Citations sur tyran

D'une sainte folie un peuple furieux Chanter : Amour, tyran des hommes et des dieux !

Ce fut alors que parut une suite de souverains connus sous le nom de tyrans, parce qu'ils jouissaient d'une autorité absolue

La soif de commander enfanta des tyrans

Le nom de tyran donné à des oiseaux doit paraître plus que bizarre

Et donnons un tyran à ces tyrans du monde [les Romains]

Secrets tyrans de ma pensée, Respect, amour, de qui les lois....

Il faut en ce monde-ci avoir le moins de tyrans qu'il est possible

Mais vous, belle tyranne, aux Nerons comparable

Les grands le traitaient de tyran [Louis XI], parce qu'il ne leur permettait pas de l'être

C'est ce qu'on appelle un tyran ; il ne fait pas le mal par le seul plaisir de le faire ; mais le mal ne lui coûte rien, toutes les fois qu'il le croit utile à l'accroissement de sa grandeur

Les vices ont aussi leur perfection : un demi-tyran [au théâtre] serait indigne d'être regardé ; mais l'ambition, la cruauté, la perfidie, poussées à leur plus haut point, deviennent de grands objets

L'art est un tyran qui se plaît à gêner ses sujets, et qui ne veut pas qu'ils paraissent gênés

Ne se contentant pas de faire le petit tyran dans une fête

Aux noces d'un tyran, tout le peuple en liesse Noyait son souci dans les pots

Telle est l'ingratitude des hommes ; plus vous les rendez maîtres de votre coeur, plus ils s'en rendent les tyrans

Mon Dieu ! que votre amour en vrai tyran agit !

Est licite de adompter et endormir par belles paroles les oreilles du tyran

Et pour ce nous ne disons pas que les tyrans soient prodiges [prodigues]

Ne ja, pour nul desirier, [je] Ne remainrai avecque ces tirans Qui sont croisés à loier Pour dimer clers et bourjois et serjens

Ses yeux indifférents [de Néron] ont déjà la constance D'un tyran dans le crime endurci dès l'enfance

Et la fuite est permise à qui fuit ses tyrans

Voilà bien, reprit-elle, le propos d'un tyran qui ne croit jouir de sa liberté qu'autant qu'il trouble celle des autres

Comme l'usurpation amène et nécessite la tyrannie, les Grecs prirent bientôt le nom de tyran dans la même acception que nous

Lorsqu'il [Aristote] dit que le peuple souverain est un tyran à mille têtes

Assurément, mais.... - Il n'y a pas de mais ; je veux, j'exige que vous teniez votre parole, entendez-vous ? - Soit, tyranne, dit M. de Simon, en embrassant sa femme