Citation lorsque nous nous
Découvrez une citation lorsque nous nous - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase lorsque nous nous issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 180 citations et proverbes sur le thème lorsque nous nous.
180 citations
Il est peu sage d'être étourdi lorsque nous conseillons les autres.
Lorsque tout marche de travers, quelle joie de mettre notre âme à l'épreuve pour voir si elle a de l'endurance et de la valeur ! On dirait qu'un ennemi invisible et tout puissant - les uns l'appellent Dieu, les autres diable - s'élance pour nous abattre; mais nous restons debout. Chaque fois qu'intérieurement il est vainqueur, alors qu'au dehors il est vaincu à plate couture, l'homme véritable ressent une fierté et une joie indicibles. La calamité extérieure se transforme en une suprême et dure félicité.
Lorsque nous pleurnichons, l'univers n'en sait rien.
Il sied de supporter gaiment l'inévitable ;
Cette sagesse-là, seule, est la véritable...
C'est mon maître à danser, mon cher, qui me l'apprit ;
C'est ce qu'il appelait danser avec esprit.Le Parti finirait par annoncer que deux et deux font cinq et il faudrait le croire. Il était inéluctable que, tôt ou tard, il fasse cette déclaration. La logique de sa position l'exigeait. Ce n'était pas seulement la validité de l'expérience, mais l'existence d'une réalité extérieure qui était tacitement niée par sa philosophie. L'hérésie des hérésies était le sens commun. Et le terrible n'était pas que le Parti tuait ceux qui pensaient autrement, mais qu'il se pourrait qu'il eût raison. Après tout, comment pouvons-nous savoir que deux et deux font quatre ? Ou que la gravitation exerce une force ? Ou que le passé est immuable ? Si le passé et le monde extérieur n'existent que dans l'esprit et si l'esprit est susceptible de recevoir des directives. Alors quoi ? (…) La liberté, c'est la liberté de dire que deux et deux font quatre. Lorsque cela est accordé, le reste suit.
Lorsque l'amour nous frôle, tout de mansuétude vêtu, nous le fuyons apeurés, ou nous nous cachons en des endroits obscurs, ou encore nous le poursuivons et, en son nom, commettons le mal.
Lorsque nous appelons les réflexions, elles nous fuient; et quand nous voulons les chasser, elles nous obsèdent, et tiennent malgré nous nos yeux ouverts pendant la nuit.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.Lorsque notre haine est trop vive, elle nous met au-dessous de ceux que nous haïssons.
Tout ce que nous craignons, c'est de perdre ce que nous possédons, qu'il s'agisse de notre vie ou de nos cultures. Mais cette crainte cesse lorsque nous comprenons que notre histoire et l'histoire du monde ont été écrites par la même main.
Les secrets trop longtemps enfouis ne viennent nous heurter que lorsque nous prenons conscience qu'ils peuvent détruire la vie de nos proches.
Le jour où je vais disparaître, j'aurai été poli avec la vie car je l'aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Au plus brûlant d'une passion, nos gestes d'instinct la dissimulent; mais lorsque nous avons renoncé à sa joie, que nous acceptons une faim et une soif éternelles, c'est bien le moins, songeons-nous, de ne plus nous exténuer à donner le change.
Nous ne comprenons comment vivre chaque moment que lorsque ce moment est passé. Cela fait de nous des imbéciles.
Il arrive souvent que lorsque nous pensons faire une expérience sur les autres, nous en faisons une sur nous-mêmes.
Il fait beau croire aux prodiges lorsque les prodiges nous arrangent et lorsque les prodiges nous dérangent, il fait beau ne plus y croire.
Une vie, pensa-t-elle, se résumait à cela : profiter de la beauté du monde. Son harmonie. Sa poésie. La contempler avant que tout ne disparaisse. Au fond, on ne meurt pas, on devient aveugle. On comprend que c'est terminé lorsque toutes les merveilles autour de nous s'éteignent.
Lorsque tout ceci, tant bien que mal, aura été respecté, vous ne devez pas vous tenir pour quittes. Car il est d’autres conditions, très nécessaires à la préservation de votre corps, bien qu’elles touchent plutôt aux dispositions de l’âme. « Aucun individu, dit un vieil auteur, ne peut se permettre de rien toucher de contaminé dans un pays où règne la peste. » Cela est bien dit. Et il n’est endroit que nous ne devions purifier en nous, fût-ce dans le secret des cœurs, pour mettre enfin de notre côté le peu de chances qui nous restent.
Il ne faut pas se faire d'illusion à cet égard : les douleurs chantées sont déjà des douleurs calmées. Ce n'est point lorsque nous sommes encore engagés dans la sensation que nous serions capables de l'exprimer. Il faut s'écarter de soi-même et se considérer de loin et avec perspective. Nous ne nous peignons bien qu'à la distance du souvenir.
Lorsque l’on est déstabilisé, que l’on sort de sa zone de confort, de ses habitudes, ce peut être l’occasion de prendre du recul, d’avoir un peu plus de distance. On peut profiter de ce temps de confinement pour réfléchir à sa vie, s’introspecter, savourer ses états d’âme. Si on lit un livre, essayons de méditer sur ce qu’il nous apporte et d’identifier quelles émotions et pensées nouvelles il suscite. On a rarement le temps de faire ça. C’est important de vivre ces moments de ralentissement.
Ce n'est que lorsque nous avons une notion juste de l'art que nous avons aussi une notion juste de la nature.
Vivre, continuer à vivre, c'est peut-être choisir une autre réalité lorsque celle que nous avons connue devient d'un poids insupportable?
Viendra-t-il vraiment ce jour où nous pourrons vivre côte à côte, Allemands, Tchèques, Français, Russes, Anglais - sans nous faire de mal, sans être obligés de nous haïr, sans nous faire de tort les uns aux autres ? Un jour les États se comprendront-ils comme se comprennent les individus ? Verra-t-on un jour tomber les frontières entre pays, comme elles tombent lorsque se rencontrent les gens ? Comme il serait beau de voir ce jour!
Enfin, lorsque la nuit a déployé ses voiles,
La lune, au visage changeant,
Paraît sur un trône d'argent,
Et tient cercle avec les étoiles,
Le ciel est toujours clair tant que dure son cours,
Et nous avons des nuits plus belles que vos jours.Il n'y a de terrible en nous et sur la terre et dans le ciel peut-être que ce qui n'a pas encore été dit. On ne sera tranquille que lorsque tout aura été dit, une bonne fois pour toutes, alors enfin on fera silence et on aura plus peur de se taire.
Lorsque nous serons forts, nous aurons la certitude de pouvoir négocier.
Sans référence de Phèdre
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Alexis Zorba (1946) de Níkos Kazantzákis
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Le Manteau du Roi (1907) de Jean Aicard
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1984 (1949) de George Orwell
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La voix de l'éternelle sagesse (1963) de Khalil Gibran
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Réflexions et Maximes (1746) de Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664), 338 de François de La Rochefoucauld
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L'Alchimiste (1988) de Paulo Coelho
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Les cendres froides (2011) de Valentin Musso
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Promenades en bord de mer et étonnements heureux (2016) de Olivier de Kersauson
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Le Désert de l'amour (1924) de François Mauriac
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Toute la famille sur la jetée du Paradis (2005) de Dermot Bolger
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Le Portrait de Dorian Gray (1891) de Oscar Wilde
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La Machine infernale (1934) de Jean Cocteau
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Le Temps est assassin de Michel Bussi
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Exhortation aux médecins de la peste (1941)
de Albert Camus
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Pensées d'une solitaire (1903) de Louise Ackermann
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Interview Ouest France, par Sébastien Grosmaitre, le 29/03/2020 de Frédéric Lenoir
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Extinction (1986) de Thomas Bernhard
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Le Rapport de Brodeck (2007) de Philippe Claudel
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Vivre (1985) de Milena Jesenská
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A M. Vitart de Jean Racine
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Voyage au bout de la nuit (1932) de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
Références de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline - Biographie de Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline
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Sans référence de Jules Ferry
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