Citation est le lait des
Découvrez une citation est le lait des - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase est le lait des issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 120 citations et proverbes sur le thème est le lait des.
120 citations
L'homme moderne est cet être revenu de tout, fier de ne croire à rien d'autre qu'à son propre pouvoir. Une confuse volonté de puissance le pousse à obéir à ses seuls désirs, à dominer la nature à sa guise, à ne reconnaître aucune référence qui déborderait sa vision unidimensionnelle et close. Il s'attribue des valeurs définies par lui-même. Au fond de lui, ayant coupé tous les liens qui le relient à une mémoire et à une transcendance, il est terriblement angoissé, parce que terriblement seul au sein de l'univers vivant. Il se complaît dans une espèce de relativisme qui dégénère souvent en cynisme ou en nihilisme.
Sans doute est-il nécessaire que je m'explique, moi Pierre Pachet, sur le texte étrange qu'on va lire et pour lequel j'ai tenu la plume. Quel est le sens de ce projet, et comment l'ai-je réalisé ? Dans l'enfance, je m'ennuyais beaucoup (…) Seule ma mère avait la sympathie et la finesse nécessaires pour me comprendre et m'aider(…) Mon père, lui, n'émergeait de son travail que pour rechercher le repos, en « s'allongeant » ou en partant se promener. Mais l'ennui, chez moi, ne voulait pas des promenades.
C'est drôle comme la fatalité se plaît à choisir pour la représenter des visages indignes ou médiocres.
Le masculin couche avec l'Histoire. Mais il est d'autres récits. Des récits souterrains transmis dans le secret des femmes, des contes enfouis dans l'oreille des filles, sucés avec le lait, des paroles bues aux lèvres des mères.
Le vent d'est effilait les fumées des toits et des herbes brûlées.
Nous sommes tous esclaves de nos affections, esclaves des préjugés de ceux que nous aimons ; nous devons aussi gagner notre vie, et par cela devenir un rouage de machine. Le plus pénible, ce sont les concessions qu'il faut faire aux préjugés de la société qui nous entoure ; on en fait plus ou moins selon qu'on se sent plus faible ou plus fort. Si l'on n'en fait pas assez, on est écrasé. Si l'on en fait trop, on est vil et l'on prend le dégoût de soi-même. Me voilà loin des principes que j'avais il y a dix ans. Je croyais à cette époque qu'il fallait être excessif en tout, et ne faire aucune concession au milieu qui nous entoure. Je croyais qu'il fallait exagérer ses défauts comme ses qualités.
Mai 68 a d'abord eu pour effet d'apprendre aux jeunes qu'ils comptaient dans la société, qu'ils avaient un véritable pouvoir. Et, deuxièmement, d'apprendre aux vieux qu'il fallait compter avec les jeunes. Avant, on se contentait de les punir. Maintenant, on n'ose plus. Un élève de classe terminale est déjà un citoyen à part entière et comme tel il a des droits. Du coup, le professeur, le censeur, le recteur... n'en ont plus autant.
L’amour de leurs parents, l’amour de leurs chiens et de leurs chats, l’amour de leurs jouets, mais surtout l’amour qu’ils avaient les uns pour les autres, le désir et le plaisir. Et même si le chant que j’entendais parlait de guerre, des hauts faits héroïques d’une génération entière de jeunes Latino-Américains sacrifiés, j’ai su que par-dessus tout ce chant parlait de la bravoure et des miroirs, du désir et du plaisir. Et ce chant, c’est notre amulette.
Ce qui me dépitait surtout c'est que, des six Espagnoles ou gitanes que cette fête rassemblait, celle qui m'avait «jeté le mouchoir» était de beaucoup la moins belle.
À mesure que je retranscrirai plus tard ces paroles par écrit, je serai frappée par la faculté de la conversation à se séparer en embranchements multiples, revenir en arrière, changer de cap. Cet éclatement en fait presque l'exact contraire de la fiction où l'on tend, même en l'absence de structure ou de plan, vers un fil narratif alors que la parole ne cesse de créer des déviations, des digressions qu'il est, justement, si difficile de créer de toutes pièces. Quand la conversation semblait fluide, logique, l'écrit révèle son désordre et il ne reste sur le papier, comme d'un lieu sur une carte, que des ramifications qu'il faudra, par la suite, réinterpréter pour retrouver le fil de l'histoire.
La noblesse, c'est aussi admettre ce qui va de soi. Il ne fallait pas se cacher que le monde s'était préparé à mon existence depuis des milliards d'années.
Le Grec est raisonneur encore plus que métaphysicien ou savant; il se plaît aux distinctions délicates, aux analyses subtiles; il raffine, il tisse volontiers des toiles d'araignées.
Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.J’étais convaincue que le féminisme allait faire partie intégrante du socialisme. Comme un courant de pensée fort, dynamique, moderne, de gauche. Mais force est de constater que Mitterrand disparu, les vieilles habitudes ont repris le dessus. La greffe n’a pas pris. Il y a eu rejet.
Peu à peu, je me suis dit que pour vivre, pour m'accepter, pour justifier le train-train sans histoire qu'est le mien, il fallait que je mette mon énergie au service des déhérités.
Voss regardait son café d'un air amer et triste. « Doktor Aue. Je vous ai toujours pris pour un homme intelligent et sensé. Même si tout ce que vous me dites est vrai, expliquez moi, s'il vous plait, ce que vous entendez par race. Parce que pour moi, c'est un concept scientifiquement indéfinissable et donc sans valeur théorique. » […] « Cette philosophie de vétérinaires, comme disait Herder, a volé tous ses concepts à la linguistique, la seule des sciences de l'homme jusqu'à ce jour qui ait une base théorique scientifiquement validée. Comprenez-vous »
Ah non mais attention quand je parle de l'enveloppe tu vois, je parle pas l'enveloppe que tu envoies par la poste. Je parle de l'enveloppe que tu vois. Celle qui enveloppe tout. Les paquets de biscuits, les sachets de cocaïne, ton esprit, etc ... Non, l'enveloppe c'est vraiment global.. Mais uniquement liée au spirit généralement. Oui alors un biscuit tu me diras ça n'a pas de spirit, c'est juste un biscuit. Mais avant, c'était du lait, des oeufs. Et dans les oeufs, il y a la vie potentielle... Le potential life dans une coquille, une enveloppe ... qui elle même était contenu dans la poule . eh oui... Non vraiment tout ça c'est une question d'awareness ... et puis même si le biscuit est physiquement différent d'une bouteille de lait, d'une poule ... il subsiste le spirit de la bouteille et de la poule dans le biscuit ... et ça toi tu le ressens quand tu le manges. Et que parfois c'est bon parfois c'est pas bon. C'est pour ça que j'ai fais des films avec des réplicants. Pour montrer que parfois tout se ressemble physiquement (l'enveloppe), mais que le spirit est totally différent ... il y a le mec gentil, le mec pourri... et tout ça c'est moi. Et oui ... Et en plus, c'est moi ! Car moi je suis acteur ! Alors quand je joue un rôle, il y a le personnage, son répliquant ..et moi. Donc, on est deux plus un, et c'est moi. Donc un. Donc quand il y a un gentil, un méchant, il y a aussi moi avec mon caractère ... quand tu fais le calcul tu obtiens ce que je suis. Alors après il faut intégrer tout ça dans LES environnements et alors ça se complexifie. Car quand je suis dans ma Mercedes je suis un violent roader ! Ou un dead drunk driver ! Mais sur le tournage je suis parfois répliquant. Alors quand je remonte dans ma Mercedes je ne suis plus un répliquant. Il ne faut pas se tromper .... Tu comprends ?
La Révolution, qui semblait, n'est-ce pas, devoir le protéger, s'est montrée pour lui le plus cruel des régimes.
Assoupie dans le brouillard opaque qui sévissait depuis deux jours, la forêt perdait ses dernières feuilles. déjà, un mois plus tôt, au lendemain des premières gelées d'octobre, peupliers, charmes et frênes avaient pris leur silhouette d'hiver, grands squelettes grisâtres et griffus entre les bras desquels feulait le vent d'est comme un chat apeuré. Et maintenant pleuraient les chênes centenaires en de longs sanglots de feuilles brunes qui ruisselaient dans les gaulis avant de se noyer dans la houle rousse des fougères pétrifiées.
L'essence de la création, c'est d'essayer des choses, encore et toujours, sans forcément aller au bout ou vouloir en harder une trace. C'est pareil dans tous les arts. Soulages a brûlé des centaines de toiles dont il n'était pas satisfait, Bonnard allait retoucher ses propres tableaux dans les musées, Soutine rachetait ses toiles à ses marchands pour les retravailler. C'est l'auteur qui est maître de son oeuvre, pas l'inverse.
Et tous les autres dont les visages plus lointains sont là dans l'ombre. Le temps est venu où les répertoires sont pleins d'adresses dont on ne poussera plus jamais la porte, de numéros de téléphone qu'on ne composera plus jamais - mais les rayer serait une profanation. Ces inscriptions sont comme les fantômes qui marquent dans les bibliothèques la place des livres absents. Cela fait des années que ça a commencé, ce lent effacement du monde, et la disparition des proches qui au début me semblait une effraction scandaleuse du néant dans la vie a pris désormais, tout en restant aussi choquante, la forme de l'inéluctable et presque de l'habituel. Il me semble que je dois en parler, même si je me suis promis d'exclure autant que possible l'intime de ce récit, ou de ne l'évoquer que lorsque c'est le monde extérieur qui le suscite, car cette attrition du territoire de l'amitié est une des raisons du mouvement qui m'emporte loin sur les routes du vaste monde : je m'éloigne d'un monde peu à peu, opiniâtrement déserté. Mes amis morts, dont l'absence me pèse, me font de plus en plus léger, une plume prête à s'envoler, un "bateau frêle comme un papillon de mai.". Ce livre est un livre sur le monde et sur l'éloignement du monde
Il voulait remonter à la surface des flots et harponner ces monstres, surtout certains squales émissoles dont la gueule est pavée de dents disposées comme une mosaïque.
Quand Gorbatchev est arrivé au pouvoir, nous étions tous fous de joie. On vivait dans des rêves, des illusions. On vidait nos cœurs dans nos cuisines. On voulait une nouvelle Russie… Au bout de vingt ans, on a enfin compris : d’où aurait-elle pu sortir cette Russie ? Elle n’existait pas, et elle n’existe toujours pas. Quelqu’un a fait remarquer très justement qu’en cinq ans, tout peut changer en Russie et en deux cent ans, rien du tout.
L’âme pacifiée reste la plus ferme. Vous serez fermes, face à cette étrange tyrannie. Vous ne servirez pas cette religion aussi vieille que les cultes les plus anciens. Elle tua Périclès (stratège, orateur, homme d’État athénien), alors qu’il ne voulait d’autre gloire que de n’avoir fait prendre le deuil à aucun citoyen, et elle n’a pas cessé, depuis ce meurtre illustre jusqu’au jour où elle vint s’abattre sur notre ville innocente, de décimer les hommes et d’exiger le sacrifice des enfants. Quand même cette religion nous viendrait du ciel, il faudrait dire alors que le ciel est injuste. Si vous en arrivez là, vous n’en tirerez cependant aucun orgueil. Il vous revient au contraire de songer souvent à votre ignorance, pour être assurés d’observer la mesure, seule maîtresse des fléaux.
Le caprice des enfants n'est jamais l'ouvrage de la nature, mais d'une mauvaise discipline: c'est qu'ils ont obéi ou commandé; et j'ai dit cent fois qu'il ne fallait ni l'un ni l'autre.
De l'âme (2016) de François Cheng
Références de François Cheng - Biographie de François Cheng
Plus sur cette citation >> Citation de François Cheng (n° 166930) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Autobiographie de mon père (1987) de Pierre Pachet
Références de Pierre Pachet - Biographie de Pierre Pachet
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Pachet (n° 162721) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Bonjour tristesse (1954) de Françoise Sagan
Références de Françoise Sagan - Biographie de Françoise Sagan
Plus sur cette citation >> Citation de Françoise Sagan (n° 15216) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Coeur cousu (2007) de Carole Martinez
Références de Carole Martinez - Biographie de Carole Martinez
Plus sur cette citation >> Citation de Carole Martinez (n° 109408) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Souffrances et bonheur du chrétien (1931) de François Mauriac
Références de François Mauriac - Biographie de François Mauriac
Plus sur cette citation >> Citation de François Mauriac (n° 80645) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Pierre Curie par Marie Curie de Pierre Curie
Références de Pierre Curie - Biographie de Pierre Curie
Plus sur cette citation >> Citation de Pierre Curie (n° 153051) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Conversations avec Simenon de Francis Lacassin (2004) de Georges Simenon
Références de Georges Simenon - Biographie de Georges Simenon
Plus sur cette citation >> Citation de Georges Simenon (n° 160716) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Amuleto (2008) de Roberto Bolano
Références de Roberto Bolano - Biographie de Roberto Bolano
Plus sur cette citation >> Citation de Roberto Bolano (n° 165246) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Journal 1889-1939, 1910 de André Gide
Références de André Gide - Biographie de André Gide
Plus sur cette citation >> Citation de André Gide (n° 74039) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Une île, une forteresse,Terezín (2015) de Hélène Gaudy
Références de Hélène Gaudy - Biographie de Hélène Gaudy
Plus sur cette citation >> Citation de Hélène Gaudy (n° 164347) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Sabotage amoureux (1993) de Amélie Nothomb
Références de Amélie Nothomb - Biographie de Amélie Nothomb
Plus sur cette citation >> Citation de Amélie Nothomb (n° 101483) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Philosophie de l'art (1865), II de Hippolyte Taine
Références de Hippolyte Taine - Biographie de Hippolyte Taine
Plus sur cette citation >> Citation de Hippolyte Taine (n° 98328) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Phèdre (1677), II, 5 de Jean Racine
Références de Jean Racine - Biographie de Jean Racine
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Racine (n° 165944) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Yvette Roudy, les femmes sont une force, Entretien avec Delphine Gardey, Jacqueline Laufer (2002) de Yvette Roudy
Références de Yvette Roudy - Biographie de Yvette Roudy
Plus sur cette citation >> Citation de Yvette Roudy (n° 172865) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Bonnes intentions (1975) de Anatole Bisk, dit Alain Bosquet
Références de Anatole Bisk, dit Alain Bosquet - Biographie de Anatole Bisk, dit Alain Bosquet
Plus sur cette citation >> Citation de Anatole Bisk, dit Alain Bosquet (n° 74363) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Bienveillantes (2006) de Jonathan Littell
Références de Jonathan Littell - Biographie de Jonathan Littell
Plus sur cette citation >> Citation de Jonathan Littell (n° 157352) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Citations cultes de JCVD de Jean-Claude Van Damme
Références de Jean-Claude Van Damme - Biographie de Jean-Claude Van Damme
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Claude Van Damme (n° 159724) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Là-bas (1891) de Joris-Karl Huysmans
Références de Joris-Karl Huysmans - Biographie de Joris-Karl Huysmans
Plus sur cette citation >> Citation de Joris-Karl Huysmans (n° 72907) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Des grives aux loups (1979) de Claude Michelet
Références de Claude Michelet - Biographie de Claude Michelet
Plus sur cette citation >> Citation de Claude Michelet (n° 160238) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La vie est un roman (2021) de Guillaume Musso
Références de Guillaume Musso - Biographie de Guillaume Musso
Plus sur cette citation >> Citation de Guillaume Musso (n° 172970) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Extérieur monde (2019) de Olivier Rolin
Références de Olivier Rolin - Biographie de Olivier Rolin
Plus sur cette citation >> Citation de Olivier Rolin (n° 164542) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Vingt mille lieues sous les mers (1869) de Jules Verne
Références de Jules Verne - Biographie de Jules Verne
Plus sur cette citation >> Citation de Jules Verne (n° 81044) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Fin de l'homme rouge (2013) de Svetlana Alexievitch
Références de Svetlana Alexievitch - Biographie de Svetlana Alexievitch
Plus sur cette citation >> Citation de Svetlana Alexievitch (n° 165353) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Exhortation aux médecins de la peste (1941)
de Albert Camus
Références de Albert Camus - Biographie de Albert Camus
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Camus (n° 168423) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Emile ou De l'éducation (1762), II de Jean-Jacques Rousseau
Références de Jean-Jacques Rousseau - Biographie de Jean-Jacques Rousseau
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Jacques Rousseau (n° 70182) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur est le lait des
Toutes les citations sur est le lait des Citations est le lait des Citation est le lait des et Proverbe est le lait des Citation sur est Citations courtes est
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
