Citations sur jean racine

Il te sied bien d'avoir en de si jeunes mains, Chargé d'ans et d'honneurs, confié tes desseins

Défendez-moi des fureurs de Pharnace

Un bruit confus s'élève, et du peuple surpris Détourne tout à coup les yeux et les esprits

Qui pourrait exprimer par quels faits incroyables Son bras se signalant pour la dernière fois....

Ah ! seigneur, qu'éloigné du malheur qui m'opprime Votre coeur aisément se montre magnanime !

Je veux croire.... Que mes yeux sur votre âme étaient plus absolus

J'ai su tromper les yeux par qui j'étais gardé

Aussi bien ce n'est pas la première injustice Dont la Grèce d'Achille a payé le service

Pour les rompre [les portes du temple] elle attend les fatales machines

Et de son vain courroux trop tard désabusé

Mais je m'assure encore aux bontés de ton frère

Votre coeur aisément se montre magnanime

La vertu dans l'oubli ne sera plus cachée

Les églises parochiales

Ah ! si d'un autre amour le penchant invincible Dès lors à mes bontés vous rendait insensible

Il n'avait plus pour moi cette ardeur assidue, Lorsqu'il passait les jours attachés sur ma vue

.... Ainsi tout mon espoir N'est plus qu'au coup mortel que je vais recevoir

Sion, repaire affreux de reptiles impurs

La flamme du bûcher d'elle-même s'allume

Transporté d'une ardeur qui ne peut être oisive, Je rejoindrai bientôt les Grecs sur cette rive

Que du Seigneur la voix se fasse entendre, Et qu'à nos coeurs son oracle divin Soit ce qu'à l'herbe tendre Est, au printemps, la fraîcheur du matin

Dans les tourments ils laissèrent la vie

Quel coup de foudre, ô ciel ! et quel funeste avis !

Rois, chassez la calomnie

Daignez d'un roi terrible apaiser le courroux