Citation ils l ont fait
Découvrez une citation ils l ont fait - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase ils l ont fait issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 150 citations et proverbes sur le thème ils l ont fait.
150 citations
Les philosophes, et Sénèque surtout, n'ont point ôté les crimes par leurs préceptes: ils n'ont fait que les employer au bâtiment de l'orgueil.
Il faut reconnaître que les hommes de l'aristocratie française ont presque toujours su dépenser l'argent très élégamment: ils n'ont fait de bassesses que pour en avoir.
Entre penser et dire, il y a un monde de différences (et ils sont près!). Une personne s'appelle "dieu" et l'autre s'appelle "être humain". Et on est tous les deux la même chose au même niveau... mais "dieu" voudrait qu'on pense la vérité sur nous-même et pas ce qu'on dit... Tu comprends ce que je veux dire? It's a paradigme, un "paradigme" comme on dit en français, je crois... et bien je n'ai jamais fait une interview comme ça! Je ne sais pas pourquoi.
[Les Musulmanes] ne veulent pas de liberté ! Je vais vous dire : récemment, j'ai discuté avec quelqu'un, une personne dont je tairai le nom parce que c'est vraiment gênant… Et cette personne me disait : « Nous voulons libérer les femmes du vous-savez-quoi. » D'abord, j'ai répondu : « Oui, ça paraît logique. C'est sympa. » Et puis, j'ai vu des entretiens de femmes. Elles disaient : « Mais nous ne voulons pas la retirer, on la porte depuis des millénaires. Pourquoi quelqu'un nous y forcerait-il ? » Elles le veulent ! Mince alors ! Pourquoi va-t-on s'embourber dans ce débat ? En fait, c'est même pratique : elles n'ont même plus à mettre de maquillage. Regardez comme elles sont belles… Est-ce que ce ne serait pas plus simple ? Je vous le dis : si j'étais une femme, hop ! « Et voilà chéri, je suis prête ! » Sérieusement… La raison pour laquelle je ne peux pas dire le nom de la personne, c'est parce que c'est un républicain. Mais les démocrates n'en pensent pas moins ! Ils veulent de la démocratie. Mais on ne peut plus avoir de démocratie...
La zone grise, c'est une zone inventée par les hommes pour se justifier, dire : les choses n'étaient pas claires, j'ai pensé qu'elle voulait, je me suis trompé, et passer à autre chose sans avoir à se sentir coupable ni rendre des comptes pour le mal qu'ils ont fait. Moi j'étais claire ; je ne voulais pas. S'il ne s'était rien passé, pourquoi est-ce que j'aurais été porter plainte ?
Ce qui fait la dureté d'un milieu, ce sont les manoeuvres de ceux qui le dirigent. Vous voyez par exemple, ce matin, en acceptant cet entretien, j'aurais dû me méfier et écouter les conseils de Beckett. Vous savez ce qu'il a écrit dans Molloy ? C'est le matin qu'il faut se cacher. Les gens se réveillent, frais et dispos, assoiffés d'ordre, de beauté et de justice, exigeant la contrepartie. Oui, c'est le passage dangereux.
Au reste, le fourrage qu'ils ont fait est peu de chose, et le discours n'y perdra rien ou presque rien; il n'y a pas en tout la valeur de six lignes effacées.
La relation des Picabia à leurs enfants est un mystère. Il n’y a pas de maltraitances physiques ni intentionnelles, mais plutôt une indifférence tranquille. Les enfants sont là. Constat. Ils sont, bon an mal an, pris en charge par une armée de gouvernantes successives à chignon tiré. Ce sont de gentils fardeaux, des bagages trop lourds, incommodes pour qui aime voyager léger – et qu’on fait porter par des employés, en échange d’un billet.
En fait, l'art n'est d'aucune utilité pour personne; les gens ne peuvent pas le manger, il ne les habillera pas, pas plus qu'il ne les abritera - et, s'ils sont malades, il ne les aidera pas à guérir.
Au Garden-Club, la stratégie de conquête était soigneusement minutée. Invités par un courrier flatteur quinze jours auparavant, les clients potentiels arrivaient pour le déjeuner, dans le grand parc artificiel du Garden-Club, ceint de hautes grilles, en pleine campagne. Ils étaient reçus par Pierrot, qui leur faisait les honneurs du vaste buffet de charcuterie et de salades exotiques, en profitait pour glisser déjà quelques mots de son affaire, puis les conduisait à la piscine, au sauna, au salon de massage, attendant toujours non loin, toujours à portée de vue dans son costume gris clair à l'écusson du Garden-Club, et avançant toujours un peu davantage, chaque demi-heure, dans l'exposé des inconcevables privilèges que donnait l'achat pour la vie entière d'une semaine de prélassement à Bora Bora, à Miami, à Trouville, presque partout où la fantaisie la plus retorse pouvait dicter d'aller. Ensuite, il dînait de façon intime avec ses proies, dont la peau était toute rosie et odorante, l'âme toute reconnaissante qu'on les eût si bien traitées, qu'un personnage important comme Pierrot, avec son costume parfait, un peu large, son visage coupant et sévère, ne les eût pas lâchées d'une semelle, et la fin du repas devait le persuader d'avoir emporté le morceau, ou bien c'était manqué, il le savait par expérience. Voilà ce que faisait Pierrot, il était payé à chaque contrat signé.
J'ai reposé mon front sur mon fusil sans poudre, Me prenant à penser ; et n'ai pu me résoudre À poursuivre sa Louve et ses fils qui, tous trois, Avaient voulu l'attendre, et, comme je le crois, Sans ses deux louveteaux, la belle et sombre veuve
Ne l'eût pas laissé seul subir la grande épreuve ;
Mais son devoir était de les sauver, afin
De pouvoir leur apprendre à bien souffrir la faim,
À ne jamais entrer dans le pacte des villes
Que l'homme a fait avec les animaux serviles
Qui chassent devant lui, pour avoir le coucher,
Les premiers possesseurs du bois et du rocher.Les morts des hommes blancs oublient le pays de leur naissance lorsqu'ils vont se promener parmi les étoiles. Nos morts n'oublient jamais cette terre magnifique, car elle est la mère de l'homme rouge. Nous sommes une partie de la terre, et elle fait partie de nous. Les fleurs parfumées sont nos sœurs ; le cerf, le cheval, le grand aigle, ce sont nos frères. Les crêtes rocheuses, les sucs dans les prés, la chaleur du poney, et l'homme, tous appartiennent à la même famille.
- As-tu déjà entendu parler de la diérèse ?
- Ça me dit quelque chose, réponds Ronan innocemment. C'est une chance parce que, sans la diérèse, il n'y a pas de poésie. On ne prononce pas audacieux comme tu l'as fait, mais audaci-eux. Quatre syllabes. Pas mendiant. Mais mendi-ant. Trois syllabes.
- Mais ça fait bizarre, ricana Ronan.
- Oui monsieur, c'est de la poésie ! s'enflamma Jeanson. C'est artificiel ! Si les gens veulent t'entendre parler comme dans la vie, ils ne vont pas au théâtre, ils restent chez eux. Maintenant, tu recommences et tu soignes ces diérèses.
- Quand Don Juan descendit…
- Non, Monsieur. Tu sors et tu nous refais une entrée. (…) L'alexandrin, c'est quatorze pieds, les douze du vers et les deux sur lesquels tu te tiens.Mon père et ma mère, vos pères et vos mères, qui ne connaissaient pas la journée de huit heures, mais commençaient alors que le jour n'était pas encore levé pour terminer alors qu'ils n'y voyaient plus, et travaillaient pour rien, ont enrichi l'homme blanc, enrichi l'Oncle Sam. C'est cela, notre investissement. C'est cela, notre contribution – notre sang. Non seulement nous avons fait cadeau de notre travail, mais aussi de notre sang.
l m'arrive de penser que la confrontation avec le passé nazi n'était pas la cause, mais seulement l'expression du conflit de générations qu'on sentait être le moteur du mouvement étudiant. Les aspirations des parents, dont chaque génération doit se délivrer, se trouvaient tout simplement liquidées par le fait que ces parents, sous le Troisième Reich ou au plus tard au lendemain de son effondrement, n'avaient pas été à la hauteur. Comment voulait-on qu'ils aient quelque chose à dire à leurs enfants, ces gens qui avaient commis les crimes nazis, ou les avaient regardé commettre ou avaient détourné les yeux ?
L'usage seulement fait la possession. - Je demande à ces gens de qui la passion - Est d'entasser toujours, mettre somme sur somme, - Quel avantage ils ont que n'ait pas un autre homme.
En dehors du fait qu'ils laissent leurs économies là où ils passent, je crois que les touristes sont très utiles au monde moderne: il est très difficile de haïr les gens que l'on connaît.
Les enfants handicapés doivent, autant qu'il est possible, trouver leur place dans le système éducatif classique. Nous avons tous des handicaps, il n'y a pas d'homme parfait. Au même titre que chacun d'entre nous, ils font partie du tissu social et ont souvent des trésors de gentillesse et de sensibilité à partager.
Dans ce siècle où tout se renouvelle, je ne sais pas de transformation plus importante que celle qui touche aux rapports des pères et des enfants dans la société moderne. Les enfants occupent aujourd'hui une place beaucoup plus grande dans la famille : on vit plus avec eux, on vit plus pour eux : soit redoublement de prévoyance et de tendresse, soit faiblesse et relâchement d'autorité, on s'occupe plus de leur santé, on surveille plus leur éducation, on songe plus à leur bien-être, on écoute plus leur opinion. Ils sont presque devenus les personnages principaux de la maison ; et un homme d'esprit caractérisait ce fait par un seul mot ; il disait : Messieurs les enfants !
La gloire a sillonné de ses illustres rides - Le visage hardi de ce grand Cavalier - Qui porte sur son front que nul n'a fait plier - Le hâle de la guerre et des soleils torrides.
Ce qui rend une personne digne d'amour, ce n'est pas la somme de ce qu'elle a fait. Seule la justice s'intéresse aux actions: la morale, disait Schopenhauer, ne s'intéresse qu'aux intentions. L'amour aussi. On doit juger ceux qu'on aime sur leurs convictions, leurs ambitions, leurs désirs, leurs aspirations, les qualités qu'ils se prêtent, les défauts qu'ils se reconnaissent, les sentiments qu'ils n'avouent pas et dont il ne faudra jamais attendre de preuve. Et comme tout cela est inconnaissable, il est préférable de ne pas les juger du tout. Prendre les autres tels qu'ils se donnent. Les aimer pour ce qu'ils ne sont peut-être pas, mais qu'ils voudraient être. Les aimer sans preuve, parce qu'on a trop besoin d'eux. Les aimer dans l'absolu.
S'il est dans le cœur de l'homme un sentiment désintéressé, c'est l'amour paternel. Notre tendresse pour nos enfants est indépendante de la réflexion ; nous les aimons parce qu'ils sont nos enfants ; leur existence fait partie de la nôtre, ou c'est plus que la nôtre. Le bonheur qu'on leur doit résulte de tout ce qui leur est utile, de tout ce qui les intéresse; il naît de leur santé, de leur gaieté, de leurs amusements; on leur sait gré de leurs plaisirs.
Si j'ai compris quelque chose dans cette histoire, c'est bien qu'il y a un moment vos enfants, ils ne sont pas le prolongement de vous. Mais combien d'années il leur faut pour se rendre compte de ça, oh pas tant nous, mais eux, combien d'années il leur faut pour un jour comprendre qu'ils ne sont pas le bras armé de nos rêves et de tout ce que nous n'avons pas fait dans la vie, oui, qu'ils ne sont pas là pour rattraper nos conneries ?
Ce sont les échecs bien supportés qui donnent le droit de réussir. Si chacun d'eux vous fait perdre un peu de confiance, ils vous diminuent. Mais si l'on accepte chacun d'eux comme un enseignement qui vous enrichit, on y gagne chaque fois un peu de science et, aussi étrange que cela paraisse, des motifs plus solides d'espérer ; un ennemi, chaque fois qu'on le méconnaissait, s'est découvert. C'est la morale que l'on peut tirer, il me semble, des expériences que je vais raconter.
Plus que la réalité de son bonheur, c'est la conscience de son bonheur qui ne fait pour moi aucun doute, celle-là même dont la nécessité figure dans la citation recopiée dans l'agenda rouge : Il n'y a de bonheur réel que celui dont on se rend compte quand on en jouit - Alexandre Dumas, fils
Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664) de François de La Rochefoucauld
Références de François de La Rochefoucauld - Biographie de François de La Rochefoucauld
Plus sur cette citation >> Citation de François de La Rochefoucauld (n° 109957) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
L'Argent de Abel Bonnard
Références de Abel Bonnard - Biographie de Abel Bonnard
Plus sur cette citation >> Citation de Abel Bonnard (n° 2712) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Citations cultes de JCVD de Jean-Claude Van Damme
Références de Jean-Claude Van Damme - Biographie de Jean-Claude Van Damme
Plus sur cette citation >> Citation de Jean-Claude Van Damme (n° 159720) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
The Huffington Post, 17 octobre 2015, de Donald Trump
Références de Donald Trump - Biographie de Donald Trump
Plus sur cette citation >> Citation de Donald Trump (n° 171297) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les choses humaines (2019) de Karine Tuil
Références de Karine Tuil - Biographie de Karine Tuil
Plus sur cette citation >> Citation de Karine Tuil (n° 164441) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les choses humaines (2019) de Karine Tuil
Références de Karine Tuil - Biographie de Karine Tuil
Plus sur cette citation >> Citation de Karine Tuil (n° 164439) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Lettre à Voltaire, 21 juillet 1767 de Jean le Rond d'Alembert
Références de Jean le Rond d'Alembert - Biographie de Jean le Rond d'Alembert
Plus sur cette citation >> Citation de Jean le Rond d'Alembert (n° 35333) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Gabriële (2017) de Claire Berest
Références de Claire Berest - Biographie de Claire Berest
Plus sur cette citation >> Citation de Claire Berest (n° 165032) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Monde selon Garp (1978) de John Irving
Références de John Irving - Biographie de John Irving
Plus sur cette citation >> Citation de John Irving (n° 105060) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Sorcière (1996) de Marie NDiaye
Références de Marie NDiaye - Biographie de Marie NDiaye
Plus sur cette citation >> Citation de Marie NDiaye (n° 163481) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
La Mort du loup de Alfred de Vigny
Références de Alfred de Vigny - Biographie de Alfred de Vigny
Plus sur cette citation >> Citation de Alfred de Vigny (n° 158153) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens de Chef Seattle
Références de Chef Seattle - Biographie de Chef Seattle
Plus sur cette citation >> Citation de Chef Seattle (n° 156502) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
3 000 façons de dire je t' aime (2013) de Marie-Aude Murail
Références de Marie-Aude Murail - Biographie de Marie-Aude Murail
Plus sur cette citation >> Citation de Marie-Aude Murail (n° 160109) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
« The Ballot or the Bullet » (« Le bulletin de vote ou le fusil ») discours prononcé le 3 avril 1964 à Cleveland. de Malcolm X
Références de Malcolm X - Biographie de Malcolm X
Plus sur cette citation >> Citation de Malcolm X (n° 152736) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Le Liseur (1996) de Bernhard Schlink
Références de Bernhard Schlink - Biographie de Bernhard Schlink
Plus sur cette citation >> Citation de Bernhard Schlink (n° 163635) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Fables (1668 à 1694), Livre quatrième, XX, l'avare qui a perdu son trésor de Jean de La Fontaine
Références de Jean de La Fontaine - Biographie de Jean de La Fontaine
Plus sur cette citation >> Citation de Jean de La Fontaine (n° 7988) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Un Américain à New York et à Paris (1956) de John Steinbeck
Références de John Steinbeck - Biographie de John Steinbeck
Plus sur cette citation >> Citation de John Steinbeck (n° 100345) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Extrait d'une conférence en juillet 2004 de Albert Jacquard
Références de Albert Jacquard - Biographie de Albert Jacquard
Plus sur cette citation >> Citation de Albert Jacquard (n° 159304) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les pères et les enfants au XIXe siècle (1867) de Ernest Legouvé
Références de Ernest Legouvé - Biographie de Ernest Legouvé
Plus sur cette citation >> Citation de Ernest Legouvé (n° 167181) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Les Trophées (1893) de José Maria de Heredia
Références de José Maria de Heredia - Biographie de José Maria de Heredia
Plus sur cette citation >> Citation de José Maria de Heredia (n° 56671) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Bonheur Fantôme (2009) de Anne Percin
Références de Anne Percin - Biographie de Anne Percin
Plus sur cette citation >> Citation de Anne Percin (n° 167313) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Essai sur l'art d'être heureux (1815) de François Droz
Références de François Droz - Biographie de François Droz
Plus sur cette citation >> Citation de François Droz (n° 165728) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Article 353 du code pénal (2017) de Tanguy Viel
Références de Tanguy Viel - Biographie de Tanguy Viel
Plus sur cette citation >> Citation de Tanguy Viel (n° 173598) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mes vols (1937) de Jean Mermoz
Références de Jean Mermoz - Biographie de Jean Mermoz
Plus sur cette citation >> Citation de Jean Mermoz (n° 172536) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Mémoire de fille de Annie Ernaux
Références de Annie Ernaux - Biographie de Annie Ernaux
Plus sur cette citation >> Citation de Annie Ernaux (n° 157402) - Ajouter à mon carnet de citations
Notez cette citation :
Votre commentaire sur ces citations
Contribuer
Thèmes populaires +
Autres belles citations et proverbes sur ils l ont fait
Toutes les citations sur ils l ont fait Citations ils l ont fait Citation ils l ont fait et Proverbe ils l ont fait Citation sur ils Citations courtes ils
Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions
Liens
