Citations sur vous

Vous en allez juger vous-même tout à l'heure

Ainsi votre forêt prend un aspect moins rude ; Vous charmez son effroi, peuplez sa solitude, Animez son silence, et goûtez à la fois Les charmes d'un bienfait et le charme des bois

Et à vous rien que vous ne se doit egaler

Et vous êtes un père de famille, vous ?

Quant au trespas, sça' vous [savez-vous] quand ce sera ?

Quelle raison av'ous [avez-vous], quant à ce poinct, De commander qu'on ne vous ayme point ?

Messieurs, je vous adjure.... Vous et celui qui vous mène, vous périrez

Ces gens d'armes vous commencerent à abatre ces Flamands

Plein d'un juste courroux, Il vous prend sa cognée, il vous tranche la bête

Le rustre, en paix chez soi, Vous fait argent de tout, convertit en monnaie Ses chapons, sa poulaille,....

Le chameau se rengorge, il vous fait le gros dos

Pourquoy foulez-vous mon peuple, et froissez la face des pauvres ?

J'ai bien des raisons, monseigneur, pour bien vivre avec eux ; mais ce qu'ils vous sont en serait une suffisante pour moi

C'était un homme âgé, mais grand, d'une belle figure et de bonne mine, d'une physionomie qui vous rassurait en la voyant, qui vous calmait, qui vous remplissait de confiance

Elle vous avoit un corset....

Donc puis qu'amour m'a voulu arrester Pour vous servir, plaise vous me traiter, Comme voudriez vous-mesme estre traitée, Si vous estiez par amour arrestée

Ah ! que pour ses enfants un père a de faiblesse ! Peut-on rien refuser à leurs mots de tendresse ? Et ne se sent-on pas certains mouvements doux, Quand on vient à songer que cela sort de vous ?

Lettres du roy seellées de son grant seel, données ce dict jour, 7e jour de juillet, ainsi signées : Jean Millet, soubs la congregation de ceux qui avoient esté audit conseil, c'est à sçavoir le duc de Bourgogne, le connestable de France, vous le chancelier d'Acquitaine, le chancellier de Bourgongne et plusieurs autres [en ces lettres, vous le chancelier signifie le chancelier]

Si j'avois la force de mesme le couraige, je vous les plumeroys comme ung canart

Agrippine : Britannicus est mort : je reconnais les coups ; Je connais l'assassin. - Néron : Et qui, madame ? - Agrippine : Vous

Il vous eût arrêté le carrosse d'un prince ; Il vous l'eût pris lui-même

Je dois des remerciements à tout le monde et, vous, monsieur, à qui j'en dois le plus, êtes celui à qui j'en fais le moins

Vous me povez faire heureux devenir, En vous daignant vous souvenir

Qu'elle me parle de vous, et quoi encore ? de vous, et toujours de vous

Votre régiment à vous, continua M. de Germond, ne sera pas mis en activité de sitôt