Citations sur corneille

Quitte ta dignité comme tu l'as acquise

Ce sont des coups d'essai, mais si grands que peut-être Le Capitole a droit d'en craindre un coup de maître

Sur l'éclat d'un beau teint qu'on voit si périssable

Mais votre fermeté tient un peu du barbare

Un tumulte, dit-on, s'élève dans la place

Tout beau ! que votre haine en son sang assouvie N'aille point à sa gloire, il suffit de sa vie

C'est elle, et je me rends, monsieur, à cette fois

Ainsi ce rang est sien, cette faveur est sienne, Et je n'ai rien enfin que d'elle je ne tienne

Pour m'arracher le jour l'un et l'autre conspire

Recevez, comme roi, notre premier hommage

Et dans cette entreprise il a bien su courir à la nécessité qu'il voyait de mourir

Ces deux rares vertus lui étaient si naturelles [à Auguste], qu'il semble qu'en cette histoire [Cinna] que j'ai mise sur notre théâtre, elles se soient tour à tour entre-produites dans son âme

En arrêter le cours [de la vie d'un vieillard] Ne serait que hâter la parque de trois jours

Et, pour trancher le cours de leurs dissensions, Il faut fermer la porte à leurs prétentions

Ô doux liens, ô douce étreinte ! ô favorable poids du joug religieux ! Sainte captivité, qu'on te doit de louanges !

Quelles méchantes gens ! Achillas et Photin sont gens à dédaigner

Je le trouvais en vous, n'eût été la bassesse Qui pour ce cher rival contre moi s'intéresse

Prends un siége, Cinna, prends, et, sur toute chose, Observe exactement la loi que je t'impose

Quelques regards sur toi sont tombés par mégarde

Charmé de deux beaux yeux, mon vers charma la cour, Et ce que j'ai de nom je le dois à l'amour

Donnons ordre au présent ; et, quant à l'avenir, Suivant l'occasion nous saurons y fournir

J'ai mal connu César ; mais puisqu'en son estime Un si rare service est un énorme crime....

À voir quelle froideur à tant d'amour succède, Rome ne m'aime pas....

Pour laisser aller ses sentiments en liberté

Pauvres et dénués des secours de la terre, Mais riches en grâce et vertu