Citations sur brulants

Captif au rivage du Maure, Un guerrier, courbé sous ses fers, Disait : je vous revois encore, Oiseaux ennemis des hivers ; Hirondelles que l'espérance Suit jusqu'en ces brûlants climats, Sans doute vous quittez la France ; De mon pays ne me parlez-vous pas ?

Et dans leurs coeurs brûlants de la soif de plaider, [la sibylle] Verse l'amour de nuire et la peur de céder

L'Arabe, échappé des sables brûlants où il s'estimait heureux d'enfermer une ou deux toises d'ombre sous une tente de peaux de brebis, cet Arabe a élevé presque sous nos yeux des cités gigantesques

Déjà venaient frapper mes oreilles timides Les affreux cris du chien de l'empire des morts ; Et les noires vapeurs, et les brûlants transports Allaient de ma raison offusquer la lumière

De ses naseaux brûlants il [le cheval] respire la guerre

Et des brûlants débris du globe tourmenté, Le désordre enfantant la régularité

Que nos langues séchées à nos palais brûlants demeurent attachées !

...Que trois héros, brûlants de t'attaquer, Se préparent au coup que je viens de manquer

Pour moi, j'arrivai dans des déserts affreux ; on y voit des sables brûlants au milieu des plaines....

Quand l'ouragan mugit, quand des monts brûlants s'ouvrent

Quand l'ouragan mugit, quand des monts brûlants s'ouvrent

Ne se souvient-il plus que la neige glacée Couronne quelquefois les cratères brûlants ?

Ces gens [faux dévots].... Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la cour

Qui, brûlants et priants, demandent chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la cour

Ces gens.... Qui, brûlants et priants, demandent, chaque jour, Et prêchent la retraite au milieu de la cour

Des peuples qui, dix ans, ont fui devant Hector, Qui cent fois, effrayés de l'absence d'Achille, Dans leurs vaisseaux brûlants ont cherché leur asile

Dans leurs climats brûlants les Africains domptés

N'êtes-vous point de ceux [de ces galants].... à qui beaucoup de vin fait sortir la tendresse, Qui vont en cet état aux pieds de leur maîtresse Exhaler les transports de leurs brûlants désirs, Et pousser des hoquets en guise de soupirs ?

Mes vers brûlants d'amour ne résonnent que plaintes

Nos feux, toujours brûlants dans l'ombre du silence, Trompaient de tous les yeux la triste vigilance