Citations sur jean racine

Mathan d'ailleurs, Mathan, ce prêtre sacrilége, Plus méchant qu'Athalie, à toute heure l'assiége

La voix du Dieu vivant a ranimé ta cendre

Je pars fidèle encor, quand je n'espère plus

Que vous semble, mes soeurs, de l'état où nous sommes ?

C'est prendre trop de soin [être trop curieux]

J'abuse, cher ami, de ton trop d'amitié

Et faisons qu'à ses fils il ne puisse dicter Que des conditions qu'ils voudront accepter

Et ton nom paraîtra, dans la race future, Aux plus cruels tyrans une cruelle injure

Ciel ! verra-t-on toujours par de cruels esprits Des princes les plus doux l'oreille environnée ?

De vos sens étonnés quel désordre s'empare ?

Il peut me conquérir à ce prix sans danger ; Je me livre moi-même, et ne puis me venger !

Ses sacriléges mains Dessous un même joug rangent tous les humains

Hélas ! je me consume en impuissants efforts

Je vous rappelle un songe effacé de votre âme

Je m'assure un port dans la tempête

À travers les rochers la peur les précipite [des chevaux]

Petit-Jean : Quand je vois.... - L'Intimé : Quand aura-t-il tout vu ?

Les soupçons importuns Sont d'un second hymen les fruits les plus communs

Ta foi dans mon malheur s'est montrée à mes yeux

Appelez les cruels qui vous l'ont inspirée [cette action si noire]

Ah ! seigneur, si votre heure est une fois marquée

Et sans perdre en adieux un reste de constance

Souvent ce cabinet superbe et solitaire Des secrets de Titus est le dépositaire

Pour vous perdre il n'est point de ressorts qu'il n'invente

Que le sérail soit désormais fermé, Et que tout rentre ici dans l'ordre accoutumé