Citations sur rÉgnier

À tout ce qu'on disait, doucet, je m'accordais

Je me sentis plus tôt au mortier embourbé

Que tout se pervertisse, il ne m'en chaut d'un double

Comme après les hiboux vont criant les chouettes

Entrant, je me heurtai la caboche et le pied

Comme en faisant l'amour on se doit maintenir

Ta maison et tes biens saccagés des soudards

Après mille discours dignes d'un grand volume

Un amour violent aux raisons ne s'amuse

Et qu'il n'est crocheteur ni courtaud de boutique Qui n'estime à vertu l'art où sa main s'applique

Et bien que, jeune enfant, mon père me tançât, Et de verges souvent mes chansons menaçât

Timide en son respect semblait sainte nitouche

Laissons-le discourir, Dire cent et cent fois : il en faudrait mourir !

Dieu sait combien alors il me dit de sottises, Parlant de ses hauts faits et de ses vaillantises

Épier si des vers la rime est brève ou longue

Carrozza étant féminin en italien, carrosse a été féminin : Toujours d'un valet ta carrosse est suivie

Et s'il lui plaît encor qu'on me relie en veau

L'huis s'était presque ouvert, tout de bon le guet vint

On y fait des amis, mais peu d'argent en bourse

Et rendit.... Tant de galants pelés

Puis outre le saint voeu qui sert de couverture....

Encore.... Qu'elle doive sa taille au bois de ses patins

Corsaires à corsaires, L'un l'autre s'attaquant, ne font pas leurs affaires

Cette prononciation, qui n'est plus qu'un provincialisme, était, au XVIIe siècle, reçue à côté de l'autre : Que le paysan recueille, emplissant à milliers Greniers, granges, chartis, et caves et celliers

Six douves de poinçon servaient d'ais et de barre