Citations sur rÉgnier

Qu'est-ce de moi ? faible est ma main....

Qui le jette au danger, lorsque moins il y pense

On verroit Les poëtes plus espois que mouches en vendanges

Les villages épais fourmillaient par la plaine ; De peuple et de bétail la campagne était pleine

Et comme ils font du vrai, du faux ils m'épouvantent

Un amour violent aux raisons ne s'amuse

Il s'y met si avant que je crus que mes jours Devaient plus tôt finir que non pas son discours

Puis, sans qu'on les convie, ainsi que vénérables, S'asseyent en prélats les premiers à vos tables, Où le caquet leur manque, et, des dents discourant, Semblent avoir, des yeux, regret au demeurant

Venge cette querelle, et justement sépare Du cygne d'Apollon la corneille barbare

Bien que je sache au vrai tes façons et tes ruses, J'ai tant et si longtemps excusé tes excuses....

Succombant sous le faix que j'ai dessus le coeur

À la fin je pris coeur, résolu d'endurer....

Encore, après cela, ils sont enfants des cieux ; Ils font journellement carrousse avec les dieux

Un valet.... Qui rend comme espion compte exact de ta vie

Si mon compère Pierre est de garde aujourd'hui

Éclater de satin, de perles, de rubis

Au compas des grandeurs je ne juge le monde.... Pour être dans le ciel je n'estime les dieux, Mais pour s'y maintenir et gouverner de sorte Que ce tout en devoir réglément se comporte

Et rendit.... Tant de galants pelés, tant de femmes galeuses

De vertueux qu'il fut le rend dariolet

Il [le vieillard] parle de son temps, difficile et sévère ; Censurant la jeunesse, use des droits de père ; Il corrige, il reprend....

Mais ne peut-on savoir le mal qui te possède ?

Parfois on peut donner pour les galants attraire ; à ces petits présents je ne suis pas contraire

De la douce liqueur rosoyante du ciel

Vous êtes hérétique Ou pour le moins fauteur

Et traîner sans confort.... Une pauvre vieillesse