Citations sur corneille

Me croirez-vous, seigneur, et puis-je m'expliquer ?

Que Rome se déclare ou pour ou contre nous

Termes choisis

Je faiblis, ou du moins ils se le persuadent ; Pour bien écrire encor, j'ai trop longtemps écrit, Et les rides du front passent jusqu'à l'esprit

Quelqu'un auprès de vous m'a fait cette imposture

Et je garde avec vous la même liberté Que si votre Sylla n'avait jamais été

Ils n'aspirent enfin qu'à des biens passagers

Je crois qu'il n'agit point moins généreusement

Je suis ravi de voir qu'une telle imposture Ait laissé votre gloire et plus grande et plus pure

Mais, puisque tu te vends, va chercher qui t'achète, Perfide, et porte ailleurs cette vénale foi Qu'obtiendrait ma rivale à même prix que moi

J'en réponds sur ma tête et l'ai trop avéré

Je m'en applaudissais quand soudain Polyclète....

Faisons nos sûretés et moquons-nous du reste

L'État est florissant, mais les peuples gémissent

Il se saisit du port, il se saisit des portes, Met des gardes partout

Le front cicatrisé, la mine assez farouche

Nous avons par trois fois imploré leur secours, Par trois fois redoublé nos voeux et nos offrandes

Il s'est fait admirer tant qu'ont duré ses frères

C'est lui seul qui bannit ces petits malheureux

À moi, comte, deux mots

N'espère point de joie, ô mon coeur, que frivole, N'en espère aucune ici-bas, Qu'en ce grand Dieu de qui le bras Soutient l'humble et le pauvre et partout le console

Mais il nous servit hier d'une collation Qui partait d'un esprit de grande invention ; Et, si ce mariage est de même méthode, La pièce est fort complète et des plus à la mode

Que la mort la rassure [une amante] ou qu'un rival l'emporte, La douleur d'un amant est également forte

J'ai de l'ambition, et mon orgueil de reine Ne peut voir sans chagrin une autre souveraine

Toi qui vois tout mon coeur, juge de son martyre ; L'ambition l'entraîne et l'amour le déchire