Citations sur corneille

Ce coeur impitoyable à ma perte s'obstine

Envers nos citoyens je sais quelle est ma faute

Tremblez, tremblez, méchants, voici venir la foudre

La cruelle proposition qu'elle va faire à ses fils

Dût le peuple en fureur pour ses maîtres nouveaux De mon sang odieux arroser leurs tombeaux, Dût le Parthe vengeur me trouver sans défense, Dût le ciel égaler le supplice à l'offense, Trône, à t'abandonner je ne puis consentir

Vous-même, amour à part, je vous en fais arbitre

Encor qu'il soit sans crime, il n'est pas innocent

Quittez cette chimère

C'est un contre-poison contre les séducteurs, Qui dissipe toutes leurs pestes, Et confond tout l'effort des plus noirs détracteurs

On fait plus, on m'impute un coup si plein d'horreur Pour me faire un passage à vous percer le coeur

Ces guerriers intrépides Percent des flots grondants les montagnes liquides

Tous trois désavoueront la douleur qui te touche

Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie

L'attente où j'ai vécu n'a point été trompée

Carlos, voulant s'asseoir parmi les comtes, et empêché par Don Manrique : J'ai vu la place vide, et cru la bien remplir. - Don Manrique : Un soldat bien remplir une place de comte !

Théodore, parlez sans vous épouvanter

Et je n'envierai plus le rang dont il s'empare

Et de mille pensers mon esprit agité Paraît enseveli dans la stupidité

Et d'abord, vous prenant pour ce mien camarade, Mes sens d'aise aveuglés ont fait cette escapade

Et puisqu'il faut en faire une aide à ma faiblesse

Croyez-moi qu'Alcidon n'en sait guère en amour

Je forme des soupçons d'un trop léger sujet

Le bonheur peut conduire à la grandeur suprême

Je ne vous quitte point, Seigneur, que mon amour n'ait obtenu ce point

Le désir de savoir est naturel aux hommes ; Il naît dans le berceau sans mourir qu'avec eux