Citations sur corneille

Elles ont quelque chose qui choque la bienséance

J'en verse [des larmes], et plût à Dieu qu'à force d'en verser Ce coeur trop endurci se pût enfin percer !

Nos Espagnols formés à votre art militaire

Percé jusques au fond du coeur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle

Suis-je fait en voleur ou bien en assassin ?

Ô vertu sans exemple ! ô clémence qui rend Votre pouvoir plus juste et mon crime plus grand !

Le mien [coeur] est raisonnable autant que généreux

Furieux dans la guerre, ils [les chrétiens] souffrent nos bourreaux

Te mesurer à moi ! qui t'a rendu si vain ? Toi qu'on n'a jamais vu les armes à la main

Et d'un si fol espoir mon coeur mal défendu Vole après un amant que Chimène a perdu

.... leurs habits charmés, malgré nos vains efforts, Sont des brasiers secrets attachés à leurs corps ; Qui veut les dépouiller, lui-même les déchire

Pour témoigner à tous qu'à regret je permets Un sanglant procédé [un combat singulier] qui ne me plut jamais

Aristie.... à qui.... Je rapporte avec joie et ma main et ma foi ; Je ne dis rien du coeur, il tint toujours pour elle

Un si grand ennemi ne peut être gagné

La force et la vengeance agiront à leur tour

Il est un autre amour, dont les voeux innocents S'élèvent au-dessus du commerce des sens

Pour te récompenser ma force est trop petite

Nous ayant embrassés, elle nous assassine

Mais certes le détour est un peu surprenant

L'infamie est pareille et suit également Le guerrier sans courage et le perfide amant

Ne laisse pas mon âme impuissante et languide Dans la stérilité que le crime produit, Et telle qu'une terre aride Qui, n'ayant aucune eau, ne peut rendre aucun fruit

Adieu, mais, quand l'orage éclatera sur vous, Ne doutez point du bras dont partiront les coups

Fières soeurs, si jamais notre commerce étroit Sur vous et vos serpents me donna quelque droit

Et pour suivre un mari l'on quitte ses parents

Le duc ayant appris quelles intelligences Dérobaient un tel fourbe à vos justes vengeances