Citations sur langueurs

Un nuage confus se répand sur ma vue ; Je n'entends plus, je tombe en de douces langueurs ; Et pâle, sans haleine, interdite, éperdue, Un frisson me saisit, je tremble, je me meurs

Mais je ne trouve point de fatigue si rude Que l'ennuyeux loisir d'un plaisir sans étude, Qui, jamais ne sortant de sa stupidité, Soutient, dans les langueurs de son oisiveté.... Le pénible fardeau de n'avoir rien à faire

[Qui] Soutient, dans les langueurs de son oisiveté ... Le pénible fardeau de n'avoir rien à faire

Les langueurs de la paresse et les pernicieuses rêveries de l'oisiveté

Les langueurs où s'éteint la vieillesse

Je ne vous dirai pas avec quelles langueurs D'un si cruel exil j'ai souffert les longueurs

Vers les dangereuses langueurs Vous avez une douce pente ; Vous soupirerez des malheurs Dont vous paraissez ignorante

Les douces passions, les delectables peines, Et les cheres langueurs dont les amours sont pleines

Ce prince, seul, farouche, à ses langueurs livré, Aime à nourrir le fiel dont il est dévoré

Je pourrais la décrire dans ces lieux sombres et retirés, où la honte tient tant de langueurs et de nécessités cachées, versant à propos des bénédictions secrètes sur des familles désespérées qu'une sainte curiosité lui faisait découvrir pour les soulager

Ces lieux sombres et retirés où la honte tient tant de langueurs et de nécessités cachées

Plusieurs témoignaient qu'il [Para, roi d'Arménie] avait le secret de transformer les hommes, ou de les consumer par des langueurs incurables

Mes regrets m'étaient chers ; mais mon âme affaiblie Tombant dans les langueurs de la mélancolie....

Et moi qui m'étais défendu toute ma vie des tristesses, des langueurs et des inquiétudes de l'amour, je trouve à cette heure tout cela dans l'amitié

Moi qui m'étais défendu toute ma vie des tristesses, des langueurs et des inquiétudes de l'amour

Je n'irai point, en proie à de lâches amours, Aux langueurs d'un sérail abandonner mes jours

Vous êtes bien mon Prométhée ; votre feu réveille les étincelles d'une âme affaiblie par tant de langueurs et de maux

Quélus et Saint-Mégrin.... Plongeaient dans les plaisirs ses langueurs léthargiques [de Henri III]

Quelus et Saint-Maigrin, Joyeuse et d'Espernon, Jeunes voluptueux qui régnaient sous son nom, D'un maître efféminé corrupteurs politiques, Plongeaient dans les plaisirs ses langueurs léthargiques