Citation il est a moi
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Une Sélection de 620 citations et proverbes sur le thème il est a moi.
620 citations
Si je pouvais lui parler, je dirais à Phèdre qu’il est plus douloureux encore d’aimer celui que je possède déjà. Moi, je n’ai aucune raison d’être triste. Si je devais expliquer à un passant pourquoi je pleure, qu’est-ce que je pourrais lui dire ? Que je suis dévastée parce que mon mari pense que je suis une clémentine ? Que je m’effondre parce qu’il a pris des lasagnes ? Que je suis en pleurs parce qu’il a laissé un pourboire important ? Au fond, je sais que mes larmes n’ont aucune raison d’être. Celles de Phèdre sont limpides comme du cristal, les miennes sont monstrueuses
Ciel! rien de plus cruel peut-il être inventé?
Et jamais coeur fut-il de la sorte traité?
Quoi? d'un juste courroux je suis ému contre elle,
C'est moi qui me viens plaindre, et c'est moi qu'on querelle!Et puis, il me fallait plus qu'une seule victime. C'est vrai, ça, une seule victime, ça rime à quoi ? Moi, il m'en fallait une pour chaque blessure, chaque sourire narquois, que ce soit du bon dieu ou du voisin de palier, de qui vous voulez.
Je me suis battu pour imposer “Shoah” sans savoir que je procédais ainsi à un acte radical de nomination, puisque presque aussitôt le titre du film est devenu, en de nombreuses langues, le nom même de l'événement dans son absolue singularité. Le film a été d'emblée éponyme, on s'est mis partout à dire “la Shoah”. L'identification entre le film et ce qu'il représente va si loin que des téméraires parlent de moi comme de “l'auteur de la Shoah”, ce à quoi je ne puis que répondre : “Non, moi, c'est ‘Shoah', la Shoah, c'est Hitler.”
Le travail est notre perte, mais la seule façon de na pas périr passe également par le travail. (Contestable philosophie, certainement. Il serait plus sûr de répondre : ne m'apprends pas à périr à ta façon, laisse moi périr à la mienne. Seulement, voilà, de toute façon ils ne vous laisseront pas...)
Il faut se donner un but dans la vie et vivre en conséquence dit-on. Sauf que, parfois, c'est seulement après avoir vécu que votre vie se révèle pourvue d'un but – et sans doute un but auquel vous n'aviez jamais pensé. Moi, j'avais atteint le mien et je me retrouvais désormais désœuvré et à la dérive.
Plus que la réalité de son bonheur, c'est la conscience de son bonheur qui ne fait pour moi aucun doute, celle-là même dont la nécessité figure dans la citation recopiée dans l'agenda rouge : Il n'y a de bonheur réel que celui dont on se rend compte quand on en jouit - Alexandre Dumas, fils
Alors, dans Besançon, vieille ville espagnole,
Jeté comme la graine au gré de l’air qui vole,
Naquit d’un sang breton et lorrain à la fois
Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ;
Si débile, qu’il fut, ainsi qu’une chimère,
Abandonné de tous, excepté de sa mère,
Et que son cou ployé comme un frêle roseau
Fit faire en même temps sa bière et son berceau.
Cet enfant que la vie effaçait de son livre,
Et qui n’avait pas même un lendemain à vivre,
C’est moi.On détermine la vraie valeur d'un homme, en notant, en premier lieu, à quel degré et dans quel sens il est arrivé à se libérer du Moi.
Quand à moi, je prétends que s'il y a quelque chose de plus méprisable que l'homme, et de plus abject, c'est beaucoup d'hommes.
Malheureusement, la passion mauvaise dominait en moi, et je ne cherchai qu'un moyen de torturer cette pauvre créature. Oh ! l'homme est bien petit et bien vil quand l'une de ses étroites passions est blessée.
Ah ! non ! c’est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire… Oh ! Dieu ! … bien des choses en somme…
En variant le ton, – par exemple, tenez :
Agressif : « Moi, monsieur, si j’avais un tel nez,
Il faudrait sur-le-champ que je me l’amputasse ! »
Amical : « Mais il doit tremper dans votre tasse
Pour boire, faites-vous fabriquer un hanap ! »
Descriptif : « C’est un roc ! … c’est un pic ! … c’est un cap !
Que dis-je, c’est un cap ? … C’est une péninsule ! »
Curieux : « De quoi sert cette oblongue capsule ?
D’écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ? »
Gracieux : « Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes ? »
Truculent : « Ça, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu’un voisin ne crie au feu de cheminée ? »
Prévenant : « Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol ! »
Tendre : « Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane ! »
Pédant : « L’animal seul, monsieur, qu’Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d’os ! »
Cavalier : « Quoi, l’ami, ce croc est à la mode ?
Pour pendre son chapeau, c’est vraiment très commode ! »
Emphatique : « Aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral ! »
Dramatique : « C’est la Mer Rouge quand il saigne ! »
Admiratif : « Pour un parfumeur, quelle enseigne ! »
Lyrique : « Est-ce une conque, êtes-vous un triton ? »
Naïf : « Ce monument, quand le visite-t-on ? »
Respectueux : « Souffrez, monsieur, qu’on vous salue,
C’est là ce qui s’appelle avoir pignon sur rue ! »
Campagnard : « Hé, ardé ! C’est-y un nez ? Nanain !
C’est queuqu’navet géant ou ben queuqu’melon nain ! »
Militaire : « Pointez contre cavalerie ! »
Pratique : « Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l’harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
– Voilà ce qu’à peu près, mon cher, vous m’auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d’esprit
Mais d’esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n’en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n’avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d’ailleurs, l’invention qu’il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n’en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d’une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu’un autre me les serve.Ce fut un jour mémorable pour moi, car il apporta de grands changements en moi mais c'est la même chose pour chacun. Figurez-vous un certain jour retranché dans votre vie, et pensez combien elle eût été différente.
Il y a l'amour, Bardamu !
– Arthur, l'amour c'est l'infini mis à la portée des caniches et j'ai ma dignité moi ! que je lui réponds.
– Parlons-en de toi! T'es un anarchiste et puis voilà tout !C'est un frère d'âme que je veux, un frère d'arme. Fragile et dur, inquiet et sûr, bienveillant et sauvage. Un fils de taulard, un balafré bien marqué. C'est un mort de faim que j'attends, un dalleux jusqu'à ce qu'il graille. Moi je veux un garçon qui aura été obligé de prendre pour avoir, Jafar contraint, Jafar forcé, Jafar teigneux qui revient de loin et pue la terre où la cave.
C'est dans un état bien particulier que j'écris ces mots, puisque cette nuit je ne serai plus. Je me trouve sans le sou, au terme de mon supplice de drogué qui ne supporte plus la vie sans sa dose, et je ne puis endurer plus longtemps ma torture. Je vais sauter par la fenêtre, me jeter dans cette rue sordide. Il ne faudrait pourtant pas croire que la morphine, dont je suis l'esclave, ait fait de moi un être faible ou dégénéré. Lorsque vous aurez lu ces quelques pages hâtivement griffonnées, vous ne vous étonnerez pas – encore que vous ne puissiez jamais le comprendre parfaitement – que je me trouve devant cette unique alternative : l'oubli ou la mort.
Le temps n’appartient à personne, mais surtout pas à moi. Depuis des années, je cours derrière lui sans parvenir à le saisir. Le travail, la cuisine, le ménage, les courses, les papiers, les enfants. Les minutes pour moi ont la saveur des choses rares. Quand j’étais petite, je n’avais que deux désirs : devenir grande et ne jamais avoir à me doucher. Aujourd’hui, je donnerais beaucoup pour faire une pause dans ma vie d’adulte, et une longue douche chaude est devenue un luxe ultime.
Je refuse de donner des conseils. Le conseil, c'est forcément un mensonge : ce qui m'est arrivé à moi ne serait pas arrivé à quelqu'un d'autre. Il faut travailler. Ça viendra ou ça viendra pas. Je ne vais pas dire : « Écrivez en mi bémol. » Je n'ai jamais eu le sentiment d'être un professeur, je n'ai jamais donné de leçon. Mais des leçons, j'en ai pris, avec plein de gens
C’est comme s’il avait deux âmes en lui. Une que je connais, moi, celle d’un ange protecteur, et celle dont les autres ont peur, un mafieux froid et impitoyable qui ne craint rien, même pas la mort.
Des miroirs, ma chère enfant. De simples miroirs concaves en cuivre, réfléchissant en l'amplifiant l'ardeur du soleil de midi. L'idée n'est pas de moi, d'ailleurs. Archimède avait déjà utilisé ce moyen mille ans avant nous pour incendier les galères romaines qui assiégeaient Syracuse.
Le médecin n’a pas de raisons de revoir son patient une fois qu’il l’a guéri. C’est pareil pour moi : je rentre dans la vie de mes clients parce qu’ils m’ont choisi professionnellement, j’essaye de remettre les choses en état, de défendre leur vérité, puis je pars comme je suis venu. J’aime cette idée : rentrer dans la vie d’un type, lui rendre sa liberté, puis partir parce que tu n’as rien à y faire, dans sa liberté. C’est tellement beau.
Rien de ce qu'on peut posséder n'est pur. La pureté est pauvreté, dépossession, abandon. Elle commence où s'arrête le moi, où il ne va pas, où il se perd.
Phèdre : Oui, prince, je languis, je brûle pour Thésée :
Je l’aime, non point tel que l’ont vu les enfers,
Volage adorateur de mille objets divers,
Qui va du dieu des morts déshonorer la couche ;
Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche,
Charmant, jeune, traînant tous les cœurs après soi,
Tel qu’on dépeint nos dieux, ou tel que je vous vois.
Il avait votre port, vos yeux, votre langage ;
Cette noble pudeur colorait son visage,
Lorsque de notre Crète il traversa les flots,
Digne sujet des vœux des filles de Minos.
Que faisiez-vous alors ? pourquoi, sans Hippolyte,
Des héros de la Grèce assembla-t-il l’élite ?
Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors
Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords ?
Par vous aurait péri le monstre de la Crète,
Malgré tous les détours de sa vaste retraite :
Pour en développer l’embarras incertain,
Ma sœur du fil fatal eût armé votre main.
Mais non : dans ce dessein je l’aurais devancée ;
L’amour m’en eût d’abord inspiré la pensée.
C’est moi, prince, c’est moi, dont l’utile secours
Vous eût du labyrinthe enseigné les détours.
Que de soins m’eût coûtés cette tête charmante !
Un fil n’eût point assez rassuré votre amante :
Compagne du péril qu’il vous fallait chercher,
Moi-même devant vous j’aurais voulu marcher ;
Et Phèdre au labyrinthe avec vous descendue
Se serait avec vous retrouvée ou perdue.Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Au début de chaque atelier, je demande aux stagiaires de se poser et de répondre publiquement à la question " Qui je suis ? ". C'est le point de départ de toute création. Car il ne s'agit pas pour moi de leur faire simuler des personnages, mais de leur permettre, au contraire, de les assumer à travers leur propre langage, puis de se hisser par le travail, la lecture, l'écriture, jusqu'à la force de la poésie. Le premier jour, je dis toujours : " Au commencement était le verbe, et le verbe était Dieu. Voulez-vous être Dieu avec moi ? "

Maud Ventura
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