Citations sur laissons

S'il est vray ou non, laissons le decider et juger à ceulx qui ont le palais plus aigu et plus sensitif que le cueur

Mais laissons la philosophie, et revenons à Phryné

Ne laissons pas seicher Le passaige des vivres ; Mais que nous soyons yvres, Nous nous irons couchier

Ores que sommes allaigres Et en santé, Dieu mercy, Laissons là ces cidres maigres ; Je treuve bon cestuy-ci

Que ce style jamais ne souille votre ouvrage ; Imitons de Marot l'élégant badinage, Et laissons le burlesque aux plaisants du pont Neuf

Évitons cet excès ; laissons à l'Italie De tous ces faux brillants l'éclatante folie

Imitons de Marot l'élégant badinage, Et laissons le burlesque aux plaisants du Pont-Neuf

Ne nous laissons pas éblouir par un son confus de paroles

Ne laissons pas de publier le miracle de nos jours [le coup porté à l'hérésie par la révocation de l'édit de Nantes]

Laissons, laissons réjouir le monde, et ne lui envions pas sa prospérité

Mais laissons les vaines disputes, et tranchons, en un mot, la difficulté par le fond

Affranchissons le Tage et laissons faire au Tibre

Nous vous laissons ici pour leur rendre du coeur

Faisons mieux, ne proscrivons rien, laissons la scène ouverte à tous les sujets et à tous les talents ; essayons tout et conservons ce qui le mérite

Où demeurent nos femmes et nos enfans ? nous les laissons pour servir de quintaines à la barbarie de nos ennemis

Je ne viens pas ici, messieurs, renouveler dans vos esprits le triste souvenir d'une mort que vous avez déjà pleurée ; laissons aux infidèles ces longues et sensibles douleurs que la religion ne modère pas

Je ne viens point ici renouveler dans vos esprits le triste souvenir d'une mort que vous avez déjà pleurée ; laissons aux infidèles ces longues et sensibles douleurs que la religion ne modère pas

Disoient les fols et les outrageux [de Gand] : Laissons les ouvrer, se Audenarde estoit ores d'acier, si ne pourroit elle durer contre nous, quand nous voudrons

Aux accouchées laissons Ces douceresses boissons ; Ce bon cidre caressons

Je lui demandai au quel avis il s'acordoit, et il me dit : Je m'acorde que nous nous laissons tous tuer ; si nous en irons tous en paradis. Mais nous ne le creumes pas

Et tous, tant que nous sommes, Nous nous laissons tenter à l'approche des biens

Heureux nos fils ! heureux cet âge Qui, fécondé par nos leçons, Viendra recueillir l'héritage Des dogmes que nous lui laissons !

Mais pourquoi m'entraîner vers ces scènes passées ? Laissons le vent gémir et le flot murmurer ; Revenez, revenez, ô mes tristes pensées ; Je veux rêver et non pleurer

Ne laissons perir l'occasion : empoignons la vistement

Laissons, mon fils, laissons les vulgaires douleurs Craindre d'envisager l'objet de leurs malheurs