Citations sur corneille

Il le [l'empire] peut à son choix garder ou s'en défaire

Parlez, et nettement, sur ce qu'il me propose

Quand vous fîtes périr Maurice et sa famille, Il vous en plut, seigneur, réserver une fille

Jamais ma raison N'avoua de mes yeux l'aimable trahison

Mais pour en disposer, ce sang est-il à vous ?

Et, pour ne tenir plus en suspens vos esprits, Si vous voulez régner, le trône est à ce prix

Mes esclaves en sont, apprends de leurs indices L'auteur de l'attentat, et l'ordre, et les complices

Le supplice est trop doux, Et sans les voir d'un oeil trop sévère ou trop doux

Il s'est débarrassé de la foule importune, Du turbulent espoir de tant de concurrents

L'hymen qui nous attache en une autre famille

Mais si, jusques au jour de l'accommodement...

Je sais des gens de cour quelle est la politique ; J'en connais mieux que lui la plus fine pratique

Et vous, madame, Retenez des soupirs dont vous me percez l'âme

Pour te récompenser ma force est trop petite

Voyez quel contre-temps Attale prend ici

Celle [la félicité] d'un vrai chrétien n'est que dans ses souffrances, Les plus cruels tourments lui sont des récompenses

Soutiendrez-vous un faix sous qui Rome succombe ?

Et je contribuerai moi-même à ce dessein

Si le ciel pitoyable eût écouté ma voix

Et je puis dire enfin que jamais potentat N'eut à délibérer d'un si grand coup d'État

Un amour.... Qui n'aurait autre but que de se satisfaire

Pour voir ce qui s'y passe [dans mon coeur] il ne faut que des yeux

Mais Phorbas, ce vieillard qui m'exposa jadis....

Immolez, non à moi, mais à votre couronne, Mais à votre grandeur, mais à votre personne...

La consternation calmera la tempête