Citation sur les murs
Découvrez une citation sur les murs - un dicton, une parole, un bon mot, un proverbe, une citation ou phrase sur les murs issus de livres, discours ou entretiens.
Une Sélection de 50 citations et proverbes sur le thème sur les murs.
50 citations
Des sensations riches et puissantes se forment sur le toit de mon esprit ma journée tombe comme une averse - les bois et Elvedon Susan et le pigeon. Ruisselant sur les murs de mon esprit, coulant d'un même flot, ma journée tombe dru, resplendissante.
Cette haine fut le premier secret que nous partageâmes, une fondation solide sur laquelle nous bâtirions le reste, murs de mépris, tourelles d'indifférence, mâchicoulis, poterne, contrescarpe de dédain, de mesquinerie, de colère ravalée, une forteresse d'ombrage et de ressentiment qui s'effondrerait six mois plus tard au premier souffle du vent, preuve qu'elle n'était pas si solide après tout.
Les bougies sont allumées sur la cheminée ; voici le lit blanc, moelleux, les tapis ; je m'appuie sur la croisée ouverte; dehors, derrière moi, je sens la nuit; la nuit noire, froide, triste, lugubre ; l'ombre où les apparences bougent ; le silence où bruissent des sables ; les longs arbres tassés en noir ; les murs vides, et les fenêtres obscures d'inconnu et les fenêtres éclairées, inconnues ; dans la pâleur du ciel, ce trépidement des yeux pleurards des étoiles ; le secret des ombres opaques,ténébreuses, mêlés en quelque chose de formidable ; ah! là, quelque chose d'ignoré, de formidable...
Je restais seul dans ma cellule de planches, debout devant mon chevalet, éclairé par une misérable lampe à kérosène. Depuis une semaine, l'atelier n'avait pas été balayé. Des châssis, des coquilles d'oeufs, des pots vides de bouillon à deux sous étaient éparpillés sur le plancher. La lampe brûlait et moi avec. Je peignais furieusement. C'est là entre ces quatre murs, que j'ai lavé mes yeux, que je suis devenu un peintre.
Les murs de briques qui se trouvent sur notre chemin sont là pour une raison: nous pousser à nous dépasser pour obtenir ce que nous voulons vraiment.
Le véritable écrivain, l'auteur-né, griffonne sur tout ce qu'il trouve - un morceau de papier gras, l'envers d'un ticket de bus ou les murs de sa cellule.
Il y avait des flambées de violences inouïes, je ne peux pas oublier cela, dans les rues, des voitures incendiées, des slogans affreux et racistes barbouillés sur les murs, des idées ignobles qui couraient comme un feu sous la cendre.
Les nuages couraient sur la lune enflammée
Comme sur l'incendie on voit fuir la fumée,
Et les bois étaient noirs jusques à l'horizon.
Nous marchions sans parler, dans l'humide gazon,
Dans la bruyère épaisse et dans les hautes brandes,
Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes,
Nous avons aperçu les grands ongles marqués
Par les loups voyageurs que nous avions traqués.
Nous avons écouté, retenant notre haleine
Et le pas suspendu. -- Ni le bois, ni la plaine
Ne poussait un soupir dans les airs ; Seulement
La girouette en deuil criait au firmament ;
Car le vent élevé bien au dessus des terres,
N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires,
Et les chênes d'en-bas, contre les rocs penchés,
Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés.
Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête,
Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en quête
A regardé le sable en s'y couchant ; Bientôt,
Lui que jamais ici on ne vit en défaut,
A déclaré tout bas que ces marques récentes
Annonçaient la démarche et les griffes puissantes
De deux grands loups-cerviers et de deux louveteaux.
Nous avons tous alors préparé nos couteaux,
Et, cachant nos fusils et leurs lueurs trop blanches,
Nous allions pas à pas en écartant les branches.
Trois s'arrêtent, et moi, cherchant ce qu'ils voyaient,
J'aperçois tout à coup deux yeux qui flamboyaient,
Et je vois au delà quatre formes légères
Qui dansaient sous la lune au milieu des bruyères,
Comme font chaque jour, à grand bruit sous nos yeux,
Quand le maître revient, les lévriers joyeux.
Leur forme était semblable et semblable la danse ;
Mais les enfants du loup se jouaient en silence,
Sachant bien qu'à deux pas, ne dormant qu'à demi,
Se couche dans ses murs l'homme, leur ennemi.
Le père était debout, et plus loin, contre un arbre,
Sa louve reposait comme celle de marbre
Qu'adoraient les romains, et dont les flancs velus
Couvaient les demi-dieux Rémus et Romulus.
Le Loup vient et s'assied, les deux jambes dressées
Par leurs ongles crochus dans le sable enfoncées.
Il s'est jugé perdu, puisqu'il était surpris,
Sa retraite coupée et tous ses chemins pris ;
Alors il a saisi, dans sa gueule brûlante,
Du chien le plus hardi la gorge pantelante
Et n'a pas desserré ses mâchoires de fer,
Malgré nos coups de feu qui traversaient sa chair
Et nos couteaux aigus qui, comme des tenailles,
Se croisaient en plongeant dans ses larges entrailles,
Jusqu'au dernier moment où le chien étranglé,
Mort longtemps avant lui, sous ses pieds a roulé.
Le Loup le quitte alors et puis il nous regarde.
Les couteaux lui restaient au flanc jusqu'à la garde,
Le clouaient au gazon tout baigné dans son sang ;
Nos fusils l'entouraient en sinistre croissant.
Il nous regarde encore, ensuite il se recouche,
Tout en léchant le sang répandu sur sa bouche,
Et, sans daigner savoir comment il a péri,
Refermant ses grands yeux, meurt sans jeter un cri.J'ai escaladé ces murs sur les ailes légères de l'amour: car les limites de pierre ne sauraient arrêter l'amour, et ce que l'amour peut faire, l'amour ose le tenter.
Juillet met les oeufs dans leurs coques
Août sur les épis mûrs s'endort;
Septembre aux grands soirs équivoques,
Glisse partout ses feuilles d'or.Tout est en règle explique M. Kim avec satisfaction. Comment pourrait-il en être autrement dans ce périple prévu à l'avance, checké chaque matin, cadenassé heure par heure, où nous savons où nous serons ce soir, demain et après-demain à la minute près ? Jamais nous ne serons en promenade, pris par l'aventure, la fantaisie de la découverte, jamais nous ne goûterons au sucré-salé des imprévus et des hasards. Impossible de s'arrêter là, de faire un tour ici, sous les érables, vers ces grottes aux peintures rupestres, d'aller humer ce rivage où cogne la mer de l'Est et ses rouleaux d'écume (trois rangées de barbelés nous en empêchent), non, nous roulons sur des rails invisibles, guidés par des murs transparents, menottés à nos hôtes-geôliers. Même civile, notre estafette est un fourgon policier qui nous transfère de cellule-hôtel en ressort de détention. Pas envisageable de sympathiser avec les matons. Et je dois avoir, en plus de mon nom étranger, un numéro de matricule sur le dos, du genre : I-739. I comme intrus sur le territoire.
Je continuerai à écrire. J'écrirai même s'ils m'enterrent, j'écrirai sur les murs s'ils me confisquent crayons et papiers; j'écrirai par terre, sur le soleil et sur la lune... L'impossible ne fait pas partie de ma vie.
Le caravansérail est formé d'une cour immense entre quatre murs. Sur deux faces, une galerie couverte pour les chevaux; aux quatre angles, une chambre pour les voyageurs.
Les maisons sont comme les gens, elles ont leur âge, leurs fatigues, leurs folies. Ou plutôt non: ce sont les gens qui sont comme des maisons, avec leur cave, leur grenier, leurs murs et, parfois, de si claires fenêtres donnant sur de si beaux jardins.
Des livres, en revanche, on en avait à profusion, les murs en étaient tapissés, dans le couloir, la cuisine, l'entrée, sur les rebords des fenêtres, que sais-je encore ? Il y en avait des milliers, dans tous les coins de la maison. On aurait dit que les gens allaient et venaient, naissaient et mouraient, mais que les livres étaient éternels. Enfant, j'espérais devenir un livre quand je serais grand. Pas un écrivain, un livre : les hommes se font tuer comme des fourmis, les écrivains aussi. Mais un livre, même si on le détruisait méthodiquement, il en subsisterait toujours quelque part un exemplaire qui ressusciterait sur une étagère, au fond d'un rayonnage dans quelque bibliothèque perdue, à Reykjavik, Valladolid ou Vancouver.
Je préfère parler à un mur plutôt qu'à la plupart des gens. Les murs ont toujours le temps. Les murs sont toujours là, ils ne courent pas à des réunions un soir sur deux...
Le soir, enfouie sous les couvertures, j’entends mon père hurler, traiter ma mère de « salope » ou de « pute », sans en comprendre la raison. À la moindre occasion, pour un détail, un regard, un simple mot « déplacé », sa jalousie explose. D’un instant à l’autre, les murs se mettent à trembler, la vaisselle vole, les portes claquent. D’une maniaquerie obsessionnelle, il ne tolère pas qu’on déplace un objet sans son accord. Un jour, il manque d’étrangler ma mère parce qu’elle a renversé un verre de vin sur une nappe blanche qu’il vient de lui offrir. Bientôt, la fréquence de ces scènes s’accélère. C’est une machine lancée dans une course folle, personne ne peut plus l’arrêter. Mes parents passent désormais des heures entières à s’envoyer à la figure les pires insultes. Jusqu’à l’heure tardive où ma mère vient se réfugier dans ma chambre pour y sangloter en silence, blottie contre moi, dans mon étroit lit d’enfant, avant de rejoindre, seule, le lit conjugal. Le lendemain, mon père dort une fois encore sur le canapé du salon.
La foule s'épaississait à tout moment, et, comme une eau qui dépasse son niveau, commençait à monter le long des murs, à s'enfler autour des piliers, à déborder sur les entablements, sur les corniches ...
Les murs de cet hôpital déstabilisent quiconque y pénètre, à commencer par celui qui vient y placer sa fille, ou son épouse, ou bien sa mère. Geneviève ne compte plus les hommes qu'elle a vus s’asseoir sur cette chaise : ouvriers, fleuristes, professeurs, pharmaciens, marchands, pères, frères, époux - sans leur initiative, la Salpêtrière ne serait sans doute pas aussi peuplée. certes, certaines femmes en ont déjà amené d'autres - des belles mères plus que des mères, parfois des tantes. Mais la majorité des aliénées le furent par les hommes, ceux dont elles portaient le nom. C'est bien le sort le plus malheureux: sans mari, sans père, plus aucun soutien n'existe - plus aucune considération n'est accordée à son existence.
On me reprochera certainement des quantités de choses. D'avoir dormi là, par terre, pendant des jours ; d'avoir sali la maison, dessiné des calmars sur les murs, d'avoir joué au billard. On m'accusera d'avoir coupé des roses dans le jardin, d'avoir bu de la bière en cassant le goulot des bouteilles contre l'appui de la fenêtre : il ne reste presque plus de peinture jaune sur le rebord en bois. J'imagine qu'il va falloir passer sous peu devant un tribunal d'hommes ; je leur laisse ces ordures en guise de testament ; sans orgueil, j'espère qu'on me condamnera à quelque chose, afin que je paye de tout mon corps la faute de vivre...
Des livres, en revanche, on en avait à profusion, les murs en étaient tapissés, dans le couloir, la cuisine, l'entrée, sur les rebords des fenêtres, que sais-je encore ? Il y en avait des milliers, dans tous les coins de la maison. On aurait dit que les gens allaient et venaient, naissaient et mouraient, mais que les livres étaient éternels.
Toutes mes joies, tous mes drames sont d'Italie. Je viens d'une terre où la beauté est toujours aux abois. Qu'elle s'endorme cinq minutes, la laideur l’égorgera sans pitié. Les génies naissent ici comme de mauvais herbes. On chante comme on tue, on dessine comme on trompe, on fait pisser les chiens sur les murs des églises.
Le vent souffle dans les feuilles, entraînant les rameaux entiers dans un balancement, balancement, qui projette son ombre sur le crépi blanc des murs.
Les Vagues (1931) de Virginia Woolf
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Des diables et des saints (2021) de Jean-Baptiste Andrea
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Les Lauriers sont coupés (1888) de Edouard Dujardin
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Ma vie de Marc Chagall
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Le dernier discours (2008) de Randolph Frederick Pausch, dit Randy Pausch
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Un jour (2008) de David Nicholls
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Journal de l'an 1 de J. M. G. Le Clézio
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Poèmes philosophiques (1843), La mort du loup de Alfred de Vigny
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Roméo et Juliette (1594) de William Shakespeare
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Les Pipeaux (1899), La Ronde des mois de Louise Rose Etiennette Gérard, dite Rosemonde Gérard
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Nouilles froides à Pyongyang (2013) de Jean-Luc Coatalem
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Mémoires de la prison des femmes (2002) de Nawal el Saadawi
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Un été dans le Sahara (1857) de Eugène Fromentin
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Isabelle Bruges de Christian Bobin
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Entre Dieu et moi, c'est fini (2007) de Katarina Mazetti
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Le consentement (2020) de Vanessa Springora
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Notre-Dame de Paris (1831) de Victor Hugo
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Le bal des folles (2019) de Victoria Mas
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Le procès-verbal (1963) de J. M. G. Le Clézio
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Une histoire d'amour et de ténèbres , 2002 de Amos Oz
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Veiller sur elle (2023) de Jean-Baptiste Andrea
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Dans le labyrinthe (1959) de Alain Robbe-Grillet
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