vie personnelle) la perdra ; mais qui veut la perdre la sauvera (ou pour traduire plus exactement le texte grec : « la rendra vraiment vivante »).
Les grands édifices, comme les grandes montagnes, sont l'ouvrage des siècles. Souvent l'art se transforme qu'ils pendent encore : pendent opera interrupta; ils se continuent paisiblement selon l'art transformé. L'art nouveau prend le monument où il le trouve, s'y incruste, se l'assimile, le développe à sa fantaisie et l'achève s'il peut. La chose s'accomplit sans trouble, sans effort, sans réaction, suivant une loi naturelle et tranquille. C'est une greffe qui survient, une sève qui circule, une végétation qui reprend. Certes, il y a matière à bien gros livres, et souvent histoire universelle de l'humanité, dans ces soudures successives de plusieurs arts à plusieurs hauteurs sur le même monument. L'homme, l'artiste, l'individu s'effacent sur ces grandes masses sans nom d'auteur; l'intelligence humaine s'y résume et s'y totalise. Le temps est l'architecte, le peuple est le maçon.
Pour savoir écrire, il faut savoir lire, et pour savoir lire il faut savoir vivre, alors le lecteur sera le lecteur qui vit d'une certaine façon, pas d'une autre, sinon il s'endormira ou il ne verra rien. Mais à supposer qu'il mène la vie, quelle qu'elle soit, qui convient pour se donner le regard de la lecture, alors, il est tout près. C'est un voile très mince. Il peut savoir. Il peut entrer.
Quand le goût des livres vient tôt, il tient à sa fonction de fenêtre sur d’autres horizons plus ou moins extraordinaires, mais s’y ajoute le statut d’objet du livre, de propriété facile à acquérir ; il est le premier bien que l’on peut avoir pour soi, égal aux biens des adultes, et non pas leur imitation, comme le sont les jouets.
Il est toujours difficile de dire ce qu'on perd et ce qu'on gagne à choisir t'elle voie plutôt que telle autre. Mais on ne revient pas en arrière à volonté. Ou alors on devient une de ces épaves qui, à force de ne jamais choisir, finissent par vieillir sans avoir vécu.
On ne va pas chercher la chance. C'est elle qui vient vous prendre. Et elle vous quitte quand bon lui semble, creusant dans son sillage un grand trou dans lequel peuvent se glisser des démons odieux.
Et d'où il vient, votre sang du Christ? C'est le pinard que les prêtres avalent pendant la messe? On m'a cloné à base de merlot ou de chardonnay?
La grandeur dépend du point de là où on vient. C'est exactement comme les Israéliens à qui on a demandé ce qu'ils pensaient du procès d'Eichmann l'autre jour : l'un d'entre eux a dit qu'il ne comprenait pas comment qui que ce soit, en quelque période que ce soit, avait pu penser que les nazis étaient de grands hommes. Pourtant il y a bien eu des gens pour le penser, hein? Et il y en a encore!
L’âme pacifiée reste la plus ferme. Vous serez fermes, face à cette étrange tyrannie. Vous ne servirez pas cette religion aussi vieille que les cultes les plus anciens. Elle tua Périclès (stratège, orateur, homme d’État athénien), alors qu’il ne voulait d’autre gloire que de n’avoir fait prendre le deuil à aucun citoyen, et elle n’a pas cessé, depuis ce meurtre illustre jusqu’au jour où elle vint s’abattre sur notre ville innocente, de décimer les hommes et d’exiger le sacrifice des enfants. Quand même cette religion nous viendrait du ciel, il faudrait dire alors que le ciel est injuste. Si vous en arrivez là, vous n’en tirerez cependant aucun orgueil. Il vous revient au contraire de songer souvent à votre ignorance, pour être assurés d’observer la mesure, seule maîtresse des fléaux.
Nul ne devient homme s'il n'a d'abord acquis une grande expérience de soi-même, où il se révèle à ses propres yeux, se forge un jugement sur son propre compte et ainsi détermine en quelque sorte sa destinée et sa vie.
Quand tout le monde dort, tu as l'impression que ceux qui veillent ramassent les rêves des autres. L'inspiration me vient souvent à l'aube. L'inconscient se met en mouvement malgré moi, il est bouillant. Il faut la grâce, l'instant magique. Il faut trouver les mots qui groovent: les mots, c'est aussi de la musique, ça chante ou ça ne chante pas, ça décolle ou ça plonge.
L'amour, c'est comme le vent.
Si l'on ne sait pas d'où il vient,
On ne sait pas non plus très bien
Ni ou il s'en ira, ni quand.On prend ce qui vient, au moment ou ça vient, on ne lutte ni contre la guerre, ni contre la vie, ni contre la mort, on fait semblant que le seul maître du monde, c'est le temps.
Une phrase d’Anaïs Nin me revient à l’esprit: « Une vie ordinaire ne m’attire pas. » (…) Elle mena une vie désordonnée et eut toujours plusieurs relations en même temps. Son mari était au courant et fermait les yeux. « La largesse ou l’étroitesse de notre existence dépend de l’audace que nous avons », disait-il. Mais pourquoi est-ce que nous recherchons, pourquoi est-ce que je recherche toujours « la largesse de l’existence » à l’extérieur ? Pourquoi suis-je persuadée que la vie devient étriquée lorsqu’elle prend un tour domestique, apprivoisé, et qu’elle est plus vaste lorsqu’elle est chaotique et tournée vers l’extérieur ? Est-ce réellement ainsi ?
Notre problème, ce n'est pas les étrangers, c'est qu'il y a overdose. C'est peut-être vrai qu'il n'y a pas plus d'étrangers qu'avant la guerre, mais ce n'est pas les mêmes et ça fait une différence. Il est certain que d'avoir des Espagnols, des Polonais et des Portugais travaillant chez nous, ça pose moins de problèmes que d'avoir des musulmans et des Noirs […] Comment voulez-vous que le travailleur français qui travaille avec sa femme et qui, ensemble, gagnent environ 15 000 francs, et qui voit sur le palier à côté de son HLM, entassée, une famille avec un père de famille, trois ou quatre épouses, et une vingtaine de gosses, et qui gagne 50 000 francs de prestations sociales, sans naturellement travailler ! [applaudissements nourris] si vous ajoutez à cela le bruit et l'odeur [rires nourris], eh bien le travailleur français sur le palier devient fou. Et il faut le comprendre, si vous y étiez, vous auriez la même réaction. Et ce n'est pas être raciste que de dire cela. Nous n'avons plus les moyens d'honorer le regroupement familial, et il faut enfin ouvrir le grand débat qui s'impose dans notre pays, qui est un vrai débat moral, pour savoir s'il est naturel que les étrangers puissent bénéficier, au même titre que les Français, d'une solidarité nationale à laquelle ils ne participent pas puisqu'ils ne paient pas d'impôt ! [...] Il faut que ceux qui nous gouvernent prennent conscience qu'il y a un problème de l'immigration, et que si l'on ne le traite pas et, les socialistes étant ce qu'ils sont, ils ne le traiteront que sous la pression de l'opinion publique les choses empireront au profit de ceux qui sont les plus extrémistes.
Pour savoir où on en est avec quelqu'un, il suffit d'écouter de la musique ensemble. Le moindre désaccord nerveux vient faire tâche dans les intervalles, mais si le son passe sans rencontrer personne, c'est le signe que tout va bien.
Le soir, enfouie sous les couvertures, j’entends mon père hurler, traiter ma mère de « salope » ou de « pute », sans en comprendre la raison. À la moindre occasion, pour un détail, un regard, un simple mot « déplacé », sa jalousie explose. D’un instant à l’autre, les murs se mettent à trembler, la vaisselle vole, les portes claquent. D’une maniaquerie obsessionnelle, il ne tolère pas qu’on déplace un objet sans son accord. Un jour, il manque d’étrangler ma mère parce qu’elle a renversé un verre de vin sur une nappe blanche qu’il vient de lui offrir. Bientôt, la fréquence de ces scènes s’accélère. C’est une machine lancée dans une course folle, personne ne peut plus l’arrêter. Mes parents passent désormais des heures entières à s’envoyer à la figure les pires insultes. Jusqu’à l’heure tardive où ma mère vient se réfugier dans ma chambre pour y sangloter en silence, blottie contre moi, dans mon étroit lit d’enfant, avant de rejoindre, seule, le lit conjugal. Le lendemain, mon père dort une fois encore sur le canapé du salon.
Ah, le pouvoir ! L'homme qui le détient est nanti d'un sabre à double tranchant. S'il le baisse plus qu'il ne faut, il se coupe le tendon. S'il le lève plus que de raison, il se fend le crâne et devient fou.
Il vient un moment où, après avoir perdu les illusions sur les autres, on les perd sur soi-même.
La mort ne prend pas de temps de pause. Elle ne connaît ni les grandes vacances, ni les jours fériés, ni les rendez-vous chez le dentiste. Les heures creuses, les périodes de grands départs, l'autoroute du Soleil, les trente-cinq heures, les congés payés, les fêtes de fin d'année, le bonheur, la jeunesse, l'insouciance, le beau temps, tout cela, elle s'en fiche. Elle est là, partout, tout le temps. Personne n'y pense vraiment, sinon on devient fou.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Il faut être heureux pour pouvoir rendre heureux. Il faut se faire plaisir pour pouvoir contribuer au mieux-être des autres. Et, même si l'on ne rend heureux que soi-même, chaque miette de bonheur qui advient fait du monde un lieu plus heureux, que cette miette soit à vous ou à autrui.
Regarde son cou, cette nuque énorme, engoncée dans les épaules: quand il tourne la tête, tout le reste vient avec.
Le lien fondamental entre le crâne et la charpente posturale est, on s'en souvient, le basion, bord antérieur du trou occipital.
Quand l'idée vient, il faut s'y mettre tout de suite, sinon elle moisit et je n'ai plus envie. Quand je suis sur un album, je ne pense plus qu'à lui. Je me lève, je prends mon petit déjeuner et je me mets à ma table. J'arrête quand je suis moulue. Ou alors je travaille jusque vers 8 ou 9 heures du soir, avec un verre. J'aime bien. Les gens ne pensent pas que la bande dessinée, c'est du boulot. Mais un album me prend environ un an et demi. Davantage, s'il y a des choses techniques à dessiner. Comme des Vélib' ou des voitures. Je déteste ça !
De l'influence en littérature (1900) de André Gide
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Notre-Dame de Paris (1831) de Victor Hugo
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Grand beau temps. Aphorismes et pensées de Philippe Sollers
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Une enfance de rêve (2014) de Catherine Millet
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L'amour triste (1950) de Bernard Pingaud
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La Chambre des morts (2005) de Franck Thilliez
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L'Evangile de Jimmy (2004) de Didier Van Cauwelaert
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L'autre moitié du soleil (2006) de Chimamanda Ngozi Adichie
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Exhortation aux médecins de la peste (1941)
de Albert Camus
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Pensées de Giacomo, comte Leopardi
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Interview Libération par Guillaume Launay et Michel Becquembois — 18 février 2010 de Jacques Higelin
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Dis-moi, dis-lui de Joe Dassin
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Plus sur cette citation >> Citation de Joe Dassin (n° 72015) - Ajouter à mon carnet de citations
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Un long dimanche de fiançailles de Jean-Baptiste Rossi, dit Sébastien Japrisot
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Lait noir (2009) de Elif Shafak
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Jacques Chirac, 19 juin 1991, Orléans, dans Le Monde, paru 21 juin 1991 : discours tenu par Jacques Chirac alors président du Rassemblement pour la République (RPR, droite) et maire de Paris au cours d'un dîner-débat du RPR, de Jacques Chirac
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Passion fixe (2000) de Philippe Sollers
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Une hyène à jeun de Massa Makan Diabaté
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Cahiers, 1957-1972 (1997) de Emil Cioran
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Changer l'eau des fleurs (2019) de Valérie Perrin
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Amours en fuite (2001) de Bernhard Schlink
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Les Thibault de Roger Martin du Gard
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Le Geste et la Parole (1964-1965) de André Leroi-Gourhan
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Dans l'hebdomadaire l'Express n° 3011, 19 mars 2009. de Claire Bretécher
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